05/07/2015
Glou-glou
Vendredi 10 juillet, à 14h30, je serai sur une péniche en Avignon, invité par le collectif "Craie". Sur cette barcasse dite "Péniche Rhône-Alpes" amarrée Quai de la Ligne, je retrouverai Natyot, Samuel Gallet, Katia Bouchoueva, Radoslaw Klukowski, Magali Mougel, Sébastien Joanniez, Maud Paschal, Bernard Garnier, Sabine Chevallier, Philippe Labaune, Chloé Bégou, Franck Giraud, Sylvie Mongin Algan, Pierre Soletti, Jean Cagnard, Guy Naigeon, Yves Olry, Laura Tejeda, Jérémy Bonnaud et Claire Rengade... pour des "lancers de textes en plein cœur" ainsi qu'il est spécifié dans le programme officiel (je vais devoir m'entraîner avant).
Le thème de la disputation sera THÉÂTRE ET POÉSIE : QUI DIT CLOISONS ? Et hop, je vous copie-colle le pitch :
" Une poétesse qui ne lit que du théâtre, un théâtre qui découvre la Maison de la Poésie, une première mise en scène à cause d’un poète, des auteurs rangés en tout, des comités de lectures qui se « transdisciplinent », des témoins, des acteurs, des auteurs, des éditeurs de textes à foison. Quels espaces inventer pour l’inrangeable ? "
L'argumentaire sent trop son jargon officiel ? On verra... Seule certitude : sur cette péniche, je retrouverai plusieurs personnes que j'aime infiniment. J'espère également que l'éditeur Yves Olry m'initiera aux armes à feu (comme il m' a promis de le faire, lui... qui s'y connaît).
De toute façon, les uns et les autres, nous ferions mieux de ne pas trop la ramener, vu que nous finirons comme le monsieur dans cette vidéo :
10:05 Publié dans planches | Lien permanent | Commentaires (0)
02/07/2015
Ciao, Miss...
08:16 Publié dans C’est quoi, la poésie ? C’est ÇA, Ducon ! | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : hélène monette, cabaret de la pègre, québec, poésie québécoise, montréal
30/06/2015
C'était le Cabaret Poétique du 28 juin...
... spécial "BOXON" !
Toutes ces photos sont signées DENIS SVARTZ (merci de le préciser si vous les partagez)
Je complèterai ces images par quelques légendes explicatives... en fin de journée.
09:28 Publié dans a.5) ANIMATEUR DU CABARET POETIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : denis svartz, cabaret poétique, boxon, périscope
29/06/2015
ERRI DE LUCA
" Hier, j'ai vu un des mes livres entre les mains d'une femme. Elle était assise dans le métro, ses doigts serraient les pages pour les immobiliser et les tournaient délicatement. J'ai compris hier que les livres ont un sort meilleur que ceux qui les écrivent. Gardés dans les bras, emportés en voyage, peut-être sur une île du Sud ou sous une tente en montagne, fixés avec intensité par deux yeux qui feraient aussitôt baisser les miens. Oui, les livres prennent du bon temps, bien plus que ceux qui les écrivent.
... Les mots que j'ai écrits ne sont plus à moi, ils sont devenus les siens. Elles les a voulus, en pêchant justement ceux-là dans le grand bazar des livres. Elle les a payés avec de l'argent prélevé sur d'autres dépenses, en se passant d'une bouteille de vin, d'une séance de cinéma, d'un concert. Ils ont pour elle une valeur ajoutée, celle de remplacer des choses plus agréables qu'un livre. Et maintenant, là sur ses genoux, feuilletés par une légère caresse, ses cheveux retombant dessus. Les pages ainsi prises et tenues sont les siennes, beaucoup plus qu'elles n'ont été les miennes."
(Le sort de l'écrivain, traduction Danièle Valin, Libération 13/14 janvier 2006)
10:40 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0)
28/06/2015
Le film du dimanche soir # 4
La première version de "MAD MAX" !!!
Ce sera mieux avant !
06:45 Publié dans où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mad max, jean rouch, cocorico monsieur poulet
27/06/2015
J'ignore...
... quelles substances Thomas Vinau & Grégoire Damon absorbent quotidiennement (Carambars bleus ? Chamallows pimentés ?)...
... mais je veux les mêmes !
21:56 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : thomas vinau, grégoire damon
26/06/2015
Ce dimanche...
18:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
24/06/2015
LA PEAU DU CUL
Les coups de pied au cul
font mal à l’âme
la peau du cul est sensible
et douce comme une pâquerette
Il vaudrait mieux qu’une main
caressât le bas des reins
la marmite et le lait
en seraient enchantés
L’amour des casseroles
a des pores de prédilection
Et les petits pois
en rêvent la nuit
Alfonso Jimenez, « On ignore l’heure du train », éd. Gros textes
15:57 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : alfonso jimenez, éditions gros textes
20/06/2015
Remise à niveau (anglais) # 26
10:34 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0)