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14/10/2018

Où...

 ... François-Xavier Farine cause de notre "CINEMA INFERNO".

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14/09/2018

"Arrmaguédon Strip" (la vidéo !)

Qu'il est difficile de parler de son propre travail (même quand on est assez fier du bouquin à l'arrivée)... Hâte de causer des ouvrages des z'autres (ceux qui m'ont touché), c'est bien plus plaisant.

Songez à vous abonner à ma chaîne et/ou à cliquer le pouce bleu sur la page YouTube. 

 

04/08/2018

Où François Bon découvre "CINEMA INFERNO"...

"CINEMA INFERNO" (mettez le curseur de la vidéo à 16'30)

 

14/07/2018

"CINéMA INFERNO" (re-suite)

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Toujours au sujet du même fichu recueil...

François-Xavier Farine : "Culotté et bien envoyé".

Dans "Le Journal de Jane" : "A vrai dire, je ne vois pas de meilleure entrée pour aborder la question : à quoi sert la poésie contemporaine lorsqu’on se réveille en plein milieu du cauchemar libéral ? "

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05/07/2018

"CINéMA INFERNO" (suite)

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Une première critique ICI.

Toujours commandable .

 

29/06/2018

"CINEMA INFERNO"

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Il est paru. Il n'y en aura pas pour tout le monde. Un "collector".

Commandable ICI.

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Les avis de...

François Bon (mettre le curseur de la vidéo à 16'30)

François-Xavier Farine : "Culotté et bien envoyé".

"Le journal de Jane" : "A vrai dire, je ne vois pas de meilleure entrée pour aborder la question : à quoi sert la poésie contemporaine lorsqu’on se réveille en plein milieu du cauchemar libéral ? "

Georges Cathalo (revue "Texture") :

" À travers le cinéma, un hommage permanent rendu à l’imagination et au rêve : « je me fais des films sur les films / que je n’ai pas vus », et finalement comme tout un chacun, « j’ai rêvé / que le cinéma redevenait muet / tout en restant en couleurs ». On sourira en lisant l’avertissement initial ou la note finale… Quant au poète, il « n’a pas de doublure / et accomplit lui-même / toutes les cascades que requiert son histoire ». Les titres défilent, les films se rembobinent. Inutile de se lancer dans une enquête policière pour savoir quel est l’auteur de chacun de ces poèmes car les deux auteurs-complices ont effacé toutes les traces. "

 

31/05/2018

Flahaut / Houdaer

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Y'en a deux qui vous préparent une surprise... Elle sortira au Pédalo Ivre d'ici une quinzaine de jours. Son petit nom ? "CINEMA INFERNO" !

 

24/04/2018

Pendant ce temps-là...

... à Toulouse...

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... et à Nantes (rien à voir).

 

18/04/2018

Estelle Dumortier...

a lu ce livre.

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"DE LA LECTURE DE FRÉDÉRICK HOUDAER OU DU JEU DE DUPE

Je viens de finir de lire « Armaguédon Strip » de Frédérick Houdaer (prononcez « HouDAR ») sorti en janvier de cette année aux Éditions Le Dilettante. Autant le dire tout de go : il est parfaitement interdit de sauter des pages et de lire les dernières avant d’y arriver sous peine de damnation éternelle ! Qu’attendre d’un livre dont le titre et la couverture annoncent l’ultime bataille et dont le sujet principal semble êtr...e les tribulations molles d’un fils à maman témoin de Jéhovah… si ce n’est la fin du monde ! L’auteur, qu’on peut croiser sur une colline de Lyon (la Croix-Rousse) et dont le mot « poetry » est tatoué en grand sur le bras droit (celui qui écrit), revient en force dans le roman, ses premières amours. Il n’est pas anodin que, parmi ses sept recueils de poésie, il y en ait un (« Fire Notice » aux éditions Le Pont du Change (2013)) qu’il consacre à la magie. Le magicien n’est-il pas celui qui excelle dans le jeu de dupe ? Christophe Cordier, dit ÉphèZ, dessinateur de BD, voit son petit monde bousculé par l’hospitalisation de sa mère, témoin de Yahweh, qui a besoin d’une transfusion sanguine : c’est le début du roman. On entre alors dans ce petit monde comme dans une paire de vieilles baskets confortables : ça va vite, on avance, on est pris dans l’histoire, et nous voilà aux trente dernières pages comme si de rien n’était… sauf qu’arrive ce qu’on n’avait pas vu arriver ! On sentait bien un peu de sable dans les rouages, des hics, mais ce qu’on n’avait pas repéré, c’est que l’auteur avait endormi notre attention, l’avait retenue à un endroit alors que c’était à un autre que tout se jouait. On finit la dernière phrase, le dernier mot, et on n’en revient pas et on décide de revenir en arrière, de retrouver ce qu’on avait raté, où le sable s’était logé. Morale : les derniers seront les premiers et les premiers les derniers, méfiez-vous des fils à maman, le maître de l’histoire c’est le Créateur. Que ce soit dit !"
Estelle Dumortier

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