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07/08/2016

Bientôt, la route des vacances...

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06/08/2016

Poète

J’ai mis du dentifrice
sur mes amours.
J’ai nourri de vinaigre
mon inutilité.
Avec ma lame de rasoir
j’ai balafré mon absolu.
Je suis enfin concret
comme un aspirateur,
comme une paire de skis rouges.
Je suis à vendre
parmi les ouvre-boîtes,
les rince-doigts, les abat-jour,
poète,
produit de première nécessité.

 

Alain Bosquet

05/08/2016

Parole, parole...

 

04/08/2016

"Ca tourne, ça tourne"

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"Ca tourne, ça tourne" est ce que nous disons tout bas, nous autres bokonistes, chaque fois que nous songeons à quel point le mécanisme de la vie est complexe et imprévisible. (1)

Kurt Vonnegut

 

(1) : citation trouvée dans le recueil de Roger Lahu "Au plus près" (éd. Le dé bleu). Réédité l'an prochain au Pédalo Ivre ?

 

03/08/2016

Do the right thing

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01/08/2016

Livre d'artiste

Le peintre André Jolivet...

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... m'a proposé de rejoindre son projet "Little book artist - Le monde des villes" pour parler de Lyon.

Voici quelques photos illustrant plusieurs étapes de son travail.

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31/07/2016

"Avoué ou non..."

 

“ Avoué ou non, conscient ou inconscient, l’état poétique, un état transcendant de la vie, est au fond ce que le public recherche à travers l’amour, le crime, les drogues, la guerre ou l’insurrection. ”

Antonin Artaud

 

 

30/07/2016

La genèse d'Antoine Blondin

Antoine Blondin : « (…) Mon père a eu toute sa vie une envie : celle d’écrire un livre. Il ne l’a jamais fait. Quand il est mort, pour la première fois j’ai essayé moi aussi d’écrire un livre. Pas à sa place. Mais si lui en avait publié un, je n’aurais jamais écrit le moindre livre. Quant à ma mère, elle était issue de la grande bourgeoisie. Son aïeul s’appelait Casimir-Perier. Dans la vie, il faisait président de la République. Six mois en 1894. Après quoi il a donné sa démission pour aller claquer tout son argent avec les admirables putes de l’époque.

Pierre Assouline : C’est quand même un drôle de destin pour un Président.

Antoine Blondin : Oui, mais c’est peut-être comme ça qu’on obtient un écrivain quarante ans après. »

Extrait de « Le flâneur de la rive gauche », entretiens Blondin/Assouline

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29/07/2016

Remise à niveau (english) # 45

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