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16/08/2022

John Fante, auteur babylonien

Fante auteur babylonien.jpg

Ne cherchez pas l'image sur Google, il s'agit d'un grossier collage fabrication-maison (merci à mon tube Uhu) que j'ai encadré, mis sous verre et suspendu au-dessus de mon bureau.
Fétiche de facture maladroite mais incroyablement efficient.
 

10:51 Publié dans Boussole | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : fante, babylone, bureau

07/12/2021

"au-dessus de ton bureau ?"

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- C’est quoi, au-dessus de ton bureau ?
- Un collage fabrication maison.
- Pardon ?
- Aucune prétention artistique, hein, je ne me prends pas pour Max E…
- Mais, ça représente quoi ?
- C’est tout simple. C’est John Fante sur fond de Babylone.
- C’est une photo ?
- Fante, oui. Babylone, c’est dessiné. Et c’est moi qui les ai mis ensemble.
- T’as pioché ça où ?
- Je ne sais plus.
- Et c’est censé dire quoi ?
- C’est un talisman. Si tu veux.
- Mais… ça te sert à quelque chose ?
- Si j’ai accroché le cadre au-dessus de mon bureau, sûrement.
 

20/06/2018

Réorganisation du bureau

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23/08/2011

MAKING-OFF

la fenêtre de mon bureau

donne sur un chantier tout frais

cela ne ressemble encore qu’à un vaste trou

j’ai compté cinq types différents d’engins

à s’être donnés rendez-vous en bas de chez moi

plusieurs équipes sont sur le coup

même si la plupart n’ont

pour le moment

fait que de se croiser

et prendre leurs marques

moi

le seul effort que je me suis demandé

est de prendre une photo par jour

de l’avancée des travaux

 

je n’ai pas tenu la promesse

que je m’étais faite

 

depuis

j’observe le boulot des gars

non sans une certaine aigreur

j’applaudis

à la pluie

qui vient contrarier la bonne marche du chantier

mais cela ne suffit pas

la place en bas de chez moi finira bien par être refaite à neuf

et ce jour-là

je n’aurai plus qu’à partir

 

extrait de "ENGEANCES" à paraître en janvier aux éditions La Passe du Vent

12/06/2007

bureau

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Il choisit une couleur qui s’appelait Tibetan Desire, ce qui l’amusa beaucoup, car il y voyait une complète contradiction dans les termes. 

« Les perdants magnifiques » de Leonard Cohen