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13/06/2008

ça finit à la page des faits-divers...

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... mais avant, qu'est-ce que c'est beau !
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L'indice + deux articles à lire après avoir vu le film

04/06/2008

SIGNÉ PAPI !

"C'est un grand agrément que la diversité:

Nous sommes bien comme nous sommes.

Donnez le même esprit aux hommes,

Vous ôtez tout le sel de la société.

L'ennui naquit un jour de l'uniformité."

Antoine Houdar de La Motte ("Les amis trop d'accord")

31/05/2008

LES RUINES DE LA FUTURE MAISON

Paru ! Aux éditions "A plus d'un titre", dans la collection "A charge": "LES RUINES DE LA FUTURE MAISON".

L'auteur: Hélène Dassavray.

Extraits:

« Il disait que la maison tiendrait cinq cents ans, il avait construit vingt centimètres d'un seul mur en un mois. Ne serait-ce qu'une pièce à quatre murs, de deux mètres de haut, et sans parler de la toiture, le compte était vite fait.

L'hiver allait arriver bien plus vite que ça. »

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La maman de Clément avait ramené Flammes-de-l'Enfer au Campement. J'avais remarqué son regard curieux, alors je lui avais fièrement fait visiter la cabane, les alentours - le tour du propriétaire. En partant, elle m'avait embrassée chaleureusement.

-         Tu as beaucoup de courage de vivre comme ça !

Je comprends mieux maintenant ce qu'elle avait voulu dire, mais à l'époque j'avais passé plusieurs soirées à me le demander. C'était aux autres que je trouvais du courage." 

 

ICI, UN ARTICLE DU CANARD ENCHAINE SUR CE LIVRE !

ICI et ICI, les échos qu'a trouvé le livre sur la toile.

ICI, un article dans la revue "Le croquant".

LES RUINES DE LA FUTURE MAISON

de Hélène Dassavray

Editions A plus d'un titre, collection A charge

122 pages, 12€50

ISBN 978 2 91748 600 9

Diffusion-distribution: Court-Circuit

Pour l'acheter sur Internet, c'est ici, mais vous pouvez très bien le commander chez votre libraire.

 

Pour tout savoir sur "CURTIS", le deuxième livre de la collection "A charge", c'est par .

L'INDIC n°1

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Une revue belle, intelligente... ambitieuse et pas prétentieuse! Chapeau à Caroline, Emeric, Clément et les autres...

Vous pouvez commander le premier numéro en mettant un chèque de 4 Euros (deviendront jamais riches ceux qui s'occupent de cette revue, finiront pas rédac' chef du Figaro Magazine comme moi) à l’ordre de Fondu Au Noir, dans une enveloppe à destination du 27 rue Anatole Le Braz - 44000 NANTES. Contact : fan@nantes.fr

20/05/2008

Jeudi, à 8h30, Palais de justice de Lyon

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13/05/2008

Bonheurs du jour

Une écrivaine d'hier (voir la liste des tags pour trouver son nom si vous ne l'avez pas reconnue)...

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 ... une écrivaine d'aujourd'hui qui se demande fort justement "Jusqu'où cette ville?" (sautez l'intro chiante de François Bon)... 

et de la musique parfaite pour lier le tout :

24/04/2008

Signatures en mai...

... le 1ier mai, au salon du livre de Nyons.

... le week-end du 17-18 mai, à la Cambuse du noir, à Valence.

Je serai bien accompagné à la Cambuse, et notamment par Hélène Dassavray.

22/04/2008

Article sur la collection "A charge"

C'est le premier article consacré à la collection, avant même la parution du premier livre. Il est signé Leïla Lovato, et vous le trouverez dans le journal de la Mapra.

