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02/02/2012

Mon schtroumph préféré

Guillevic

, un film.

, une anecdote.

17/10/2011

De quelques contrepoisons...

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LE livre de Thomas Vinau (mais pas le premier, sûrement pas le premier contrairement à ce qui se dit/s'écrit ici ou là).

 

 

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Une réédition étonnante aux Editions Le Pont du Change.

 

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"La saga Maigros" signée Eric Dejaeger. Un feuilleton trash comme un San-Antonio sous acide n'aurait pas osé en écrire. ATTENTION, livre déconseillé aux âmes sensibles et à François Bon.

Et zou, une photo compromettante de mézigue avec l'auteur qui remonte à ma virée nordesque de la fin août :

 

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(C'est clair, sur cette image, Dejaeger ne ressemble pas à San-Antonio).

 

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Les nouveaux livres de François Beaune et Fabienne Swiatly... qui n'ont pas besoin de mon coup de projecteur, mais comme ce sont de belles personnes et qu'elles ont commis de rudement bons livres...

Oui, j'aime ces quatre auteurs. Et non, cette notule ne relève d'aucun copinage.

28/05/2011

Huitième et dernier Cabaret Poétique

(Cliquez sur l'image pour l'agrandir)

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"C'est quoi, la poésie ?"... C'est ça, Ducon. Puisqu'on te le dit.

23/05/2011

"La Scène et le Cabaret… PoétiqueS !"

Un article signé Leila Lovato pour le Bloc-Note de la Mapra :

 

" Ce mois-ci, nous retrouvons Patrick Dubost et Frédérick Houdaer, écrivains, agitateurs de littérature et de poésie, déjà invités pour cette page par Gérard Mathie ou moi. C’est vrai qu’ils sont sur plusieurs ponts, et notamment ceux de la Scène pour l’un, du Cabaret pour l’autre… poétiques of course ! Petit échange alors que la Scène Poétique, pilotée par Patrick Dubost, reprend en mai à l’ENS à l’invitation de Eric Dayre (qui dirige le Centre d’Etudes et de Recherches comparées sur la Création), et après son éviction brutale du programme de la Bibliothèque de la Part-Dieu. L’occasion, selon Patrick Dubost, de “repenser certaines choses, de formuler des propositions que je réservais pour la BM. Tout cela verra doucement le jour, mais pas de gros changements sur le fond : donner la parole aux poètes, sans artifice, sans béquille”. Quant au Cabaret Poétique, emmené par Frédérick Houdaer, il fête son premier anniversaire en juin, au Périscope où il a vu le jour, en partenariat avec “L’Université Populaire” que Françoise Bressat a créé il y a quelques années. “Chaîne d’amitiés” qui de fil en aiguille a conduit à ouvrir le Cabaret dans “ce lieu formidable” initialement dévolu à la musique (Jazz). “J'aspirais à un rendez-vous qui ne se prenne pas au sérieux, mais où seraient conviés des personnes qui, elles, prennent l'écriture au sérieux. Pas une scène ouverte, non, le fruit d’une vraie programmation, mais réellement curieuse, avec mélange des genres et des générations. Et à l’arrivée, le contraire d’un zapping stérile”. Suite de l’entretien…

 

L - Pouvez-vous chacun donner une définition du moment de poésie que vous pilotez ?

F - Le Cabaret Poétique, ce n’est pas la messe. Ce n’est pas non plus le lieu du grand n’importe quoi. C’est un lieu (magique, une salle de jazz coincée entre deux prisons désaffectées) où souffle quelque chose qui fait beaucoup de bien aux gens qui y passent… On appellera ça “une brise fraîche” pour ne pas employer de formules trop connotées. C’est fragile. Rythmé. Pas question de s’y ennuyer.

P - La Scène Poétique permet de découvrir, à Lyon, des poètes qui font un travail singulier et fort, dans toute la diversité de la production poétique actuelle. Une attention particulière est portée sur l’oralité, et la capacité dans laquelle se trouve le poète de gérer cette situation de lecture publique, avec sa voix, son corps, son énergie et les différents moyens techniques dont il veut disposer. Je tente de trouver un équilibre entre poètes reconnus et poètes en devenir, hommes et femmes, jeunes ou moins jeunes, de la Région ou venant de loin, d’une modernité batailleuse ou d’une sagesse tranquille, sans oublier les inclassables.

 

L - Et présenter le moment que l'autre pilote ?

