17/10/2011
De quelques contrepoisons...
LE livre de Thomas Vinau (mais pas le premier, sûrement pas le premier contrairement à ce qui se dit/s'écrit ici ou là).
Une réédition étonnante aux Editions Le Pont du Change.
"La saga Maigros" signée Eric Dejaeger. Un feuilleton trash comme un San-Antonio sous acide n'aurait pas osé en écrire. ATTENTION, livre déconseillé aux âmes sensibles et à François Bon.
Et zou, une photo compromettante de mézigue avec l'auteur qui remonte à ma virée nordesque de la fin août :
(C'est clair, sur cette image, Dejaeger ne ressemble pas à San-Antonio).
Les nouveaux livres de François Beaune et Fabienne Swiatly... qui n'ont pas besoin de mon coup de projecteur, mais comme ce sont de belles personnes et qu'elles ont commis de rudement bons livres...
Oui, j'aime ces quatre auteurs. Et non, cette notule ne relève d'aucun copinage.
22:00 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : vinau, dejaeger, beaune, swiatly, allais, l'agonie du papier, le pont du change, unité de vie, un ange noir, la saga maigros, nos cheveux blanchiront avec nos yeux, amitié
13/01/2011
C'était le quatrième Cabaret Poétique...
... et tant pis pour ceux/celles qui n'étaient pas là. Ceci dit, la jauge du Périscope a failli exploser (on est monté à presque cent personnes au milieu du spectacle).
Il y a eu, pour commencer, les lectures de poésie prévues... avec beaucoup plus d'émotions que prévu...
Un résumé en mots ICI. Le résumé en images, c'est juste dessous :
François Beaune et sa fille Mado ont ouvert le bal...
... suivis d'Anne-Lise Blanchard...
... de Béatrice Brérot & Carole Hurtado (me manque une photo d'elles)... de Samantha Barendson...
... de Fabienne Swiatly...
... il y a eu des saluts ô combien mérités...
... et puis nous avons formé une sorte d'A.G autour de la disparition de "La Scène Poétique" (tout le monde n'est pas resté, mais beaucoup sont restés)...
... je me suis assis en bord de scène en compagnie de Patrick Dubost et de Pauline Catherinot...
... on a lancé le débat...
... dans la salle, il y avait du répondant...
... on a discuté "stratégie"...
... c'était juste l'un de ces petits miracles tel que le Cabaret Poétique nous en a fait vivre depuis juin 2010.
Toutes les photos illustrant cette notule sont l'oeuvre de Josette Vial (que je remercie vivement).
PROCHAIN CABARET POETIQUE LE DIMANCHE 20 FEVRIER, à 17 h !
21:24 | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : cabaret poétique, le périscope, beaune, blanchard, brérot, hurtado, barendson, swiatly, houdaer, dubost, catherinot, la scène poétique, bibliothèque de la-part-dieu
23/12/2010
QUATRIEME CABARET POETIQUE
Ça se passe le dimanche 9 janvier, à 17h, au Périscope (13 rue Delandine, métro Perrache). Ça réunit Anne-Lise Blanchard, Béatrice Brérot, Mado & François Beaune, Samantha Barendson, Fabienne Swiatly, Nahwël…
Il y sera également question de la scandaleuse suppression de « La Scène Poétique » à la bibliothèque de La-Part-Dieu et de la meilleure façon d’y REPONDRE.
Avec toujours Frédérick Houdaer dans le rôle de Jacques Martin.
Entrée gratuite (y’a juste une carte d’adhésion au Périscope de 2 € à prendre, valable un an).
Des photos de l’un des cabarets précédents :
http://houdaer.hautetfort.com/archive/2010/09/07/quelques-photos-de-frederic-muller.html
Un article sur le Cabaret Poétique :
http://houdaer.hautetfort.com/archive/2010/12/13/un-article-consacre-au-cabaret-poetique.html
22:49 Publié dans a.5) ANIMATEUR DU CABARET POETIQUE | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : blanchard, swiatly, brérot, beaune, barendson, nahwël, cabaret poétique, périscope, scène poétique, le jardin poétique
21/08/2010
Foulées
Plaisir de courir dans les rues de Lyon après la pluie. Au milieu de la chaussée pour commencer (les bagnoles observent encore une relative grève aoûtienne), puis sur les berges du Rhône. Y ai croisé x véhicules lunaires censés cleaner les lieux, une foultitude de volatiles au plumage plus ou moins noble, l'ancienne péniche de Fabienne Swiatly, trois notables sur bicycles escortés de motards avec gyrophares… Pour finir, dans ma propre rue, un sdf était occupé à NETTOYER les trottoirs (il chassait les détritus pour les balancer dans une poubelle). N'en jetez plus.
