09/02/2016
Vrac de vrac # 32
... et du divers... et du varié...
On pourrait commencer par ce qui se passe dimanche...
Le Sammy Sapin affiché au générique est également responsable & coupable du site "REAL POETIK" dont au sujet duquel je vous ai déjà entretenu. Et sur ce site, se déroulent de jolis matchs. Ici, Grégoire Damon versusise sérieusement l'université française. Vas-z'y, Greg !
Toujours chez "Real poetik", on peut dire qu'ils savent présenter leurs auteurs. La preuve.
Et ce portrait d'Isadora Duncan pris par Arnold Genthe vers 1915, là, c'est pour faire joli ?
Oui, c'est pour faire joli.
00:10 Publié dans a.5) ANIMATEUR DU CABARET POETIQUE | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : cabaret poétique, sammy sapin, mélanie leblanc, jean-louis massot, kenny ozier-lafontaine, grégoire damon, real poetik, isadora duncan, arnold genthe
08/02/2016
Corbière (suite)
Pas mal d’échos ces derniers temps autour de mon petit essai (très libre) consacré à Tristan Corbière (poète sur-maudit punk & breton du XIXème siècle).
Une sélection :
Ce bel article signé Jérôme Leroy dans « Causeur » !
Du côté de France-Culture (émission « Les nouveaux chemins de la connaissance » du 8 janvier), ICI.
Sur le site « Remue.net », une critique de Jacques Josse là.
Le commander ? C’est de ce côté.
14:10 Publié dans a.1) MES LIVRES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : corbière, editions le feu sacré, jérôme leroy, causeur, jacques josse, remue.net, france-culture
05/02/2016
Michel Bourçon
chaque jour
la vie nous promène
comme un chien
à peine éclose
des fleurs inondent les trottoirs
déjà perdu au levé
un homme ignore
ce dans quoi il entre
un sale goût sur la langue
le cœur ancré encore
dans la nuit monstre
Michel Bourçon, « Les rues pluvieuses n’iront pas au ciel »
00:56 Publié dans C’est quoi, la poésie ? C’est ÇA, Ducon ! | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : michel bourçon, éditions les carnets du dessert de lune
04/02/2016
Gratter, fouiller, creuser...
07:20 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sibylline, macherot, raymond macherot
02/02/2016
No explain ?
je crée la surprise autour de moi
en commençant de fumer à l’âge de 45 ans
j’ai beau jurer ne pas chercher à
faire l’original
j’essuie pas mal de critiques
de la part des fumeurs comme des non-fumeurs
pourquoi m’en griller une maintenant ?
mes juges à la petite semaine savent-ils
que dans certains foyers indiens
on n’allume le feu pour la cuisine
qu’une demi-heure après le lever du soleil
de façon à ce qu’aucun insecte n’aille se griller sur la flamme ?
même chose le soir
les indiens cessent de cuisiner une demi-heure avant le coucher du soleil
je précise tout cela à mes proches
sans qu’ils voient le rapport avec ma nouvelle manie
F.Houdaer
18:30 Publié dans a.2) MES TEXTES | Lien permanent | Commentaires (1)
01/02/2016
Remise à niveau (english) # 35
11:29 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0)
27/01/2016
Ce week-end
17:26 | Lien permanent | Commentaires (0)
25/01/2016
Quart d'heure de gloâ-gloâre !
On cause (pendant cinq minutes) de mon essai sur Tristan Corbière, sur les ondes de France-Culture, et ça se passe à la cinquantième minute de cette émission, juste après la chanson de Miossec.
Autrement, une journaliste américaine consacre un long article (dans sa langue) aux dix poètes frenchies qui lui semblent valoir la peine de... C'est ICI, et je m'y trouve fort bien entouré.
09:01 Publié dans a.1) MES LIVRES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : molli mc connell
24/01/2016
"Chose abominable et pleine de cicatrices..."
" Etre un homme. Et découvrir la solitude. Voilà ce que je dois à la Légion et aux vieux lascars d’Afrique, soldats, sous-offs, officiers, qui vinrent nous encadrer et se mêler à nous en camarades, des desperados, les survivants de Dieu sait quelles épopées coloniales, mais qui étaient des hommes, tous. Et cela valait bien la peine de risquer la mort pour les rencontrer, ces damnés, qui sentaient la chiourme et portaient des tatouages. Aucun d’eux ne nous a jamais plaqués et ...chacun d’eux était prêt à payer de sa personne, pour rien, par gloriole, par ivrognerie, par défi, pour rigoler, pour en mettre un sacré coup, nom de Dieu, et que ça barde, et que ça bande, chacun ayant subi des avatars, un choc en retour, un coups de bambou, ou sous l’emprise de la drogue, de l’alcool, du cafard ou de l’amour avait déjà été rétrogradé une ou deux fois, tous étaient revenus de tout.
Pourtant ils étaient durs et leur discipline était de fer. C’était des hommes de métier. Et le métier d’homme de guerre est une chose abominable et pleine de cicatrices, comme la poésie. "
Blaise Cendrars
Et si vous voulez lire l'équivalent de "La main coupée" écrit de nos jours, voici un recueil de poèmes inouïe signé par un de retour de la guerre d'Irak
18:25 Publié dans carottages littéraires | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cendrars, la main coupée, blaise cendrars, kevin powers, lettre écrite pendant une accalmie dans les combats