UA-136760349-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

02/06/2016

« PARDON MY FRENCH » (présentation en n’images qui bougent)

Je ne sais pas pourquoi, c’est toujours quand il pleut (matez la qualité de la lumière dans cette vidéo, on dirait un film polonais de Zulawski datant du début des années 70) et après une nuit presque blanche (matez mes cernes) que j’enregistre mes p’tiotes vidéi.

À venir, d’autres vidéi consacrées aux « 76 clochards célestes » de Thomas Vinau , au dernier recueil de Natyot et/ou au poète Roger Lahu. 

Commander l'ouvrage ? ICI.

 

01/06/2016

C'était le Cabaret Poétique du dimanche 22 mai 2016

Rappel du générique :

1122993235.jpg

13275726_1325300634151958_1132442638_n.jpg

llb2.jpg

llb10.jpg

llb11.jpg

Jean-Pierre Andrevon en première partie, suivi d'une pause bière-clopes-bouquins de poésie à acheter...

Et pendant cette pause...

13227048_10208147845405373_2952411745780196735_n.jpg

13239116_10208147841525276_4210442351227222431_n.jpg

13260245_10208147837725181_7057682626204620863_n.jpg

Une seconde partie consacrée à la jeune poésie lituanienne. Ce fut extraordinaire.

_R021719.JPG

_R021725.JPG

_R021729.JPG

_R021766.JPG

_R021767.JPG

_R021769.JPG

_R021781.JPG

Merci aux nombreuses personnes qui, spontanément, m'ont envoyé des clichés de ce rendez-vous (j'ai dû faire une sélection hâtive parmi les photos). Et un remerciement tout particulier à JEAN-BAPTISTE CABAUD sans lequel...

 

30/05/2016

BENOîT JEANTET au PEDALO IVRE !

Non. Il s'agissait sans doute d'une de ces filles. Non. D'une femme. Enfin. Plutôt d'une de ces dames so Saint-Sulpice sur lesquelles on a pu, dès nos premiers atermoiements d'aoûtats, rêver de se faire les dents-les doigts-la langue-les lèvres-la bouche, oui mais non, essaye encore-oublie ça mon garçon, comme c'était un peu trop méconnaître à quel point ce genre de dames so Sulpice apprécient assez peu en principe les façons qu'on a, vers cet âge frappé de tant d'ingratitudes, de mouliner la confusion des sentiments avec la grâce pataude d'un hélicoptère. Oui. Je crois qu'il devait plutôt s'agir de ce genre de fille. Non. De femme. Enfin. Bref. Et alors il y avait cette ambiance de docks et de lampe tempête et ça faisait une jolie rupture de ton, comme ça, sous les arcades du marché Saint-Sulpice.

 

Benoît Jeantet par lui-même :

Je n’ai pas toujours été ce que je suis. Au commencement, alors, je suis né. Je suis né un 15 novembre et c’était en 1970. Ce jour-là il pleuvait et la terre était lourde. Aujourd’hui les choses sont un peu différentes.

couverture-Jeantet.jpg

Le commander ? ICI.

 

29/05/2016

Le jour où jamais pour leur faire la fête...

28/05/2016

Vrac de vrac # 36

Les critiques éclosent (c'est le printemps) autour de "PARDON MY FRENCH", mon dernier livre Après celles de Patrice Maltaverne et celle de Jacques Morin, voici celles signées Michel Thion, Thierry Radière et Marie-Pierre Soriano.

Je vais l'écrire très simplement : ça me fait un bien fou. J'en ai besoin en ce moment.

1.jpg

2.jpg

(Photos de Jean-Christophe Belleveaux) 

Autrement, pour élargir le cirque cercle, du côté de REALPOETIK, ils ont remis ça pour un cinquième numéro. Je vous conseille tout particulièrement la causerie édifiante de Grégoire Damon autour du dernier opus signé... Gégé Depardiou.

Autrement ? Je retrouve dans mes archives perso (1) cette note qui remonte à quatre ans jour pour jour :

"Propos tenus par Guillaume Musso dans le Journal Inattendu de RTL le 28 mai 2012 : Je suis curieux de tout, j'ai le goût des autres, je mets un point d'honneur à ne pas être sectaire, à aborder les situations et les gens sans préjugé... Je ne suis jamais dans la séduction."

Et l'on se quitte avec fille et guitare (ça vaut mieux) :

 (1) : Quand je mourrirai, je donnerai mes archives à la Bibliothèque de ma ville... Ils seront atterrés !

 

27/05/2016

"Mon avis sur les choses..."

13260212_10154238437568872_5166997491736408439_n.jpg

"Je crois très sincèrement que mon avis sur les choses n'a strictement aucun intérêt; d'abord parce qu'il est toujours faux..."
Jean Yanne

 

25/05/2016

Remise à niveau (english) # 41

english2.jpg

22/05/2016

« Une sorte de hold-up »

C’est ainsi que l’excellent Jacques Morin qualifie mon entrée en poésie, à la faveur de la sortie de « Pardon my french », mon septième recueil. Il a raison. Maintenant… Pour être honnête… Devant les discours des Jean-Pierre S. et des André V. sur le dos de la poésie, ce ne sont pas des envies de braquage qui me prennent parfois, mais de meurtres.

En avant-première donc, je vous copie-colle la critique de Jacmo à paraître dans le prochain numéro de la revue « Décharge » ! 

 

« Patrick Dubost l’indique très justement en quatrième de couverture : Frédérick Houdaer vient du roman noir, et cela explique beaucoup de choses. Et j’ajouterais de mon côté qu’il fait une sorte de hold-up sur la poésie. Le texte part la plupart du temps d’une situation vécue, très variée, souvent située à Lyon : inauguration d’un lieu culturel, voyage en car, en ferry, en voiture… et à partir de là, il décrit ce qu’il se passe : les personnages (souvent une femme), avec dialogue en italique, l’événement, l’incident, l’anecdote, la petite histoire, ce qu’il pense et constate. Rapidement, on s’attache au héros, le narrateur, aux péripéties qu’il raconte, dans son quotidien, souvent semblables à celles du lecteur dans leur diversité, et ce patchwork, c’est à la fois sa vie et le recueil. Le titre n’est jamais anodin, contribuant en contrepoint au texte. Lequel est écrit en vers, ce qui indéniablement apporte à son aspect poétique, et l’auteur n’hésite pas à écrire dans le vif : …cette actrice de toute façon / juste bonne à faire la couverture de magazines prétentieux / que je ne citerai pas dans ce poème… lui-même attestant ainsi la réalité de la chose et du genre. Sont importés directement du roman noir plusieurs ingrédients, comme l’humour, l’érotisme, le sens de l’observation, la vivacité du style… qui confèrent à son écriture une réelle originalité. On se laisse prendre aux micronarrations, tant et si bien qu’on ne lâche le livre qu’à la fin. Mission accomplie. »

© Jacques Morin, mai 2016

hold-up-1985.jpg

 

 

20/05/2016

"(...) nous, mouches du Saint merdier..."

"(...) Vous qui m'aimez vraiment, montrez-vous exigeants..."