23/02/2011
C'était le cinquième Cabaret Poétique...
... et tout s'est passé au Périscope, le dimanche 20 février. Remerciements à Sophie Thenoz, Josette Vial et ? pour les photos (cliquez dessus pour les agrandir).
Prochain Cabaret, le dimanche 13 mars à 17h, avec Laurence Loutre-Barbier, Hélène Dassavray, Camille Helleboid, Judith Lesur...
10:05 Publié dans a.5) ANIMATEUR DU CABARET POETIQUE | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : cabaret poétique, pigani, bressande, barendson, sebasti, pourchayre, houdaer, rivron, lefort, périscope
06/02/2011
Passé, présent, avenir…
La conf' à l'E.N.S ? C'était bien. Et gonflé (question affluence & question texte à lire). La scientifique qui est également intervenue (Catherine Vidal) a fait montre d'un bel engagement.
Le 15 février ? Il y a ça (comme d'hab', cliquez sur l'image pour l'aggrandir) :
Le dimanche 20 février, c'est jour de Cabaret Poétique. Ça se passe toujours ici. Cela réunira Paola Pigani, Yve Bressande, Samantha Barendson & Thomas Pourchayre, Stéphanie Lefort, Marie-Ange Sebasti & moi, Serge Rivron…
Autrement ? J'écoute de drôles de trucs en ce moment, surtout
18:14 Publié dans a.5) ANIMATEUR DU CABARET POETIQUE, LyonnÈseries, planches | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : ens, vidal, givors, rock, (h)auteurs, pigani, bressande, barendson, pourchayre, lefort, sebasti, rivron
01/02/2011
Où je balance à « L’Indic »
Maintenant que le nouvel opus de « L’Indic » est sorti, je puis mettre en ligne l’entretien que j’avais accordé à cette (excellente) revue lors de son précédent numéro.
L’indic : Bonjour Frédérick, tu vas bientôt sortir le 6e roman de la collection À Charge, collection que tu as créée aux éditions A PLUS D'UN TITRE et que tu diriges depuis début 2009. Comment définirais-tu cette collection ? F.H : Elle est dédiée à une littérature noire, vibrante et contemporaine (Soulages définit le « noir » comme une couleur contenant toutes les autres couleurs). Dans la collection « À Charge » se croisent, s’entrechoquent différentes voix, différents styles, différentes fictions qui ne craignent pas de se frotter au monde réel. Pour preuve, les deux premiers romans qui y ont été publiés exploraient deux marges bien différentes : l’une rurale (Les ruines de la future maison, roman solaire d’Hélène Dassavray), l’autre urbaine (Curtis, coup de hache signé Dominique Salon). Sans Hubert Selby jr, Dominique de Roux ou Bukowski (pour n’en citer que trois), la collection « À Charge » n’existerait pas. Il me semble que la littérature noire peut se définir en partie comme un constat : la société industrielle et capitaliste est un échec pour l'humanité et c'est ce que nous montrons ici, ce dont nous parlons, c'est l'angle d'attaque de la littérature noire. La collection À Charge s'inscrit-elle dans ce constat ? Oui, la question de l'angle... Ce "constat" dont tu parles est loin d'être suffisant. Quand Simenon parle de sa recherche de "l'homme nu", ça va plus loin. Plus loin que "Sarko, c'est caca, et l'argent, c'est pas bien". La littérature noire ne doit pas être une sorte de littérature de catéchèse de gauche. Je l'aime implacable et paradoxalement revigorante. Un nom en France : Thierry Marignac, qui n'occupe pas la place qu'il devrait occuper parmi les auteurs de sa génération. Ce constat d'échec n'est pas seulement fait à gauche - ADG en parle - il est plus complexe qu' "Argent pas bien" ou "Président pourri" et s'inscrit à la fois dans la sociologie ou la lutte des classes chez Manchette, voire "la réaction" (chez ADG justement). Mais peut-être cet angle d'attaque qui pouvait en partie définir l'étiquette littérature noire à un moment donné est en train de changer. Pour Simenon effectivement "l'origine du mal" n'est pas avant tout sociétale. Il s'intéresse plus à "l'événement", au "drame" et ce qui y a conduit, par le biais psychologique. Oui, mais là encore, le biais psychologique ne suffit pas. Est-ce que Selby, quand il écrit « Le démon », nous pond une œuvre psychologisante ? J’aime bien aussi l’idée qu’un roman important… ça s’évalue aussi au nombre de livres que celui-ci ANNULE. Voir le serial-killer Rimbaud et ses « zécrits de jeunesse », quand il place un sacré coup de vieux derrière la nuque de toute une batterie de poètes de son temps. Tu es un homme aux multiples occupations, romancier, poète... que représente pour toi le travail d'un directeur de