01/01/2010
Dernier coup de rétro
En 2009, j’ai lu à peu près 300 livres ou manuscrits, re-relu la biographie de Dominique de Roux, publié « AUX VENTS ! » de Marc Pellacoeur (un chef d’œuvre), non-fêté mon quarantième anniversaire, perdu six kilos (dans ce seul mois de décembre), publié « ROCOCO TOKYOÏTE » de Clément Bulle, lancé une procédure de divorce, vu les trois saisons de « Deadwood », refusé de me faire vacciner contre la grippe A, quitté le plateau de la Croix-Rousse pour la Guillotière, cherché un nouvel appart’ sur le plateau de la Croix-Rousse (en vain, pour l’heure), mis la touche finale à « ENGELURES » (mon prochain recueil à paraître en février 2010… si vous avez aimé « ANGIOMES », restez à l’écoute), constaté que j’avais trois autres recueils prêts à être publiés, signé un paquet d’articles sous mon nom ou sous divers pseudos, fait avancer laborieusement deux romans en cours d’écriture (un roman noir et de la fantasy adulte), animé de nombreux ateliers d’écriture, fait le nègre, souri, eu mon lot de bonnes et de mauvaises surprises, oizqedjeidxxricfnc, Facebooké de la plus addictive des façons, pédalé comme un champion mais dans la semoule… ou dans le lait… même que j’espère le voir se transformer en fromage, à force.
06:43 Publié dans où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : pellacoeur, bulle, de roux, aux vents, rococo tokyoïte, croix-rousse, guillotière, préparez vos mouchoirs, depardieu, dewaere, laure
07/03/2009
feuilleton des feuilletons
Mon feuilleton préféré à l'âge de 9 ans :
... quoique le générique qui me faisait chialer tout gone était celui-ci.
Et mon feuilleton préféré, à 39 ans :
22:46 Publié dans où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : michel strogoff, chéri-bibi, rome, feuilletons, télé, verne, milius
13/06/2008
ça finit à la page des faits-divers...
06:55 Publié dans où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : dorléac, truffaut, la peau douce, dessailly, 365 jours ouvrables
05/07/2007
Peckinpah, Nietzsche et le rire
Comme précisé dans ma note bio-biblio, suis sorti du ventre de ma mère le jour où "La horde sauvage" sortait sur les écrans.
D’une certaine façon, cela faisait plusieurs années que j’attendais la parution du (grand) petit livre de Fabrice Revault. Je viens de le trouver par hasard à la librairie « Au Bal des Ardents ». Merci de lire l'article en lien pour plus de précisions.
"La tragédie est justement la preuve que les Grecs n'étaient pas pessimistes."
Nietzsche
08:00 Publié dans où je lis, où je youtube, tu dailymentionnes..., où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Revault, Peckinpah, Nietzsche, La Horde sauvage, librairies lyonnaises, au bal des ardents, wild bunch
02/12/2005
Bienvenue à Palma
« Bienvenue à Palma », le site de l’ami Dominique où l’on retrouve LE plaisir du cinéma. Ou comment glisser « la lettre au voyant » de Rimbaud dans une critique de « Dead zone » !
10:20 Publié dans où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Salon, Bienvenue à Palma, Rimbaud, Dead Zone
12/05/2005
SOIRÉE TÉLÉ (« Le loup-garou de Paris »)
j’écris ces phrases
pendant que mes amis rigolent grassement
devant la télé où
Julie Delpy se transforme en loup-garou
c’est bien dommage
ce joli corps qui se couvre de poils
les ongles qui s’allongent à vue d’œil
ne me dérangent pas
mais les poils qui émergent
de cette poitrine si gracieuse
comme si elle était transpercée
de fils de fer
non vraiment
cela me donne plus envie
de pleurer que de rire
je me contiens
je suis un homme qui passe la soirée
au milieu d’autres hommes
l’un d’eux cherche à me rassurer
Julie Delpy a trouvé là
un vrai rôle de composition
me dit-il
personnellement
j’aurais préféré la voir
dans la peau de Mata-Hari
plutôt que dans celle d’un loup-garou
le film de ce soir est censé se dérouler
à Paris
à voir la façon dont l’on nous cache
la nudité de l’actrice
il est américain
Julie exceptée
c’est mon poème
j’ai le droit de l’appeler Julie
Julie exceptée disais-je
il n’y a pas un acteur pour sauver l’autre
dans ce film
et ceux qui les doublent en français
ne sont guère meilleurs
aussi
je donne raison à Julie de se transformer
en monstre pour
bouffer tout ce petit monde parisien
j’ai fait plusieurs salons du livre
porte de Versailles
et des loups-garous
j’en ai croisé quelques uns
mais mon témoignage
n’est pas pour intéresser mes amis
07:30 Publié dans a.2) MES TEXTES, où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : télé, Delpy, le loup-garou de Paris, horreur, navet
11/03/2005
Vendredi 11 mars
« 9 songs » bien moins intéressant que « Intimité » de Chéreau (dans les deux cas, sex in London). Et qu’on ne vienne pas me dire que c’est une question d’âge ! À 20 ans, j’aurais aussi préféré le Chéreau (son meilleur film).
Ce que j’ai le plus apprécié dans le film de Winterbottom, c’est la fermeté avec laquelle il s’en tient à son parti-pris de départ : une scène de concert, une scène de sexe, une scène de concert, une scène de sexe... Refus de tout ressort dramatique.
10:15 Publié dans où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : 9 songs, Intimité, Chéreau, Winterbottom, sexe, concert
29/01/2005
Une femme sous influence
DVD : "Une femme sous influence".
Casavettes / Gena Rowlands. Un film d’amour, ça ressemble à ça, pas à West Side Story.
Une dernière notule cinématographique comme ça, l’air de rien, pour dire l’époque : « Bad Lieutenant », LE film catholique de ces dernières années (j’ai bien écrit « catholique ») est classé X aux Etats-Unis et purement et simplement interdit en Irlande. Il y a 40 ans, avec son sulfureux « Théorème », Pasolini décrochait le Grand Prix de l’Office Catholique.
Je n'en conclus rien.
22:20 Publié dans où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : casavettes, ferrara, bad lieutenant, une femme sous influence, pasolini, théorème, rowlands, keitel, falks
12/01/2005
Mercredi 12 janvier
Un magazine ouvert sur la photo de Charles Juliet. Et sur la porte de mon bureau, le poster grandeur nature de Bruce Lee (supplément au numéro spécial « 30e anniversaire » de la revue KARATE-BUSHIDO). Mes deux maîtres en rigolade ?
Dans « Big Boss », Bruce Lee esquisse quelques pas de danse après avoir été porté en triomphe par des ouvriers dont il défendait la cause. Dans la vie réelle, la seule compétition remportée par Bruce Lee n’est pas un championnat de karaté, mais un concours de danse cha-cha-cha. Je rêve de voir Bruce Lee dans une comédie musicale, je rêve d’un match Petit Dragon vs Fred Astair (de son vrai prénom Frédérick, as me !).
21:50 Publié dans où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : juliet, lee, astair, danse, karaté-bushido, big boss