F - J’ignore les changements que connaîtra “La scène Poétique” en passant de la Bibliothèque de La-Part-Dieu à l’E.N.S. Penser à retirer à Patrick les poignards que certains lui ont plantés dans le dos.

P - À la différence de la Scène Poétique, le Cabaret Poétique animé par Frédérick Houdaer est beaucoup plus convivial, moins sévère, avec des interventions plus nombreuses et plus courtes, presque exclusivement centré sur des auteurs de la Région, avec une plus grande volonté encore de faire découvrir des jeunes et leur servir de tremplin. Le contexte plus institutionnel de la Scène Poétique (aujourd’hui l’ENS) m’oblige à plus de rigueur, en invitant des poètes avec un parcours déjà solide (sauf rares exceptions) en termes d’édition et d’interventions publiques, à l’échelon national.

 

L - Quelle est votre acception (ou acceptation) du mot “poésie” ?

F - Le lieu, le temps, l’espace de tous les “Why not ?” (dernière phrase prononcée par un cow-boy à la fin de “La horde sauvage”).

P - Cette question est un continent. Je vais livrer ici quelques phrases qui, chacune, mais aussi prises dans leur ensemble, seront toujours trop réductrices. La poésie est avant tout, pour moi, un travail sur la langue. (C’est là où l’on retrouve, souvent, tous les écrivains qu’on ne sait où situer, trop inventeurs dans leur domaine, parfois romanciers ou auteurs de théâtre, mais accueillis bras grands ouverts chez les poètes). C’est le lieu d’une langue utilisée non comme véhicule d’une pensée, ou d’images, mais d’une langue qui devient matière de pensée ou d’images. Une langue qui navigue entre les yeux et la bouche de celui qui écrit / dit, et entre les yeux et les oreilles de celui qui lit / voit / écoute. En situation d’écriture, la question de l’oralité induit des choix parfois difficiles : la parole agissant dans les yeux n’obéit pas toujours aux mêmes contraintes qu’une parole pensée pour la déclamation, ou simplement la voix haute. Enfin, lorsque j’emploie le mot “poésie”, c’est toujours dans un sens “littéraire”. Je distingue fortement dans leurs usages les mots “poésie” et “poétique”. Je me souviens toujours avec un sourire d’avoir lu, autrefois, un article dans un journal qui parlant d’une représentation théâtrale titrait : “Spectacle très poétique, dommage que le texte ne soit pas à la hauteur” !

 

L - La poésie est-elle soluble aujourd'hui ? C'est à dire se désintègre-t-elle, s'intègre-t-elle, ou va-t-elle toujours contre ?

F - Elle a tout l’avenir devant elle. Et le présent ne peut la menacer sérieusement, malgré…

P - Soluble je n’aime pas trop ce mot. Elle se désintègre (dans le sens où elle explose) oui, et se reforme ailleurs. Elle s’intègre, oui, avec le temps. Elle va souvent contre, et souvent profondément avec. Elle est partout et nulle part, et jamais soluble.

L - Y a-t-il une spécificité de la poésie à Lyon aujourd’hui ? Une spécificité du milieu lyonnais de la poésie ? Comment te débrouilles-tu / vous débrouillez-vous avec l’idée de milieu ? À quel milieu poétique (une région, un courant, un temps…) vous affileriez-vous le mieux, le plus volontiers ?

P - Non, je ne crois pas qu’il y ait de spécificité de la création poétique sur Lyon aujourd’hui. J’aimerais. Il faudrait pour cela une plus grande synergie, sur des années. Une ville comme Lyon pourrait certainement jouer un rôle, mais force est de constater que l’imagination et la volonté politique ne sont pas au rendez-vous. Quand au “milieu” de la poésie, il existe certainement, mais il me semble avoir des frontières suffisamment floues pour être supportables. Et j’aime cette richesse, ce territoire étendu. Je ne me sens d’aucune affiliation, sinon mon attention particulière pour la poésie orale, ceux d’aujourd’hui et ceux d’hier, et pour des formes expérimentales ou novatrices qui n’abandonneraient ni le sens ni le sensible. J’ai une grande tendresse pour ce qui sonne juste - juste jusqu’à la singularité - et ce qui, d’une manière ou d’une autre, a quelque chose à voir avec la profondeur.

F - Qui vous dit que nous sommes à Lyon ? Mes affinités ? Thomas Vinau, Jean-Marc Flahaut, Daniel Labedan, etc…

 

L - Quels seraient les invités d’un Cabaret / d’une Scène poétique idéal(e), merveilleuse, révolutionnaire ?…toutes époques confondues.