collection ? Comment devient-on directeur de collection ? Au commencement, il y a un lecteur. Je suis un lecteur. Le B.A.BA. Les fondamentaux. Jamais rechigné à lire les autres. Et je n'aime pas m'emmerder. Et quand je tombe sur le manuscrit de « Rococo Tokyoïte » de Clément Bulle, ça me fait quelque chose de constater que San-Antonio et Christian Prigent ont pu mélanger leur A.D.N pour créer un nouvel auteur ! Comment fais-tu ton choix entre les manuscrits que tu reçois, les auteurs que tu sollicites... ? Quelles sont les caractéristiques d'un texte que tu as envie de publier ? Ben oui, c'est horrrrrriblement élitiste. Je fais des choix. Le critère ? La voix. La langue. "La voix", "la langue"... tu veux dire le style, la manière de raconter ? mais j'imagine que ce qui est raconté t'importe aussi ! Quoi que peut-être le style englobe aussi ce que l'auteur raconte ? "La voix, la langue"... Le coup de pinceau, si tu préfères. On peut aimer Van Gogh et détester les tournesols. Mais bien sûr que « Shopping Bang Bang » de Labedan-Flahaut est aussi un roman politique. Et « Aux vents ! » de Marc Pellacoeur (qui se passe dans la ville de province dont Maurice Papon était le maire) ! Toi qui connais les deux aspects (auteur/éditeur), quel est ton regard sur le monde de l'édition, que l'on dit en faillite, ses enjeux, son avenir ? O.K. Après avoir connu cinq éditeurs différents en tant qu'auteur, autant de directeurs de collection... le monde "merveilleux" des auteurs... la "grande famille" des libraires... le nerf de la guerre qu'est le distributeur... Je pourrais facilement gloser sur la chiennerie éditoriale, à quel point la chaîne du livre est viciée. Que les choses soient claires : dans cette fameuse chaîne du livre, les maillons les plus importants à mes yeux sont le premier et le dernier : l'auteur et le lecteur (le premier étant le plus maltraité). J'attends beaucoup (trop ?) des révolutions numériques en cours, ne pleurnicherai pas sur certains monopoles qui vont s'effondrer. Quoiqu’il arrive, la situation ne peut se détériorer pour les auteurs, en comparaison de leur situation actuelle. Quoiqu’il arrive. Peux-tu nous donner quelques chiffres ? Combien d'exemplaires tirés en moyenne pour un roman À charge ? Combien de manuscrits lis-tu dans l'année ? Notre best-seller : "Les ruines de la future maison" de Hélène Dassavray. Ses 1500 ex sont tous partis. Le bouche-à-oreille. Les tirages oscillent entre 500 et 2000 ex, suivant les titres. Je lis une grosse cinquantaine de manus par an. Le plus souvent effaré de constater que les gens envoient leur texte sans avoir pris la peine de lire ce qui était sorti dans la collection. Quelle est selon toi la plus grosse difficulté rencontrée par un éditeur, un directeur de collection ? Voir ce que j'ai dit sur la chaîne du livre. Et j'ai été gentil. En 2011, quels sont tes projets pour ta collection « À charge » aux Editions A PLUS D’UN TITRE ? Le deuxième roman de Hélène Dassavray "Le dimanche, je m'appelle Olivier". Un roman "italien" écrit en français par Philippe Puigserver.
06:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
22/01/2011
Mille-feuilles
"Le cerveau a-t-il un sexe ?". Si vous voulez m'entendre trouver la réponse DEFINITIVE à cette question, venez à l'E.N.S (sciences) le mercredi 1ier février), à 18h30. Plus de détails, ICI.
Des nouvelles du chantier ? Il fait plus qu'avancer. C'est clair, nous sommes dans la dernière ligne droite. La (bonne) tension n'est pas retombée.
Des nouvelles de la pétition ? Presque 350 signatures de réunies. Une flopée de poètes, bien sûr (Bernard Noël, Bobillot...). Mais pas que. Des romanciers (Marcus Malte, Brigitte Giraud, Jean-Pierre Spilmont...), mais pas que.
18:47 Publié dans LyonnÈseries, où mon taux d'adrénaline augmente | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : e.n.s, cerveau, sexe, roman en cours, la scène poétique, noël, bobillot, malte, giraud, spilmont
13/01/2011
C'était le quatrième Cabaret Poétique...
... et tant pis pour ceux/celles qui n'étaient pas là. Ceci dit, la jauge du Périscope a failli exploser (on est monté à presque cent personnes au milieu du spectacle).
Il y a eu, pour commencer, les lectures de poésie prévues... avec beaucoup plus d'émotions que prévu...
Un résumé en mots ICI. Le résumé en images, c'est juste dessous :
François Beaune et sa fille Mado ont ouvert le bal...
... suivis d'Anne-Lise Blanchard...
