18/07/2022
Météo du jour & dans ma bibliothèque
04:18 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : météo, été, bukowski, hot water music
29/05/2022
"... pas seulement..."
20:04 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pratt, hugo pratt, le désir d'être inutile, mon nom est personne
04/05/2022
"La loi"
Détail cocasse : dans le roman, il est question de la Sophia Loren et de la Lollobrigida comme de deux références incontournables pour les femmes italiennes de l'époque... Dans l'adaptation au cinéma (réalisée par Jules Dassin), c'est la Lollobrigida qui tient le rôle principal ! Pas vu ce film (Vailland l'a renié), mais le roman, quelle claque (surtout les quarante dernières pages).
08:04 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : la loi, vailland, loren, lollobrigida, dassin
15/04/2022
"Quelques années plus tôt..."
07:23 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : char, boisset, western, la vie est un choix
19/01/2022
Hugh Mac Diarmid (Sous le Sceau du Tabellion)
09:36 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : hugh mac diarmid, mac diarmid, sous le sceau du tabellion, patrick reumaux, poésie écossaise
26/12/2021
"avant chaque électiion..."
03:55 Publié dans où je lis, polar | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : thompson, pottsville 1280 habitants, jean-paul gratias, coup de torchon
24/12/2021
"c'est grand comment, en fait ?"
10:51 Publié dans où je lis, polar | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pottsville 1280 habitants, thompson, jean-paul gratias, rivages noir, coup de torchon
02/12/2021
Du...
Sa vie tout entière fut une influence, c’est-à-dire ce qui ne peut guère se raconter. On la sent tout le temps qu’elle dure, et quand elle n’est plus, on en peut signaler les résultats (…). On retrouve Herculanum sous la cendre ; mais quelques années sur les mœurs d’une société l’ensevelissent mieux que toute la poussière des volcans. Les Mémoires, histoire de ces mœurs, ne sont eux-mêmes que des à-peu-près. On ne retrouvera donc pas, comme il le faudrait, détaillée et nette, sinon vivante, la société anglaise du temps de Brummell. On ne suivra donc jamais, dans son ondoyante étendue et sa portée, l’action de Brummell sur ses contemporains. Le mot de Byron, qui disait aimer mieux être Brummell que l’empereur Napoléon, paraîtra toujours une affectation ridicule ou une ironie. Le vrai sens d’un pareil mot est perdu.
08:18 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dandy, dandysme, barbey d'aurevilly, d'aurevilly, brummell
26/08/2021
"bougnats et mastroquets..."
En marge de Saint-Germain-des-Prés, il reste des bistrots ignorés du public interlope et qui ont chacun plus d’intérêt à mes yeux que les autres réunis. Ainsi tous les bougnats et mastroquets de la rue des Canettes qui vivent très loin du monde snobinard dit littéraire ou de celui pétrifié dit religieux qui les encadrent, et ne sont fréquentés que par les petits rentiers, commerçants, ouvriers, vieux et vieilles prêts pour l’hosto qui crèchent les uns sur les autres dans les maisons ventrues, et sous les toits mansardés de la rue Guisarde, population bistrotière dont les conversations ne dépassent pas la météorologie, la politique à petite semaine, les affres de la nourriture quotidienne, les derniers ragots pas bien méchants sur le voisin et les distractions s’arrêtent au domino, à la belote, au nain jaune, à la manille, et les consommations ne vont pas au-delà de trois verres. J’ai couché plus qu’habité, dans le plus discret hôtel de la rue, chez le père Jules, et l’étrange tranquillité, faite de silence respecté, de fatigue accumulée, d’obscurité économique, m’en semblait d’autant miraculeuse, qu’à moins de dix mètres le tabac du coin faisait un raffut de tous les diables, mais qui ne parvenait pourtant pas à faire le tour de la boulangerie jusque-là. Et son immense salle commune est encore le paradis du scribouilleur qui cherche un havre de paix pour pondre ses pages d’écriture, sans qu’il soit besoin de renouveler une consommation prise la matin et dont la tasse refroidit jusqu’au soir.
PARIS INSOLITE de Jean-Paul Clébert, éd. Attila
« Le livre le plus étonnant, le plus vivant, le plus Mystères de Paris qui soit éclos depuis les vagabondages d’un Gérard de Nerval. »
René Fallet, Le Canard enchaîné, 08 10 1952
« Une purée déconcertante et féérique »
Kléber Haedens, Paris Presse, 21 10 52
« Un récit de voyage où tout est vrai, même la légende. Et qu’importe ? »
Georges Arnaud, Arts, 29 11 52
04:35 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris, paris insolite, jean-paul clébert, clébert, patrice molinard, molinard, miller, fallet, haedens, arnaud, georges arnaud