Nourrissons-nous nos monstres ?

 

C'était le Cabaret Poétique du 17 octobre...

 

Lustre

- Et là, vous voyez, nous pourrions pendre tous ces coquins.
- Où ça ?
- Au lustre. Il m’a l’air assez solide.
- Oh, vous alors… Vous exagérez quelque peu, mon ami.
- Pas du tout. J’ai votre confiance, et c’est tout ce qui m’importe. Dressez-moi une liste de noms, puis laissez-moi faire.

 

Un café, un éditeur...

Avec Lionel Tran des "Artisans de la fiction", je viens de réaliser une longue interview de Pierre-Jean Balzan, des éditions "La fosse aux ours".

La vidéo prochainement sur ce blog.

Je vous promets, on a beaucoup ri (cela se verra et s'entendra dans la vidéo).

 

Remise à niveau (english) #153

 

 

Réu' de travail

Artisans de la fiction - Musée des Confluences

 

Appel à témoignages

Et autrement, au Marché de la Poésie place Saint-Sulpice, du côté de la grosse tension érotique, on en est où ?

 

Brassens, cent ans aujourd'hui...

Ne croyant ni en Dieu, ni en une société parfaite, ni en une amélioration de l’homme, je suis désespéré. Les choses n’étant pas ce que je voudrais qu’elles fussent, j’ai tendance à râler, à rouspéter… Et puis je transforme ça en gaieté. En ironie. En humour. Ne voulant pas pleurer, parce que je suis quand même un type pudique, ne voulant pas trop non plus crier, ni me plaindre, ni pousser les cris souffrants des romantiques (au fond, je suis un romantique dénaturé…), alors je fais semblant d’être gai. Même devant moi, je n’aime pas pleurer.

Georges Brassens

 

Marché de la Poésie

A défaut d'être au Marché de la Poésie cette année, mes livres y seront.

Vous pourrez trouver mes ANGES PROFANES sur le stand n°423 (La Rumeur Libre-La Passe du Vent), et NUIT GRAVE sur le stand n°513 (La Boucherie Littéraire)