23/04/2022
PARUTION
18:22 Publié dans a.1) MES LIVRES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pile poil, gros textes, yves artufel
04/03/2022
Mon secret...
04:23 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : yves artufel, artufel, gros textes, éditions gros textes, sieste
16/06/2020
Poésie non périmable
Quand Yves Artufel se fend d'une critique toute fraîche consacrée à un mien recueil vieux de quinze ans (mon premier) !
05:06 Publié dans a.1) MES LIVRES | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : angiomes, artufel, yves artufel, la passe du vent
09/04/2017
Je vous avais prévenu...
... Il a fini par sortir, le Vinau-Lahu, dans la collection Poésie du Pédalo Ivre.
Le commander ? ICI
A signaler que Roger Lahu (dont je vous ai déjà parlé de-ci de-là) publie simultanément un nouveau recueil chez Gros Textes. Une lecture tout à fait salutaire pour ceux qui, comme moi, commencent à n'en plus pouvoir du "milieu de la poésie".
04:50 Publié dans a.4) EDITEUR, C’est quoi, la poésie ? C’est ÇA, Ducon ! | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pédalo ivre, ça joue, lahu, roger lahu, vinau, thomas vinau, gros textes, yves artufel
22/06/2016
C'est quoi, la Poésie ? C'est ça, Ducon (#5 : Natyot)
00:06 Publié dans C’est quoi, la poésie ? C’est ÇA, Ducon ! | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : natyot, cassan, éditions gros textes, gros textes, yves artufel, je n'ai jamais été mais il est encore temps
18/09/2015
Présentation des Éditions « LE PÉDALO IVRE » (2ème partie)
Où il est question du pourquoi & du comment l’on créée une collection de poésie, des alliés que l’on peu trouver et d’un recueil de poèmes signé Jean-Marc Flahaut...
09/04/2015
Rencontres avec des z'hommes remarquables # 4 : Yves Artufel
Le bonhomme, au Cabaret Poétique de mai 2014 :
F.H :
Yves, tu es né le même jour que moi, pas tout à fait la même année… Tu as la cinquantaine, les éditions Gros Textes existent depuis une vingtaine d’années… Avant de parler d’elles justement, et de leur incroyable catalogue, j’aimerais avoir une idée du jeune Yves Artufel et de son rapport (ou non) à la chose écrite et/ou imprimée… entre l'âge de quinze et de vingt-cinq ansmettons, dans cette douce période de la vie où l’acné défigure un Bukowski plus sûrement qu’un pitt-bull…
Y.A :
Entre 15 et 18 ans (années lycée en gros), je suis plutôt épargné autant par l’acné que par la poésie. Côté boutons, rien de méchant, quant à la poésie, je suis à cette période farouche militant communiste, la poésie pour moi, ne dépasse pas la frontière de l’album « Jean Ferrat chante Aragon ». Par contre la chose imprimée abonde dans ma chambre, je viens de jeter des cartons de bouquins des Éditions Sociales de cette époque (maison officielle du PCF à cette époque). A partir de 18 ans (années fac et petits boulots), je remplace le drapeau rouge par le drapeau noir des anars et du coup la poésie c’est « Léo Ferré chante Aragon ». Léo Ferré a la bonne idée de chanter également Baudelaire, Verlaine, Rimbaud, Apollinaire, ma culture poétique s’élargit sensiblement.
22 ans (1981), insoumis au service national, je me planque, la flicaille me retrouve et on m’envoie glandouiller à l’O.N.F., dans une petite ville de Lorraine. Je refuse de bosser et me mets à bouquiner comme un malade, une boulimie de lecture entre une bibliothèque et une petite chambre d’hôtel. Je lis à peu près tout ce qui me tombe sous la main. Je commence à écrire également et lance avec deux copains un embryon de revue imprimée clandestinement dans des bureaux sur de vieilles ronéos à stencils. Trois numéros paraîtront et puis s’en vont.
24 ans, école normale, je rentre dans le rang. J’imagine que le métier d’instit c’est cool, on file du boulot aux chiards et on lit tranquillement Bukowski à son bureau. On me dit que ça ne se passera pas comme ça. Je suis déçu mais ne comprend pas immédiatement ce qui pourrait faire obstacle.
Toujours le même, dans ma cuisine, craignant que je ne l'ébouillante avec une pizza au fromage...
