30/07/2022
"Au fin fond..."
09:52 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : greenland, saône-et-loire, cabine téléphonique, boîte à livres
18/07/2022
Météo du jour & dans ma bibliothèque
04:18 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : météo, été, bukowski, hot water music
29/05/2022
"... pas seulement..."
20:04 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pratt, hugo pratt, le désir d'être inutile, mon nom est personne
04/05/2022
"La loi"
Détail cocasse : dans le roman, il est question de la Sophia Loren et de la Lollobrigida comme de deux références incontournables pour les femmes italiennes de l'époque... Dans l'adaptation au cinéma (réalisée par Jules Dassin), c'est la Lollobrigida qui tient le rôle principal ! Pas vu ce film (Vailland l'a renié), mais le roman, quelle claque (surtout les quarante dernières pages).
08:04 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : la loi, vailland, loren, lollobrigida, dassin
15/04/2022
"Quelques années plus tôt..."
07:23 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : char, boisset, western, la vie est un choix
19/01/2022
Hugh Mac Diarmid (Sous le Sceau du Tabellion)
09:36 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : hugh mac diarmid, mac diarmid, sous le sceau du tabellion, patrick reumaux, poésie écossaise
26/12/2021
"avant chaque électiion..."
03:55 Publié dans où je lis, polar | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : thompson, pottsville 1280 habitants, jean-paul gratias, coup de torchon
24/12/2021
"c'est grand comment, en fait ?"
10:51 Publié dans où je lis, polar | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pottsville 1280 habitants, thompson, jean-paul gratias, rivages noir, coup de torchon
02/12/2021
Du...
Sa vie tout entière fut une influence, c’est-à-dire ce qui ne peut guère se raconter. On la sent tout le temps qu’elle dure, et quand elle n’est plus, on en peut signaler les résultats (…). On retrouve Herculanum sous la cendre ; mais quelques années sur les mœurs d’une société l’ensevelissent mieux que toute la poussière des volcans. Les Mémoires, histoire de ces mœurs, ne sont eux-mêmes que des à-peu-près. On ne retrouvera donc pas, comme il le faudrait, détaillée et nette, sinon vivante, la société anglaise du temps de Brummell. On ne suivra donc jamais, dans son ondoyante étendue et sa portée, l’action de Brummell sur ses contemporains. Le mot de Byron, qui disait aimer mieux être Brummell que l’empereur Napoléon, paraîtra toujours une affectation ridicule ou une ironie. Le vrai sens d’un pareil mot est perdu.
08:18 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dandy, dandysme, barbey d'aurevilly, d'aurevilly, brummell