01/10/2008
Déplacements
Le week-end du 11-12 octobre, je serai à Saillans (dans la Drôme) pour participer à son (charmant) salon du livre.
Autrement, quelques jours de prévus à Paris, en octobre et en novembre. Vite passés. Déjà bien remplis. À l’avance. D’où le danger. Si tout est programmé, ce ne sera pas la peine de descendre du T.G.V.

07:26 Publié dans pigments & pixels, SIGNATURES | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : paris, nolde
16/09/2008
Mes livres de cette rentrée
… Où il ne sera pas question de la seule « Oreille de Denys », mais également de celle de Renaud Marhic, de celle qu’il prête aux messages de notre époque (des plus flagrants aux plus insidueux).
Renaud Marhic, donc. Il écoute, décrypte, démine, retranscrit… en un verbe comme en cent : il écrit. Il ne se contente pas de sortir des livres, il en écrit. Et pas à des fins d’adaptation cinématographique (mais qui peut se dire à l’abri de ce genre de récupération ? « La mécanique des femmes » de Calaferte n’a-t-elle pas été transposée à l’écran ?).
Évoquer la prose de Marhic, c’est parler d’une littérature contemporaine et adulte (ce qui ne l’empêche nullement d’être hantée), montrer qu’un style des plus travaillé peut être le meilleur outil de discernement, et non une technique d’enfumage.
Marhic, s’il arrache de nombreux masques, ne théorieducomplote pas le moins du monde, il a trouvé quelque chose de plus pertinent à faire : établir un état des lieux le plus précis possible (faisant donc appel aux ressorts les plus poétiques de la langue) du théâtre des manipulations en cours.
Avec son narrateur, un « ex-psychologue d’entreprise fait libéral par l’ambition de sa femme », Marhic dispose du guide ad hoc pour conduire son lecteur au cœur des plus cauchemardesque guérisons.
S’il est exact que l’on mesure l’importance d’une œuvre littéraire par le nombre d’ouvrages qu’elle annule, s’il est vrai que l’on reconnaît un écrivain au nombre d’ennemis qu’il ne craint pas de se faire, le doute n’est plus permis concernant « L’oreille de Denys » et Renaud Marhic.
Lecteur, tu auras été averti.
23:30 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : marhic, michéa, orwell
12/09/2008
Mon dernier escroc d'éditeur en date
08:00 Publié dans où mon taux d'adrénaline augmente | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : kerlidou, alain kerlidou, ak éditions
05/09/2008
Sur la toile...
20:44 Publié dans a.4) EDITEUR | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dassavray, salon, a charge, de benedetti, prat
23/08/2008
UN ARTICLE DU CANARD ENCHAINÉ daté du 20 août…
12:17 Publié dans a.4) EDITEUR | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : dassavray, le canard enchaîné, les ruines de la future maison, a charge, a plus d'un titre
28/07/2008
Tête de gondole estivale
Entre deux manuscrits lus pour la collection...
21:50 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pigani, meyrinck, carver, urien, ruaud, la collecte des monstres, concertina
19/07/2008
Maudit soit Andreas Werckmeister !
« Rapidement exposées, les caractéristiques que les astronomes prêtent aux trous noirs, à savoir le fait qu’il s’agit d’un astre en fin de vie ne pouvant être directement observé, engloutissant toute forme de matière et d’énergie à sa portée et dont la présence nous est révélée par les étonnantes quantités d’énergie produites par sa gloutonnerie, nous font immédiatement songer à certaines œuvres phares de la modernité. Car, pour paraphraser le marquis (qui lui aussi fut divin à sa manière) Pierre-Simon Laplace, il est possible que les plus grandes œuvres littéraires, soient, en raison même de la densité à laquelle elles paraissent être parvenues, invisibles. Elles aussi déforment l’espace-temps à leur voisinage. Cachées bien qu’elles demeurent connues de tous (soyons quelque peu prudents : connues des honnêtes hommes, s’il en reste…), elles représentent de véritables puits de chaos au sein d’un univers autrement impeccablement ordonné, dont les règles et les usages sont enseignés depuis quelques siècles dans les universités, par de tranquilles et trop souvent imbéciles professeurs qui riraient s’ils me lisaient. »
Juan Asensio
10:16 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : maudit soit andreas werckmeister !, asensio, stalker
01/07/2008
DUCH'CITY
Le week-end qui vient, un certain nombre d'artistes (quarante-douze) performeront à la Duchère. Dont vot' serviteur.
07:00 Publié dans LyonnÈseries | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : la duchère, là hors de
27/06/2008
à qui de droit
22:17 Publié dans oreillettes | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : hammond jr