F.H :
A quel moment… quel auteur te fait franchir le Rubicon, te fait voir un peu plus loin que « l’embryon de revue ronéotypée » ? Quel est le premier ouvrage des éditions Gros textes ? Quelle est alors la nécessité qui te pousse à devenir éditeur ? Et, selon toi, qu’est-ce qui a nourri ce désir d’édition ces vingt dernières années, malgré tous les obstacles que tu ne vas pas manquer de nous narrer ?
Y.A :
Gros Textes fut d’abord une revue. Un truc qu’on décide de faire entre copains un soir de beuverie. Puis, les copains se lassent au bout de quelques numéros et je continue seul. Enfin non, pas tout à fait, car il y a un tissu relationnel qui se construit autour de la revue et m’incite à continuer. Comme je fabrique la revue avec mes petites mains, le saut est facile pour faire des bouquins en plus, à côté. C’est même pas un saut, c’est la même chose sauf qu’au lieu de plusieurs auteurs il n’y en a qu’un. Puis je me lasse de la revue et restent les éditions dont je vais certainement me lasser également dans quelques temps. Ce qui nourrit le désir ? Et bien, passer du temps dans un atelier à bidouiller des bouts de papier est une activité plutôt paisible, divertissante. Parfois des gens me disent qu’ils aiment bien alors pour moi c’est une sorte d’euphorie raisonnable.
Là ça fait un mois que je cherche la suite et voilà que Georges Hyvernaud me la fournit sur un plateau :
« Divertissements. On taille des petits bouts de bois. On fabrique des horloges, des boîtes, des jeux d’échecs. On s’émerveille de sa patience et de son ingéniosité. On bricole et on peinturlure, comme le prisonnier de Vigny tresse la paille pour oublier. Et ça finit par faire une espèce de vie très vivable, et même affairée et essoufflée. Excusez-moi, disent-ils, je suis très pris. Ils s’étonnent que les journées passent si vite. Ça doit être aussi la réflexion de l’écureuil quand il fait tourner tout un jour les barreaux de sa cage. »
J’en suis là.
ICI, une vidéo sur le Sieur Artufel (tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les coulisses d'une vie d'éditeur... Attention, certaines images peuvent heurter la sensibilité des plus jeunes).
Rencontres avec des z’hommes remarquables # 1 : Jean-Marc Luquet
Rencontres avec des z’hommes remarquables # 2 : Jean-Jacques Nuel
Rencontres avec des z’hommes remarquables # 3 : Hervé Bougel
06:29 Publié dans C’est quoi, la poésie ? C’est ÇA, Ducon ! | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : yves artufel, éditions gros textes
22/05/2014
C'était le Cabaret Poétique du 18 mai...
Vu par Josette Vial :
avec Didier Vignali, pour annoncer "Les Agapes Littéraires"
Marie-Hélène Tufel, Grégoire Damon, Michel Thion & Paola Pigani pour saluer l'ami Pierre Autin-Grenier...
Lucas Ottin
Estelle Dumortier
Yves Artufel (Monsieur "Gros Textes")
Laurent Cachard & Clara Védrèche
Le même Cabaret, vu par Béatrice Brérot :
Et, pour finir, ce Cabaret du 18 mai vu par le Non-Photographe (il est le premier à avoir volé quelques images de l'after qui, traditionnellement, se déroule dans ma cuisine, quelque part sur le plateau de la Croix-Rousse) :
Un retour sur Cabaret signé Laurent Cachard ICI.
Et n'oubliez pas les Agapes Littéraires de ce week-end !
13/01/2014
"Quelqu'un de très possible"
Yves Artufel est né un 25 juillet, le même jour que moi (pas la même année).
Yves Artufel publiera mon prochain recueil en mars ("NO PARKING NO BUSINESS" aux éditions Gros Textes, un extrait ici) et les gens qui ne m'aiment pas ne lui diront pas merci.
Yves Artufel est également poète.
Sur la photo collée plus haut, Yves Artufel essaye de cacher le visage de Richard Brautigan en croisant les bras. C'est raté.
Yves Artufel méritait que l'on révèle la véritable nature de ses activités. C'est chose faite grâce au petit film que vous pouvez visionner ICI.
J'ai hâte de découvrir des documents aussi accablants... sur mes précédents éditeurs (Jean-Jacques Nuel & Thierry Renard) par exemple ! Mais si je dois attendre que certains amis dans le journalisme & la culture se bougent pour que les choses se fassent... Bref, devinez qui va se taper une formation à la vidéo ?
00:05 Publié dans C’est quoi, la poésie ? C’est ÇA, Ducon ! | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : yves artufel, éditions gros textes, jean-jacques nuel, thierry renard