... de Béatrice Brérot & Carole Hurtado (me manque une photo d'elles)... de Samantha Barendson...
... de Fabienne Swiatly...
... il y a eu des saluts ô combien mérités...
... et puis nous avons formé une sorte d'A.G autour de la disparition de "La Scène Poétique" (tout le monde n'est pas resté, mais beaucoup sont restés)...
... je me suis assis en bord de scène en compagnie de Patrick Dubost et de Pauline Catherinot...
... on a lancé le débat...
... dans la salle, il y avait du répondant...
... on a discuté "stratégie"...
... c'était juste l'un de ces petits miracles tel que le Cabaret Poétique nous en a fait vivre depuis juin 2010.
Toutes les photos illustrant cette notule sont l'oeuvre de Josette Vial (que je remercie vivement).
PROCHAIN CABARET POETIQUE LE DIMANCHE 20 FEVRIER, à 17 h !
21:24 | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : cabaret poétique, le périscope, beaune, blanchard, brérot, hurtado, barendson, swiatly, houdaer, dubost, catherinot, la scène poétique, bibliothèque de la-part-dieu
12/01/2011
Pour sauver « La Scène Poétique » à la Bibliothèque Municipale de Lyon !
Mise à jour le 14 janvier
La Scène Poétique est un cycle de poésie parlée dont le poète Patrick Dubost s’est occupé de 2003 à décembre 2010, à la Bibliothèque Municipale de la Part-Dieu, à Lyon.
En décembre 2010, en beau milieu d’année, le cycle a été supprimé par Mr Bertrand Calenge, directeur intérimaire de cette bibliothèque (l’une des plus importantes bibliothèques municipales de France, sinon d’Europe) sans que celui-ci ait rencontré son animateur ni ne lui ait adressé le moindre reproche. Et sans que « La scène poétique » soit remplacée par un autre cycle de lectures bénéficiant des mêmes conditions matérielles qui autorisaient la venue de poètes venus « de tous les horizons ».
Si « La scène poétique » disparaît, elle ne sera pas remplacée !
Parce que nous refusons la suppression pure et simple de ce rendez-vous privilégié avec la poésie, signons cette pétition et faisons-la circuler.
POUR SIGNER LA PETITION, C’EST ICI !
Quelques liens pour mieux « cerner » ce qui est en péril :
http://www.sitaudis.fr/Excitations/chagrin-de-la-poesie-comme-peau-de-chagrin.php
http://patrick.dubost.free.fr/la_scene_poetique.html
http://paulinecatherinot.kazeo.com/Jardin-poetique/Dispar...
http://texte-et-toile.blogspot.com/2011/01/lyon-le-10-jan...
Liste (partielle) des auteurs reçus à la « Scène Poétique » Démosthène Agrafiotis (Grèce)
Nadine Agostini
Anas Alaïli (Palestine)
Jean Antonini
Isabel Asunsola (Espagne)
Pierre Autin-Grenier
Edith Azam
Isabelle Baladine Howald
Vincent Barras (Suisse)
Hervé Bauer
Philippe Beck
Janick Belleau (Québec)
Patrick Beurard-Valdoye
Julien Blaine
Jean-Pierre Bobillot
Yves Bonnefoy
Lionel Bourg
Le Groupe BoXoN
Thomas Braichet
Cyril Bret
Jean de Breyne
Charles-Mezence Briseul
Anne-James Chaton
Nicolas Chazel
Giuseppe Conte (Italie)
Christian Cottet-Emard
Séverine Daucourt-Fridriksson
Florence Delay
Saleh Diab (Syrie)
Frank Doyen
Ariane Dreyfus
Jean-Pascal Dubost
Armand Dupuy
Duo Duo (Chine)
Werner Dürrson (Allemagne)
Antoine Emaz
Denis Ferdinande
Violaine Forest (Québec)
Alessandro de Francesco (Italie)
Mohammed El Amraoui
André Gache
Renée Gagnon (Québec)
Pierre Gallais
Albane Gellé Nicolas Giral
Sandrine Gironde
Liliane Giraudon
Jean-Marie Gleize
Michaël Gluck
Jacques Goorma
Fred Griot
George Hassomeris
Vincent Hoarau
Jean-Louis Houchard
Frédéric Houdaer
Charles Juliet
Béatrice de Jurquet
Leslie Kaplan
Anne Kawala
D. Kimm (Québec)
Roger Lahu
Catherine Lalonde (Québec)
Patrick Laupin
Mylène Lauzon (Québec)
Samuel Lequette
Sébastien Lespinasse
Geneviève Letarte (Québec)
Sophie Loizeau
Sabine Macher
Thierry Martin-Scherrer
Odile Massé
Jérôme Mauche
Emmanuel Merle
Jacqueline Merville
Michèle Métail
Jean-Baptiste Monat
François Montmaneix
Proteus Morganii
Chantal Neveu (Québec)
Sylvie Nève
Bernard Noel
Valère Novarina
Camille Olivier
Charles Pennequin
