19/03/2009
SEPARATION
20:27 Publié dans oreillettes, où mon taux d'adrénaline augmente | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cohen, divorce, closing time, leonard cohen
18/03/2009
"AUX VENTS !", enfin...
18:22 Publié dans a.4) EDITEUR | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : pellacoeur, à charge, à plus d'un titre, lyon, aux vents, le magazine des livres, du chambon, dj duclock, de benedetti, je notule
17/03/2009
Fuck l'OTAN
21:10 Publié dans où mon taux d'adrénaline augmente | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : otan, stalker, asensio, chauprade, gelb, strasbourg
07/03/2009
feuilleton des feuilletons
Mon feuilleton préféré à l'âge de 9 ans :
... quoique le générique qui me faisait chialer tout gone était celui-ci.
Et mon feuilleton préféré, à 39 ans :
22:46 Publié dans où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : michel strogoff, chéri-bibi, rome, feuilletons, télé, verne, milius
02/03/2009
en vrac (bis)
Sortie du deuxième numéro de "L'INDIC"... très réussi (à signaler, un article assez gonflé de Clément Bulle sur A.D.G).
07:15 Publié dans a.4) EDITEUR, LyonnÈseries, où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : l'indic, bulle, a.d.g, delaume, caro, mabanckou, fête du livre de bron, dassavray, merzeau, chapelain, pellacoeur, beautiful losers, sautière
24/02/2009
LECTURE VENDREDI
08:06 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lecture publique, ouvrir l'oeil, barbier, (h)auteurs, librairies lyonnaises, evrot, faye, lesur, lovato, sourdieux, ravella, prost-manillier, reynaud
11/02/2009
Antonin dans le texte
16:48 Publié dans carottages littéraires | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : artaud, maradona, che guevara, poutine, anarchie, ordre, parodie, tatouage
31/01/2009
Nouvelle critique
Une nouvelle critique des « Ruines de la future maison » (collection « À charge », éditions « À plus d’un titre »), parue dans le dernier numéro de la revue « Le croquant » et portant la signature de Paola Pigani.
« Les ruines de la future maison »
Hélène Dassavray
Auprès d’un cerisier au tronc bleu, une femme a élu domicile dans une cabane, entourée de ses enfants et de leurs pères ; parce que les gens qui entrent dans mon cœur n’en ressortent jamais. Une vie sur pilotis qui grandit plus sûrement que la construction de cette maison qu’elle espère. Cette chimère que les enfants surnomment les ruines de la future maison, c’est aussi le défi d’une mère, d’une amante, plus déterminée à sauvegarder l’Amour, à veiller à ce qu’il se ramifie à ciel ouvert, qu’à l’ensevelir dans une existence conformiste. Dans ce récit drôle et tendre, on apprend ce qu’est la quête de chaque jour pour manger, boire, réclamer le R.M.I ou des aidees à la Caisse d’allocations familiales, chercher entre les planches disjointes du plancher la monnaie qui manque pour le pain… Précarité, pauvreté, misère ne sont que des mots pour travailleurs sociaux. Rien de cela ne flotte sur la corde à linge autour de la future maison. C’est l’art de la débrouille qui prime et permet à la narratrice d’offrir aux siens une flambée d’amour quotidienne car elle semble plus apte à célébrer la vie sous toutes ses formes qu’à la domestiquer. On maraude aussi dans ce campement de fortune, des bonheurs à portée de mains, les nuits d’amour dans la caravane, le vin de l’amitié, les mots d’enfant. Les saisons et les fêtes se suivent au rythme des surprises de la nature… et des visiteurs au grand cœur qui approvisionnent le frigidaire et nourrissent les rêves des enfants autour de la grande tablée. Une belle liberté revendiquée et honorée par une femme qui n’est pas près de vieillir.
Paola Pigani
Le croquant (n°59-60)
08:50 Publié dans a.4) EDITEUR | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : les ruines de la future maison, dassavray, pigani, le croquant, a charge, a plus d'un titre
30/01/2009
LA phrase du procès Siné
... puisqu'il s'est tenu à Lyon.
Cette phrase rallie les pro comme les anti-Siné d'une certaine façon. Elle a été prononcée par M° Malka, défenseur de Philippe Val. Au procureur qui avait demandé si l'on pourrait encore rire des sketches de Desproges et de Coluche aujourd'hui, M° Malka a répondu "NON, NI COLUCHE NI DESPROGES NE POURRAIENT FAIRE LEURS SKETCHES", avant de rajouter "la société a évolué. Peut-être ne faut-il pas forcément le regretter".
Moi, je le regrette absolument.
06:58 Publié dans où mon taux d'adrénaline augmente | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : siné, val, malka, procès, lyon, desproges, coluche, janus