06:39 Publié dans LyonnÈseries, où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : jogging, course, berges du rhône, lyon, pluie, s.d.f, mauvais sang, carax, swiatly, binoche, lavant
08/01/2010
UNE TERRA INCOGNITA ETRANGEMENT FAMILIERE
Après « Gagner sa vie » (déjà à la Fosse aux ours), et « Boire » (aux éditions « Ego comme X »), Fabienne Swiatly publie… son premier roman. Dès le début, « on ne voit pas si c’est une femme ou encore une enfant, celle qui se tient debout au milieu des ruines ». Ce qui est certain, c’est que l’anti-héroïne de Swiatly s’affaire. Pas n’importe comment, pas n’importe où, pas n’importe quand. Elle cherche du charbon en plein Berlin année zéro. Pas un décor déjà vu pour Swiatly, mais un épicentre invivable qu’elle sait nous faire redécouvrir, ressentir, sans misérabilisme. L’écriture de Swiatly n’a rien perdu de sa précision (qui a peu à voir avec l’objectivité, et permet au roman d’échapper aux chausse-trappes du naturalisme).
La femme allemande se tient debout au milieu des ombres qui habitent « sous terre même si les bombes ne tombent plus ». Sachant pertinemment que « la guerre dure plus longtemps que les accords sur papier », que les soldats vainqueurs qui défilent représentent un danger. Elle va suivre (choisir ?) l’un d’eux, pourtant.
D’une langue l’autre, la voilà qui passe par la case « Lorraine ». Elle y passe et s’y arrête. Pour toujours. La transition n’en était pas une. Encalminée dans un quotidien marqué par les enfants, les 3 /8 du mari à l’usine (longtemps qu’il n’est plus le beau soldat à l’uniforme à la taille cintrée), les regards des beaux-parents sur l’étrangère…
Mais là encore, nul manichéisme chez Swiatly. Le mari n’a rien d’un salaud, les femmes entre elles se convainquent volontiers que le malheur est contagieux. Pour finir ? Pour finir, « la femme allemande mourra en pays étranger ».
Frédérick Houdaer
Une femme allemande
de Fabienne Swiatly
éditions La fosse aux ours
120 pages, 16 €
ISBN 978 2 912042 98 9
05:31 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : swiatly, une femme allemande, la fosse aux ours, berlin
14/09/2009
QUELQUES EFFETS D’ANNONCE
Ma dernière notule est, sans conteste possible, celle qui m’a valu le plus de messages privés depuis la naissance de mon blog. Et après ? Combien de mes amis polardeux, si courageux qu’ils n’ont pas osé commenter publiquement ma critique de Marignac, ont lu, seulement lu le livre dont il était fait mention ?
Pour changer de sujet, quelques effets d’annonce :
a) Vous voulez savoir à quoi va ressembler « ROCOCO TOKYOÏTE », le roman de Clément Bulle que je fais publier à la fin octobre aux éditions A plus d’un titre ? Cliquez ICI et sachez apprécier les indices. A signaler (ô mystérieuse résonnance avec le paragraphe précédent) que ce même Clément Bulle vient d’écrire un superbe papier sur "RENEGADE BOXING CLUB" de Thierry Marignac (nan, on s’est pas donné le mot) à paraître dans le prochain numéro de « L’INDIC ».
b) Mon prochain recueil de poèmes devrait sortir pour la fin de l’année. Il est dédié « à Eric Dejaeger, à Renaud Marhic et à Fabienne Swiatly, pour leurs noms difficiles à orthographier ».
c) Quelques nouveaux liens dans ma colonne de "passerelles": Thomas Vinau (aussi jeune que bon, salaud!), et un lien réactualisé (et nécessaire) vers le blog de Jean-Marc Flahaut (auteur du cinquième titre à paraître dans ma collection "A charge", mais chuuut, secret défense).
d) Je viens de me faire Wikipédier (merci à l'ami David).
20:50 Publié dans a.4) EDITEUR, où mon taux d'adrénaline augmente, polar | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : marignac, rococo tokyoïte, bulle, renegade boxing club, dejaeger, marhic, swiatly, vinau, flahaut, wikipédia
13/05/2008
pour Fabienne S.
... un "Apostrophe" de derrière les fagots (toujours attendre la dernière seconde où tout peut se jouer)...
... et un poète en action, Bukowski, pour finir !
Voilà mon bouquet pour la journée, Fabienne !
21:31 Publié dans où je trouve à rire, où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : swiatly, foïs, bukowski, apostrophe, peyrefitte, pivot
Bonheurs du jour
Une écrivaine d'hier (voir la liste des tags pour trouver son nom si vous ne l'avez pas reconnue)...
... une écrivaine d'aujourd'hui qui se demande fort justement "Jusqu'où cette ville?" (sautez l'intro chiante de François Bon)...
et de la musique parfaite pour lier le tout :
00:00 Publié dans LyonnÈseries, oreillettes, où je youtube, tu dailymentionnes... | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : swiatly, lyon, colette, these new puritans
17/03/2008
En vrac...
... des courriels de crétins qui pensent que je soutiens... Perben ! N'ont pas dû bien lire ma note précédente...
Pour les autres, ils peuvent zieuter le blog de Renaud, à la date du 24 février. Il y retoque qui il faut, comme il faut.
Sans oublier le carnet de notes de Fabienne.
21:12 Publié dans LyonnÈseries, pigments & pixels | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marhic, swiatly, couty