13/12/2005
Mardi 13 décembre
Jeudi 15 au soir, retrouvons-nous chez les Ogres Nourris à l’Insouciance Vibrante de l’Art, autrement dit « Onyva ».
10:25 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Onyva, On, Evrot, Ogres
02/12/2005
Bienvenue à Palma
« Bienvenue à Palma », le site de l’ami Dominique où l’on retrouve LE plaisir du cinéma. Ou comment glisser « la lettre au voyant » de Rimbaud dans une critique de « Dead zone » !
10:20 Publié dans où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Salon, Bienvenue à Palma, Rimbaud, Dead Zone
16/11/2005
Émeutes
Ces quinze derniers jours, je n’ai pas changé mes habitudes. Pour cause d’ateliers à animer (entre autres boulots), j’ai passé beaucoup de temps… à Vénissieux et à Saint-Fons par exemple. Que dire de ce que j’y ai vu ? Inviter les personnes qui lisent ces lignes à se reporter à ma note datée du… 10 octobre !
10:15 Publié dans où mon taux d'adrénaline augmente | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : émeutes, Vénissieux, Saint-Fons
13/11/2005
Bellecour et Aniche
Du vendredi 11 au dimanche 13 novembre:
En l’espace de trois jours, j’enchaîne deux salons du livre : celui d’Aniche (près de Douai) consacré au polar (des ours, des loups + l’élection de Miss Polar au menu !) et celui de Lyon au milieu de la Place Bellecour et des cordons de C.R.S.
Ces deux rendez-vous m’ont permis de rencontrer en chair et en os Renaud Marhic et Christian Cottet-Emard qui ont l’habitude de hanter ma « toile ».
Vendredi, pour me rendre à Douai, je me suis Tégévé en première classe. Première classe et première fois de ma vie. Et alors ? J’ai dormi. Fauteuils confortables, spacieux, visiblement conçus pour de grosses personnes. Magazine « TGV » à disposition. En Une est annoncé un dossier « Les dessous de l’édition ». Mieux vaut pioncer que d’ouvrir ça.
Quand j’émerge, c’est pour filer au wagon-bar et entendre son tenancier se plaindre :
- Y’a eu 8 millions de morts pour qu’aujourd’hui, ce soit férié… et bien ça n’a pas suffi, parce qu’aujourd’hui, je dois bosser. »
J’ai donc passé 24 heures dans le nord de la France… 24 heures qui m’ont fait du bien (mon père et mon grand-père ne sont-ils pas de Dunkerque ?). Parmi les auteurs invités, j’ai été surpris d’apercevoir Fajardie (je croyais qu’il ne participait plus à ce genre de manifestation).
Ce festival d’Aniche possède bel et bien une âme (et Roger Facon, son organisateur, n’y est pas pour rien). Heureux également d’avoir rencontré l’excellent Pascal Françaix (mince, lui aussi en pince pour Ghelderode, lui aussi est de Aniche comme Roger Facon) et découvert les éditions Octobre derrière lesquelles se cache Pierre Grimbert.
La reine était Audrey Françaix. Aucune Miss Polar ne lui arrivait à la cheville.
Tout de même, de retour en gare de Lyon-Part-Dieu, j’ai aimé retrouver un soleil même timide.
Ce ne sont plus les chantiers d’écriture qui me manquent.
10:05 Publié dans LyonnÈseries, polar | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Aniche, polar, Marhic, Facon, Cottet-Emard, Françaix, Grimbert
14/10/2005
Vendredi 14 octobre
Avec Fabienne et Sylvie, plusieurs mois durant, je suis allé à la prison Saint-Paul. Lire des textes. À voix haute. Aujourd’hui, Fabienne lâche un cri, un texte sur cette expérience.
07:20 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : prison, remue.net, swiatly
03/10/2005
Lundi 3 octobre
Extrait :
13 juillet. - Un homme, une caisse à outils. Antoine est arrivé ce matin : une vraie plume mais ni maigre ni chétif. Énergique, vif. En un rien de temps, il s’est fabriqué une sorte d’établi le long de la palissade. Son travail : tresser les ferrailles, semelles, piliers, linteaux, préparer les coffrages. Il a du métier, comme on dit. Et des mains de sourcier, de derviche ; ça va vite, ça s’éclaire d’un coup. Ses outils : un jeu de griffes pour tordre les fers, des pinces coupantes, une petite et une grosse cisaille.
Dans l’après-midi, Ahmed et moi l’avons aidé à plier les barres de 16, grosses comme le pouce. Pourquoi, soudain, en plein effort, ce rire fou, ce rire qui nous montait des mains comme un oiseau grimpeur ? Impossible de continuer, c’était là, dans l’air, à hauteur de visages : une aile.
Ascendante, jusqu’au soir.
Thierry Metz, Le journal d’un manœuvre, Editions L’arpenteur
06:55 Publié dans carottages littéraires | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Metz, Le journal d'un manoeuvre, L'Arpenteur
16/09/2005
2005
je n’y peux rien
c’est mon année
qu’on se le dise
qu’on le colporte
jusqu’à ce que l’information me revienne
aux oreilles
06:40 Publié dans a.2) MES TEXTES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : année du coq, poésie, 2005
15/09/2005
Up Date
Au lieu de cela… demain soir, vendredi 16, à 20h00, sur le parking du 8/9 quai Arloing, vous pourrez me voir jouer la comédie (avec puis sans masque), chanter, danser… C’est gratuit, et les responsables sont à chercher du côté de Là Hors De.
Un jour, il faudra que j’apprenne à répondre « non » aux propositions de certaines comédiennes.
06:20 Publié dans planches | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Up Date, Prugnaud, quai Arloing, Là Hors De, Bob X, Bertrand Louis, Mattotti
06/09/2005
Mardi 6 septembre
L’ami Michel (Thion) ouvre son site, tandis que dans le reste du monde on recycle à tout va.
06:15 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Thion, blog, poésie, recyclage, Libération