13/09/2020
Montaigne (parti un 13 septembre)
06:54 Publié dans carottages littéraires, Ephéméride | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : montaigne, once upon a time in america, il était une fois en amérique, leone, martin eden, london, noodles
08/08/2020
"En vitrine de la Maison de la Presse de Chinon aujourd’hui..."
08:03 Publié dans carottages littéraires | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jean-pierre georges, georges, tarabuste, éditions tarabuste
11/07/2020
"le plus clair de mon temps..."
Charles Bukowski, préface à "Ask the dust" de John Fante, 5 juin 1979.
16:49 Publié dans carottages littéraires | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : bukowski, fante, préface
11/05/2020
116 ans
05:18 Publié dans carottages littéraires, Ephéméride, pigments & pixels | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dali, salvador dali
07/03/2020
" ... grise ou pourrie de bleu "
Où se complaire.
Mais la menace est toujours là
Dans le dehors.
Et la joie
Leur vient d'eux seuls,
Que la mer soit grise
Ou pourrie de bleue.
Guillevic
07:51 Publié dans carottages littéraires | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : guillevic, mer, dunkirk, dunkerque, nolan
03/03/2020
Alphonse Boudard
08:05 Publié dans carottages littéraires | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : boudard, juge, magistrat
26/01/2020
"Ai-je assez..."
15:43 Publié dans carottages littéraires | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : stendhal, vanité, jean yanne, yanne
28/12/2019
"J'aimais..."
J'aimais les peintures idiotes, dessus de portes, décors, toiles de saltimbanques, enseignes, enluminures populaires ; la littérature démodée, latin d'église, livres érotiques sans orthographe, romans de nos aïeules, contes de fées, petits livres de l'enfance, opéras vieux, refrains niais, rythmes naïfs…
Arthur Rimbaud
05:07 Publié dans carottages littéraires, pigments & pixels | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : rimbaud, arthur rimbaud
04/12/2019
B.B.B.
« Il faut en France beaucoup de fermeté et une grande étendue d’esprit pour se passer des charges et des emplois, et consentir ainsi à demeurer chez soi et à ne rien faire. Personne presque n’a assez de mérite pour jouer ce rôle avec dignité, ni assez de fonds pour remplir le vide du temps, sans ce que le vulgaire appelle des affaires. Il ne manque cependant à l’oisiveté du sage qu’un meilleur nom ; et que méditer, parler, lire et être tranquille s’appelât travailler. »
La Bruyère
11:58 Publié dans carottages littéraires | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : la bruyère, the big lebowski