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03/01/2011

Voeux, etc.

Pour 2011, je vous souhaite... une année qui vous ressemble !

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23/12/2010

QUATRIEME CABARET POETIQUE

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Ça se passe le dimanche 9 janvier, à 17h, au Périscope (13 rue Delandine, métro Perrache). Ça réunit Anne-Lise Blanchard, Béatrice Brérot, Mado & François Beaune, Samantha Barendson, Fabienne Swiatly, Nahwël

Il y sera également question de la scandaleuse suppression de « La Scène Poétique » à la bibliothèque de La-Part-Dieu et de la meilleure façon d’y REPONDRE.

Avec toujours Frédérick Houdaer dans le rôle de Jacques Martin.

Entrée gratuite (y’a juste une carte d’adhésion au Périscope de 2 € à prendre, valable un an).

Des photos de l’un des cabarets précédents :

http://houdaer.hautetfort.com/archive/2010/09/07/quelques-photos-de-frederic-muller.html

Un article sur le Cabaret Poétique :

http://houdaer.hautetfort.com/archive/2010/12/13/un-article-consacre-au-cabaret-poetique.html

13/12/2010

Un article consacré au Cabaret Poétique

L’ECOLE (POETIQUE) DU DIMANCHE

 

« Le problème de la lecture de poésie, c’est que cela tourne trop souvent à la messe ». De la messe, Frédérick Houdaer n’a conservé que le jour pour les cabarets poétiques qu’il a lancés à la rentrée 2010 au Périscope – une salle faisant partie du dispositif Scènes Découverte. Un dimanche par mois, à 17 h, l’écrivain Houdaer se fait programmateur et Monsieur Loyal d’une rencontre qui convie à chacune de ses sessions sept ou huit poètes de 29 à 70 ans, représentant toutes les « chapelles » d’un microcosme régional qu’il connaît bien, et dans lequel il évolue depuis quelques années en tant qu’auteur et éditeur.

Textes lus à voix nue, slam et performances se succèdent sur scène, variant les plaisirs d’un public dont la curiosité et la présence à cet horaire baroque ne laissent pas de ravir l’instigateur de ce festin de mots : « C’est un petit miracle, je ne sais pas combien de temps cela durera. Les poètes viennent « pour mes beaux yeux », nous avons zéro budget… Quant au public, il est composé d’amis réunis grâce à Facebook, de gens qui n’avaient jamais mis les pieds au Périscope et d’habitués du lieu ». Un lieu mis amicalement à disposition par l’une de ses fondatrices, Françoise Bressat, et qui participe de l’ambiance particulière de chaque cabaret. Pour la vivre, il faut se rendre sur place, aucune captation des sessions passées n’ayant été effectuées, Frédérick Houdaer se refuse à « accumuler de l’archive », privilégiant la fragilité du live. Pour lui, « ces cabarets, c’est de l’archi-éphémère avant tout ».

 

Vincent Raymond, in « LIVRE & LIRE » n°257, décembre 2010

08/12/2010

Pour les lecteurs de ce blog...

... qui ne sont pas sur Facebook, ce florilège fabrication maison... sachant que j'ai glissé plus d'un millier de liens et de "statuts" sur ce trop fameux réseau social.

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Comme toujours, cliquez sur l'image pour la découvrir dans son intégralité.

29/11/2010

J'en sera

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Cliquez sur l'image pour mieux voir qui fait quoi les 3 et 4 décembre.

23/11/2010

Et s'il n'y avait pas que la "branloire" qui soit "pérenne" ?

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 Cliquez sur l'image pour la voir dans son intégralité.

22/11/2010

L’APRÈS « SANG D’ENCRE »

Week-end au salon Sang d’Encre marqué par la présence-absence de l’ami Pascal Garnier.

Précision : je travaille depuis juillet à l'écriture d'un roman qui est dédié à Pascal Garnier (ainsi qu’à Cécile Philippe).

Au salon du polar de Vienne, comme par hasard, le libraire m’installe "à la table de Pascal Garnier", tout à côté d'une photo de lui et des piles de ses livres...

Tout au long de ces deux jours, je vais parler de lui avec des lecteurs (j’apprendrai son décès à certains d’entre eux). Il y en aura même un pour me demander… de lui dédicacer un livre de Pascal Garnier !

Mon autre voisin de tablée s’appelait François Joly. Il m’a raconté une belle anecdote, remontant à quelques années. Joly était dans les locaux de Gallimard, en train de signer les services de presse de sa première Série Noire, quand un vieux monsieur l’a abordé… pour le remercier. Pour lui dire que grâce aux polars et à leur tirage confortable, Gallimard pouvait publier de la poésie. Lui, le vieux Monsieur, poète de son état, avait vendu son dernier titre à 1500 exemplaires (dix fois moins que certains polars).

Le vieux monsieur s’appelait Guillevic.

Pour en finir avec ce week-end, précisons que je me suis procuré un excellent premier roman :

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13/11/2010

à venir

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Comme toujours, cliquez l'image pour l'agrandir, etc.

Je serai aussi au salon "SANG D'ENCRE" à Vienne le week-end du 20-21 novembre. Je n'y signerai pas que mes polars mais aussi, mais surtout, mes "ENGELURES".

Pour le reste... je sais reconnaître un grand pédagogue quand j'en vois un :

 

04/11/2010

Bilan de début novembre

Le festival Parole Ambulante s'est aussi bien fini qu'il a commencé.

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La joie de retrouver Ahmed Kelouaz et de parler sérieusement d'armes à feu avec un éditeur de poésie.

Autrement? Lors d'un déménagement hier, j'ai fait une fausse manip' avec mon portable et effacé les cinq messages qu'il contenait. Bref, n'hésitez pas à rappeler si je fais le mort et que cela concerne les affaires en cours.

Et le chantier qui progresse.

Et pour m'excusez d'avoir déserté ce blog pendant une quinzaine de jours, j'en appelle à Serge et à Charles !