Christophe Petchanatz
Serge Pey
Robert Piccamiglio
Jean-Yves Picq
Isabelle Pinçon
Emmanuelle Pireyre
Siegfried Plümper-Hüttenbrink
Claudio Pozzani (Italie)
Christian Prigent
Thierry Renard
Jacques Rebotier
Jean-François Robic
Alain Robinet Germain Roesz
Jacques Roubaud
Valérie Rouzeau
James Sacré
Caroline Sagot-Duvauroux
Annie Salager
Yann Serra
Jean-Pierre Spilmont
Gwenaëlle Stubbe (Belgique)
Michel Thion
Pierre Tilman
Roland Tixier
Serge Tomé (Belgique)
Véronique Vassiliou
Joël Vernet
Eric Villeneuve
Hubert Voignier
Cosima Weiter
Alain Wexler
Klaus-Dieter Wirth (Allemagne)
Claude Yvroud Annie Zadeck
10:11 Publié dans LyonnÈseries, où mon taux d'adrénaline augmente | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : scène poétique, poésie, pétition, lyon, bibliothèque de la-part-dieu, dubost, novarina, loizeau, spilmont, bonnefoy, autin-grenier, pennequin, laupin, prigent, roubaud, pey, salager, zadeck, gellé, pireyre
03/01/2011
Voeux, etc.
10:10 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (3)
23/12/2010
QUATRIEME CABARET POETIQUE
Ça se passe le dimanche 9 janvier, à 17h, au Périscope (13 rue Delandine, métro Perrache). Ça réunit Anne-Lise Blanchard, Béatrice Brérot, Mado & François Beaune, Samantha Barendson, Fabienne Swiatly, Nahwël…
Il y sera également question de la scandaleuse suppression de « La Scène Poétique » à la bibliothèque de La-Part-Dieu et de la meilleure façon d’y REPONDRE.
Avec toujours Frédérick Houdaer dans le rôle de Jacques Martin.
Entrée gratuite (y’a juste une carte d’adhésion au Périscope de 2 € à prendre, valable un an).
Des photos de l’un des cabarets précédents :
http://houdaer.hautetfort.com/archive/2010/09/07/quelques-photos-de-frederic-muller.html
Un article sur le Cabaret Poétique :
http://houdaer.hautetfort.com/archive/2010/12/13/un-article-consacre-au-cabaret-poetique.html
22:49 Publié dans a.5) ANIMATEUR DU CABARET POETIQUE | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : blanchard, swiatly, brérot, beaune, barendson, nahwël, cabaret poétique, périscope, scène poétique, le jardin poétique
13/12/2010
Un article consacré au Cabaret Poétique
L’ECOLE (POETIQUE) DU DIMANCHE
« Le problème de la lecture de poésie, c’est que cela tourne trop souvent à la messe ». De la messe, Frédérick Houdaer n’a conservé que le jour pour les cabarets poétiques qu’il a lancés à la rentrée 2010 au Périscope – une salle faisant partie du dispositif Scènes Découverte. Un dimanche par mois, à 17 h, l’écrivain Houdaer se fait programmateur et Monsieur Loyal d’une rencontre qui convie à chacune de ses sessions sept ou huit poètes de 29 à 70 ans, représentant toutes les « chapelles » d’un microcosme régional qu’il connaît bien, et dans lequel il évolue depuis quelques années en tant qu’auteur et éditeur.
Textes lus à voix nue, slam et performances se succèdent sur scène, variant les plaisirs d’un public dont la curiosité et la présence à cet horaire baroque ne laissent pas de ravir l’instigateur de ce festin de mots : « C’est un petit miracle, je ne sais pas combien de temps cela durera. Les poètes viennent « pour mes beaux yeux », nous avons zéro budget… Quant au public, il est composé d’amis réunis grâce à Facebook, de gens qui n’avaient jamais mis les pieds au Périscope et d’habitués du lieu ». Un lieu mis amicalement à disposition par l’une de ses fondatrices, Françoise Bressat, et qui participe de l’ambiance particulière de chaque cabaret. Pour la vivre, il faut se rendre sur place, aucune captation des sessions passées n’ayant été effectuées, Frédérick Houdaer se refuse à « accumuler de l’archive », privilégiant la fragilité du live. Pour lui, « ces cabarets, c’est de l’archi-éphémère avant tout ».
Vincent Raymond, in « LIVRE & LIRE » n°257, décembre 2010
13:02 Publié dans a.5) ANIMATEUR DU CABARET POETIQUE, LyonnÈseries | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : périscope, cabaret poétique, livre & lire