UA-136760349-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

17/07/2023

" On affectionne... "

jean-pierre georges,éditions le dé bleu,nine inch nails

On affectionne les choses nettes

la coupe du monde de football

la fatigue, l’hétérosexualité

comme à vélo le mouvement nous

tient debout on se dévore

en commençant par les doigts

on a maints tics qui nous rendent

pitoyable à nos propres yeux

et - quelquefois – célèbre dans le monde

les nuits et les jours ne roulent

jamais assez vite pour assouvir

notre démence mille fées Carabosse

se penchant chaque matin sur

le berceau de nos journées.

 

OÛ ÊTRE BIEN, Jean-Pierre Georges, éd. Le dé bleu

 

17/04/2021

Le 17 avril...

Le 17 avril 1964, le laboratoire audio du FBI à Washington rapporte qu'il est incapable de préciser les paroles de la chanson controversée Louie Louie des Kingsmen.
Certaines rumeurs avancent qu'il y a des messages cachés à caractère sexuel dans la chanson.
 

06/04/2021

Retrouver le souffle

 

17/10/2020

"C'est comment..."

L'allume-cigare, je peux contrôler
Les vitesses, c'est déjà plus calé
Je m'acolyte trop avec moi-même
Je me colle au pare-brise, ça me gêne...

 

30/05/2020

Encore temps

Et, chez mon éditeur :

PeineaPerduea1.jpg

 

 

05/05/2020

Un peu de V.H.S. dans les oreilles...

– Non, mais… Parce que tes références musicales, là, elles sont un peu-beaucoup datées…

– Bien sûr. C’est un peu-beaucoup comme ce que j’écris, en ce moment.

– Comment tu peux en être aussi sûr ?

– Parce que j’y travaille.

 

 

 

17/04/2020

Deux prénoms

 

 

16/03/2020

Le Cabaret Poétique annulé...

... le Cabaret Poétique confiné… mais le Cabaret Poétique salué et sauvé par cette émission radiophonique enregistrée hier. Merci à Fabien Drouet pour l'invitation !

Générique : Grégoire Damon & Sammy Sapin & (la voix de) Perrine Le Querrec & (Chéri-)Bibi. Bonne écoute ! 

 

27/02/2020

Où François Bon nous raconte Led Zep à Lyon...

bon,led zeppelin,lyon,concert,bagarre

Le premier concert, à Lyon, le 26 mars 1973, c’est dans un stade de onze mille places où on a laissé entrer quinze mille jeunes, mais les portes sont forcées par quelques centaines d’autres qui prétendent à la gratuité des concerts (ce sera un vrai mouvement, quoique mineur, à l’époque). Grant explique au groupe que c’est une suite de ce que la France a connu en 1968, enfin pour la connaissance vague qu’il en a, et dont ils se contentent. Finalement, c’est les roadies de Led Zeppelin que Grant charge de bloquer les portes : on est quarante-quatre pour la tournée, si on retranche le groupe et les techniciens, l’avocat et le chargé de presse, ça en laisse deux bonnes douzaines qui, selon Gee, weren’t afraid to fight – si lui ne va pas au contact des gate crashers, c’est qu’il a peur d’en tuer un, dit-il. Mais quand des bouteilles vides viendront éclater sur la scène, Cole et lui repèreront le type qui les lance, et, dans la coulisse (tiré dans les escaliers par les cheveux en toute simplicité), on lui fera la fête.

Le lendemain, on joue à Nancy. La bonne ville de Lyon, sous la pluie, les a déçus : trop province, ça roupille, et on a encore la baston en tête. Ça pue les complications, dépôts de négociations, mieux vaut mettre un peu d’espace entre eux et Lyon (…). 

 

François Bon, « Rock’n roll, un portrait de Led Zeppelin »