17/12/2024
"Demain les chiens"
06:56 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : demain les chiens, clifford d.simak, simak, pierre-paul durastanti, durastanti
08/12/2024
"Dès l'école primaire..."
Dès l’école primaire, Alexandre rencontra des difficultés inquiétantes que Catilina, dans l’aveuglement de son amour de mère, attribuait à un excès de sensibilité, un caractère rêveur, voire à une forme peu orthodoxe de génie alors que leur cause réelle n’était que trop claire pour peu qu’on examinât objectivement la situation : le gosse était complètement con.
04:17 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ferrari, jérôme ferrari, nord sentinelle
05/12/2024
Parti ce jour
18:38 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : roubaud, jacques roubaud
27/11/2024
"Nightmare Alley"
06:50 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nightmare alley, gresham, william lindsay gresham, le charlatan, ouspensky, freud, spiritisme, forain, freak
03/11/2024
J.G. alias M.
Giraud dessinait pour le plaisir dans son carnet de croquis ou sur un rond de bière, poursuit Patrice Leconte. Il dessinait comme d’autres chantonnent, tout en continuant à discuter, « oui, j’ai vu ce film, bof, pas terrible », c’était fou ! Giraud était un mutant, je ne vois pas d’autres explications. Quand il croquait un personnage, il commençait par sa botte gauche, puis il attaquait les ombres, la poussière, comme s’il était en train de repasser à l’encre un crayonné préexistant. J’avais l’impression qu’il projetait dans son cerveau le dessin terminé. Je n’avais jamais vu personne faire preuve d’une telle facilité. Il n’y avait ni rature ni repentir, et il lui arrivait de représenter l’ombre portée avant même d’attaquer le personnage.
04:50 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : moebius, giraud, jean giraud, dominique quillien, jean giraud alias moebius, bandes dessinées, bd
02/10/2024
de Spens
Une fois de plus, je n’avais pas de chance car elle venait trop tard pour moi, cette guerre, alors qu’enfin la vie m’adressait quelques sourires. Je me sentais fin prêt pour combattre et mourir, quelques années plus tôt, la guerre me semblait la dernière aventure possible dans la pauvreté de ma vie. Et puis voilà que la guerre survenait, alors qu’elle ne m’intéressait plus. Je la détestais fermement, au contraire, elle m’arrachait à tout ce que j’avais appris à aimer.
15:32 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : de spens, willy de spens, hussard malgré lui, drôle de guerre
31/08/2024
C'est fini ?
04:33 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : vacances, lecture
23/08/2024
"diviser par quatre..."
Les années passèrent, c’est-à-dire qu’il fallut diviser par quatre le nombre des saisons. De tout ce temps, aucun mort ne fut à déplorer, quoique régulièrement, à la fin d’une journée un peu plus silencieuse, on crut pouvoir penser qu’une période s’achevait, et elle s’achevait en effet : ainsi sommes-nous chassés lentement.
Frédéric Berthet, Simple journée d’été
05:48 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : berthet, frédéric berthet, simple journée d'été
10/08/2024
Le Havre # 2
A la question "Pourquoi Le Havre ?", ma meilleure réponse : "Pour respirer".
Autrement ? Lire POULET (Robert) rue POULET (Edgar).
Autrement (bis) ? Plusieurs jours que j’espionne les goélands… Je sais maintenant où George Miller a puisé l’inspiration pour sa saga Mad Max.
Mon film des vacances, c’est Mad Max filmé par Allain Bougrain-Dubourg.
11:56 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : le havre, poulet, robert poulet, goéland, le livre de quelques uns, mad max, miller, bougrain-dubourg