29/11/2023
"Mais naturellement..."
03:36 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : blondin, antoine blondin, monsieur jadis
21/11/2023
"Ces génies du mois d'août..."
03:02 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0)
18/11/2023
PAS D'EQUERRE
15/11/2023
"... comme Cadet Rousselle...
04:55 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : blondin, antoine blondin, monsieur jadis, cadet rousselle
07/11/2023
"Si je n’avais été aussi retardé en calcul..."
10:55 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : blondin, antoine blondin, fallet, rené fallet, monsieur jadis
30/10/2023
"DES BLONDES POUR HOLLYWOOD"
04:31 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marylin, marylin monroe, billy wilder, wilder, adrien gombeaud, hollywood, blonde
22/10/2023
"Le nez qui voque"
J'ai lu, dans cet ouvrage sur le Nouveau-Québec, que Port-Burwell, où Ivugivic est née, a été traduit en français par le ministère toponymique. Ivugivic n'est plus née à Port-Burwell. J'ai hâte de voir le visage qu'elle fera quand je lui dirai qu'elle est née à HAVRE-TURQUETIL. Brillamment traduit. Ministère toponymique, brillamment traduit !
(…) Comment ce continent peut-il être français si pour être français, il faut parler français et qu'un continent ne parle pas, n'a pas de bouche ? Ce continent a une bouche, une gueule, une gueule molle de vieux loup soûl : le Saint-Laurent. Et cette gueule parle français. Hostie de comique !
03:52 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ducharme, réjean ducharme, québec, saint-laurent
01/09/2023
"Un endroit nommé la vie"
06:36 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : roger blondel, blondel, un endroit nommé la vie
22/08/2023
Brûle-livre
- D’ici à ce que je n’aille pas travailler aujourd’hui, ni demain, que je ne remette plus jamais les pieds à la caserne, il n’y a qu’un pas.
- Mais tu vas quand même aller travailler ce soir, non ?
- Je n’ai rien décidé. Pour l’instant, j’ai une terrible envie de tout casser, de tout foutre en l’air.
- Prends la coccinelle.
- Non merci.
- Les clefs sont sur la table de nuit. J’apprécie toujours de rouler à toute allure quand je me sens comme ça. Tu pousses à cent cinquante et ça va beaucoup mieux. Des fois, je conduis toute la nuit et je reviens sans que tu t’en aperçoives. En pleine campagne, c’est l’éclate. On écrase des lapins, parfois des chiens. Prends la coccinelle.
- Non, je n’en ai pas envie, pas cette fois. Je veux me concentrer sur ce drôle de truc. Bon sang, ça me travaille. Je ne sais pas ce que c’est. Je suis horriblement malheureux, je suis dans une rogne folle et je ne sais pas pourquoi, mais on dirait que je prends du poids. Je me sens lourd. Comme si j’avais mis un tas de choses en réserve sans savoir quoi. Pour un peu, je me mettrais à lire des bouquins.
Qu’est-ce que le feu a de si beau ? Qu’est-ce qui nous attire en lui quel que soit notre âge ? C’est le mouvement perpétuel, ce que l’homme a toujours voulu inventer sans y parvenir. Ou quelque chose d’approchant. Si on le laisse brûler, c’est pour la vie. Qu’est-ce que le feu ? Un mystère. Les savants nous servent un charabia où il est question de friction et de molécules. Mais ils ne savent pas vraiment ce qu’il en est. Sa vraie beauté réside dans le fait qu’il détruit la responsabilité et les conséquences.
Ray Bradbury, né un 22 août
17:21 Publié dans Ephéméride, où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ray bradbury, bradbury, fahrenheit 451, feu, livre, 22 août