17/04/2021
Le 17 avril...
15:46 Publié dans Ephéméride, oreillettes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : louie louie, kingsmen, fbi
06/04/2021
Retrouver le souffle
08:44 Publié dans oreillettes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : anna calvi, calvi, you're not god, peaky blinders
17/10/2020
"C'est comment..."
L'allume-cigare, je peux contrôler
Les vitesses, c'est déjà plus calé
Je m'acolyte trop avec moi-même
Je me colle au pare-brise, ça me gêne...
13:40 Publié dans oreillettes, où mon taux d'adrénaline augmente | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : c'est comment qu'on freine, bashung
30/05/2020
Encore temps
09:49 Publié dans LyonnÈseries, oreillettes | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : kent, mai, starshooter, le dilettante, editions le dilettante, mois de mai, peine perdue
05/05/2020
Un peu de V.H.S. dans les oreilles...
– Non, mais… Parce que tes références musicales, là, elles sont un peu-beaucoup datées…
– Bien sûr. C’est un peu-beaucoup comme ce que j’écris, en ce moment.
– Comment tu peux en être aussi sûr ?
– Parce que j’y travaille.
04:38 Publié dans a.2) MES TEXTES, oreillettes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : iggy pop, cry for love
17/04/2020
Deux prénoms
18:32 Publié dans oreillettes | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : christophe, jeanne, dumont
16/03/2020
Le Cabaret Poétique annulé...
... le Cabaret Poétique confiné… mais le Cabaret Poétique salué et sauvé par cette émission radiophonique enregistrée hier. Merci à Fabien Drouet pour l'invitation !
Générique : Grégoire Damon & Sammy Sapin & (la voix de) Perrine Le Querrec & (Chéri-)Bibi. Bonne écoute !
21:49 Publié dans a.5) ANIMATEUR DU CABARET POETIQUE, oreillettes | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : le cabaret poétique, le périscope, sammy sapin, fabien drouet, grégoire damon, perrine le querrec, johnny cash
27/02/2020
Où François Bon nous raconte Led Zep à Lyon...
Le premier concert, à Lyon, le 26 mars 1973, c’est dans un stade de onze mille places où on a laissé entrer quinze mille jeunes, mais les portes sont forcées par quelques centaines d’autres qui prétendent à la gratuité des concerts (ce sera un vrai mouvement, quoique mineur, à l’époque). Grant explique au groupe que c’est une suite de ce que la France a connu en 1968, enfin pour la connaissance vague qu’il en a, et dont ils se contentent. Finalement, c’est les roadies de Led Zeppelin que Grant charge de bloquer les portes : on est quarante-quatre pour la tournée, si on retranche le groupe et les techniciens, l’avocat et le chargé de presse, ça en laisse deux bonnes douzaines qui, selon Gee, weren’t afraid to fight – si lui ne va pas au contact des gate crashers, c’est qu’il a peur d’en tuer un, dit-il. Mais quand des bouteilles vides viendront éclater sur la scène, Cole et lui repèreront le type qui les lance, et, dans la coulisse (tiré dans les escaliers par les cheveux en toute simplicité), on lui fera la fête.
Le lendemain, on joue à Nancy. La bonne ville de Lyon, sous la pluie, les a déçus : trop province, ça roupille, et on a encore la baston en tête. Ça pue les complications, dépôts de négociations, mieux vaut mettre un peu d’espace entre eux et Lyon (…).
François Bon, « Rock’n roll, un portrait de Led Zeppelin »
14:10 Publié dans LyonnÈseries, oreillettes | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : bon, led zeppelin, lyon, concert, bagarre
25/02/2020
Boîte de sardines & landeau...
18:30 Publié dans oreillettes, où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bukowski, gazarra, contes de la folie ordinaire, kerouac, ginsberg, cat power, good woman