Extrait:

Collection A charge, ou les variations libres et plurielles d’une littérature noire

Depuis à peu près deux ans, la librairie « A plus d’un titre », Alain Léger en tête d’équipe, est aussi sous le même nom, éditrice de livres. Peu d’entre nous sans doute le savaient car, passés les premiers pas (avec quand même une petite dizaine de publications), c’est maintenant que l’aventure semble s’affirmer et le projet s’étoffer. De plus, aspect non négligeable, les éditions « A plus d’un titre » sont désormais diffusées par « Court-Circuit », ce qui leur donne une meilleure visibilité dans de nombreux lieux en France et ailleurs. Or voici que dans ce parcours encore jeune des éditions, apparaît « A charge », une nouvelle collection dirigée en particulier par l’écrivain Frédérick Houdaer. C’est donc avec lui que je vous propose de la découvrir, à travers la présentation que lui-même en fait, et à travers un petit entretien qu’il a bien voulu amicalement m’accorder. On comprendra que l’homme use d’une langue franche, sans doute parce qu’il sait qu’en matière de création, il y a prise, prise de position, prise de place… lui qui puise volontiers dans le lexique guerrier pour décrire sa démarche…

L.L.

(...) 

-         « A charge », pourquoi ce titre ?

Je n’ai pas de réponse fermée. On pourrait ouvrir un dictionnaire, chercher les acceptions du mot « charge » et les emplois de l’expression. J’y entends par exemple : « à charge de revanche ». Je ne suis pas vierge. Intervenir, travailler, collaborer à divers niveaux de la chaîne du livre, m’a permis d’avoir une bonne vue sur sa réalité. Un paysage que beaucoup d’auteurs ignorent. J’ai connu plusieurs éditeurs, et plusieurs manières de faire, j’ai constaté une attitude générale que je qualifierais de « porcine », dont la principale caractéristique est le jeu de dupe.

Mais attention, avec Alain (Léger), je n’ai pas trouvé un noyau de personnes frustrées, ni blasées ou écœurés. A notre échelle, notre démarche et notre travail sont investis d’une réelle ambition.

 

-         Quels sont les points de départ pour constituer la collection ?

Au cours des années, j’ai reçu plusieurs manuscrits, parmi lesquelles j’ai décelé quelques pépites. J’en ai poussé certains vers des éditeurs. La plupart du temps, ils ont intéressé, et n’ont pas été publiés in extremis, comme par exemple chez Actes Sud. Je ne voulais pas gâcher ces énergies.

Etre directeur de collection, ce n’est pas être sympa. Il faut d’abord savoir dire Non, mais le Oui, quand il advient, est un engagement. Etre directeur de collection relève sans nul doute d’un travail de création, avec ce qu’il comprend d’implication.

 

-         Quelle ligne sous-tend cette collection à l’heure où elle publie ses deux premiers titres ?

Là encore, pas de réponse fermée. C’est pour cela que, pour présenter la collection, je reprends la définition que Soulage donne du noir. J’aime l’idée de « prose à part », non formatée. Ce seront des formats plutôt courts. Les deux premiers titres définissent un espace possible pour les prochains textes accueillis. « Les ruines de la future maison », de Hélène Dassavray, est un roman autobiographique. Une écriture solaire, car le noir peut être solaire. « Curtis », de Dominique Salon, est à l’opposé, un roman sec comme un coup de trique. Les deux romans présentent deux pôles. Ça peut surprendre, mais au contraire, ils posent d’emblée les deux bornes entre lesquelles la collection se développera.

-         Quel choix est fait concernant l’identité graphique de la collection ?

Elle sera notamment signifiée par les couvertures. On achète une série de photos à Jean-Marc Sohier : des clichés de chaises prises sous tous les angles. Rien d’illustratif donc. Un lieu est créé, avec son unité, ses éléments récurrents, et ses infinies déclinaisons possibles. C’est bien dans cet esprit que s’initie la collection…

Renseignements :

Librairie A plus d’un titre : 4 quai Pêcherie, 69001 Lyon - 04 78 27 69 51

09/04/2008

pour Philippe B.

D'abord, cet entretien politique avec Christian Schiaretti... où la droite et la gauche sont (presque) renvoyées dos à dos, où la LCR et le FN se prennent une baffe dans la même phrase (chapeau, l'artiste!). 

Ensuite, une p'tiote vidéo: il s'appelle Bukowski (sic) et chante Cohen !