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21/08/2015

Pré-rentrée littéraire

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20/08/2015

Remise à niveau (anglais) # 32

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15/08/2015

Le pote Mozart

 

 « Je veux que le non-sens, me montant à la gorge, me submerge, déborde et que tout ruisselant d’une absence totale de raison d’exister, je débouche dans la clairière poudrée de soleil où on joue Mozart. »

 

Jean-Pierre Georges 

 

13/08/2015

Jean-Pierre Georges # 2

Un été qui ne se confie pas, une inquiétude

qui avoue enfin son nom...

Fenêtre fourbe il échappe

(de justesse) à une tête de loup !

Tous les bouchers sont fermés.

Dès qu'il le peut il compare ses genoux

Très rares incursions dans le tragique, peu de drames

On le reconnaît il avance masqué

et toujours tenant en laisse le désir

imprévisible.

 

Jean-Pierre Georges ("Où être bien", éd. Le Dé Bleu)

 

12/08/2015

Jeux de plage

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Charles B.

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Marcello & Federico

11/08/2015

Où je ne vous raconte pas ma vie... # 1

10/08/2015

Jean-Pierre Georges # 1


Petite féérie matinale, neige partout


je décline toute responsabilité, je ne suis


 


qu’un front sur un carreau.


La mobylette zézayante du facteur


 


porte en elle-même un message destiné


aux seules vieilles dames


 


et aux poètes !


(mais ce serait un hasard si grand…)


 


Le cerisier, la table de jardin restent stoïques


sous tant de blanc


 


quand on songe au peu de poids d’une pensée


on en est consterné.


 


« OÛ ÊTRE BIEN » de Jean-Pierre Georges, éd. « Le dé bleu »

 

09/08/2015

"Raisonnez" trompettes...

 

 

08/08/2015

RIEN D’IMPORTANT

Je ne désire pas être profond

je voudrais simplement écrire des idioties

 

pour les dire en public

 

 

 

J’écris pour les têtes en l’air

 

dont la cervelle

 

est restée accrochée à un portemanteau

 

avec ou sans la casquette

 

 

 

Rien n’est plus agréable

 

que de dire ses poèmes à de simples gens

 

 

 

tels que vous mes amis

 

sans exigence d’aucune sorte

 

 

 

Vous êtes gentils

 

 

 

Je ne voudrais ennuyer personne

 

 

 

Vous trouverez ci-joint

 

un trou

 

un simple trou

 

 

 

Avec une petite lumière

 

 

 

Il n’y a rien d’autre. 

 

 

 

Alfonso Jimenez, « On ignore l’heure du train », éd. Gros Textes