25/01/2016
Quart d'heure de gloâ-gloâre !
On cause (pendant cinq minutes) de mon essai sur Tristan Corbière, sur les ondes de France-Culture, et ça se passe à la cinquantième minute de cette émission, juste après la chanson de Miossec.
Autrement, une journaliste américaine consacre un long article (dans sa langue) aux dix poètes frenchies qui lui semblent valoir la peine de... C'est ICI, et je m'y trouve fort bien entouré.
09:01 Publié dans a.1) MES LIVRES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : molli mc connell
24/01/2016
"Chose abominable et pleine de cicatrices..."
" Etre un homme. Et découvrir la solitude. Voilà ce que je dois à la Légion et aux vieux lascars d’Afrique, soldats, sous-offs, officiers, qui vinrent nous encadrer et se mêler à nous en camarades, des desperados, les survivants de Dieu sait quelles épopées coloniales, mais qui étaient des hommes, tous. Et cela valait bien la peine de risquer la mort pour les rencontrer, ces damnés, qui sentaient la chiourme et portaient des tatouages. Aucun d’eux ne nous a jamais plaqués et ...chacun d’eux était prêt à payer de sa personne, pour rien, par gloriole, par ivrognerie, par défi, pour rigoler, pour en mettre un sacré coup, nom de Dieu, et que ça barde, et que ça bande, chacun ayant subi des avatars, un choc en retour, un coups de bambou, ou sous l’emprise de la drogue, de l’alcool, du cafard ou de l’amour avait déjà été rétrogradé une ou deux fois, tous étaient revenus de tout.
Pourtant ils étaient durs et leur discipline était de fer. C’était des hommes de métier. Et le métier d’homme de guerre est une chose abominable et pleine de cicatrices, comme la poésie. "
Blaise Cendrars
Et si vous voulez lire l'équivalent de "La main coupée" écrit de nos jours, voici un recueil de poèmes inouïe signé par un de retour de la guerre d'Irak
18:25 Publié dans carottages littéraires | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cendrars, la main coupée, blaise cendrars, kevin powers, lettre écrite pendant une accalmie dans les combats
17/01/2016
"au-delà de ce marché..."
" La raison a vu un marché et a commencé à marchander;
L'amour, au-delà de ce marché, a vu d'autres marchés. "
06:43 Publié dans oreillettes | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : rumi, amour, ode to my beloved anonymous people, juan carlos hernandez
13/01/2016
C'était... ma lecture aux Sarrazineurs...
17:15 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : katia bouchoueva, paola pigani, sarrazineurs, claire terral, crefad, catherine serre
11/01/2016
Comme un fantôme...
14:09 Publié dans oreillettes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : david bowie, life on mars, seu jorge
Bottines blanches et Mer du Nord...
FRANZ...
03:39 Publié dans où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : brel, barbara, franz, jacques brel, mer du nord
07/01/2016
"Chair"
07:54 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0)
06/01/2016
REALPOETIK
LE site de poésie de ces quarante-douze dernières années, ICI...
17:40 Publié dans C’est quoi, la poésie ? C’est ÇA, Ducon ! | Lien permanent | Commentaires (0)
02/01/2016
Dimanche 10 janvier...
Cela faisait longtemps...
Pour des tas de (bonnes) raisons, quand je fais des lectures poétiques dans ma (bonne) ville (de Lyon), celles-ci sont le plus souvent de courte durée. Soit que j'intervienne avec d'autres membres du Syndicat des Poètes qui Vont Mourir un Jour, soit...
C'est lorsque je suis invité dans d'autres villes que je dispose de plus de temps pour partager mes textes... faire passer quelques nuances (non, tous mes poèmes ne sont pas drôles, et oui, j'ai quelques recueils inédits sous le coude).
Ce dimanche 10 janvier, à la Croix-Rousse, l'occasion m'est offerte de retrouver un public lyonnais... dans un temps beaucoup plus long.
Cela se passe aux Sarrazineurs, 46 rue de Cuire, sur le plateau de la Croix-Rousse, le dimanche 10 janvier, à 17 h 30 pétantes.
Toutes les précisions, ICI. Attention, réservation obligatoire par courriel : crefadlyon@gmail.com
Il n'y aura pas de places pour tout le monde (la jauge n'est pas celle du Périscope !)
Au plaisir de vous y retrouver... pour devenir plus réels.
17:21 Publié dans planches, SIGNATURES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jeff buckley, so real