P - Jolie question. Mais quand je réfléchis plus de quinze secondes, je vois des dizaines de figures qui se bousculent au portillon, certaines venant de la Renaissance ou du XIXe, d’autres de plus en plus nombreuses en avançant dans le XXe, et tous ces anciens noyés dans la foule innombrable de ceux qui, bien vivants, ont encore le pouvoir de regarder leur montre.

F D’Agrippa d’Aubigné à Christian Prigent, avec de nombreuses joutes, des démonstrations d’escrime. Puisque “style” et “stylet” ont la même étymologie. Des musiciens. Des séances de spiritisme (demander au grand Buck combien de bières il a sifflées dans l’au-delà). Et du feu. Du vrai feu (à l’instar de ce qui a été proposé au Parc de la Tête d’Or lors de la dernière Fête des Lumières). Que des trucs “pas aux normes de sécurité”.

 

L - En peu de mots, à quelle expérience langagière, physique, sociale répond le besoin, le désir, d'écrire, d'entendre de la poésie ?

P - Une seule phrase ?…Très courte ?…Alors…Tout cela pour…Ne pas mourir ?!

F - Me souviens du beau texte d’un poète nommé Patrick D. Il s’intitulait “Pour ne pas mourir”.What else ? "

 

05/10/2009

De quelques petits bonheurs et de quelques grandes vulgarités

Aucune volonté d'édification. Juste le recensement de mes deux derniers petits bonheurs. Mes poèmes qui commencent à faire des ricochets chez Thierry Marignac. Et Thomas Vinau qui me fait découvrir "CARVER HEUREUX" grâce à son blog que je pille allègrement pour nourrir l'ogre Facebook.

Quant à la vulgarité promise, elle ne se trouve que dans l'une des deux vidéos suivantes. Je vous laisse la dénicher.

 

14/09/2009

QUELQUES EFFETS D’ANNONCE

Ma dernière notule est, sans conteste possible, celle qui m’a valu le plus de messages privés depuis la naissance de mon blog. Et après ? Combien de mes amis polardeux, si courageux qu’ils n’ont pas osé commenter publiquement ma critique de Marignac, ont lu, seulement lu le livre dont il était fait mention ?

Pour changer de sujet, quelques effets d’annonce :

a)      Vous voulez savoir à quoi va ressembler « ROCOCO TOKYOÏTE », le roman de Clément Bulle que je fais publier à la fin octobre aux éditions A plus d’un titre ? Cliquez ICI et sachez apprécier les indices. A signaler (ô mystérieuse résonnance avec le paragraphe précédent) que ce même Clément Bulle vient d’écrire un superbe papier sur "RENEGADE BOXING CLUB" de Thierry Marignac (nan, on s’est pas donné le mot) à paraître dans le prochain numéro de « L’INDIC ».

b)      Mon prochain recueil de poèmes devrait sortir pour la fin de l’année. Il est dédié « à Eric Dejaeger, à Renaud Marhic et à Fabienne Swiatly, pour leurs noms difficiles à orthographier ».

c) Quelques nouveaux liens dans ma colonne de "passerelles": Thomas Vinau (aussi jeune que bon, salaud!), et un lien réactualisé (et nécessaire) vers le blog de Jean-Marc Flahaut (auteur du cinquième titre à paraître dans ma collection "A charge", mais chuuut, secret défense).

d) Je viens de me faire Wikipédier (merci à l'ami David).

01/05/2009

MICROBE n°53

a) Une nouvelle fois, l'un de mes textes est publié dans la meilleure revue poétique du monde, elle est belge (forcément) et elle s'appelle "MICROBE" (on en est au 53ème numéro). Le responsable (très coupable) en est Eric Dejaeger. Rien que du beau linge au sommaire: Pierre Autin-Grenier (le PAG qui laisse parfois des commentaires sur mon blog, superbe écrivain et voisin de plateau Croix-Roussien que je n'ai guère eu le temps de harceler), Thomas Vinau, un texte inédit de Richard Brautigan, etc...

Pour s'y abonner, faites un chèque de 22 € à l'ordre de Servranx et envoyez-le à E.Dejaeger, Launoy 4, (B-)6230 Pont-à-Celles (Belgique).

b) Pour ceusses qui souhaiteraient que j'anime plus régulièrement ce blog... rejoindez mon fesse-bouc, faites zamis-amis with me, et vous aurez de mes nouvelles plus régulièrement.

c) Une chanson de circonstance, rapport à la date du jour :