UA-136760349-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

17/04/2017

Bouts de têtes

i089907.jpg

Michel Descombes et le commissaire Guilboud dans leur titine. Ou "ce que font et deviennent nos gosses"...

Revu "L'horloger de Saint-Paul". Revu ces images d'un Lyon que je n'ai pas connu (1973). Tavernier évite les clichés de la ville brumeuse (le film a été tourné en août), redécouvre l'italianité des quartiers qui l'intéressent malgré toutes les façades encore noircies (le coup de karsher sera passé dans les années 90). Le ciel est bleu, la Saône est verte (à moins que mon écran n'ait été mal réglé ?).

" Au détour d’une rue qui ne paie pas de mine, vous tombez sur une cour aux couleurs florentines, vous découvrez des murs ocre, une tour rose, une architecture tout à fait inattendue. Lyon a mauvaise réputation, à cause de sa bourgeoisie. Mais au-delà des quartiers riches, c’est une ville extrêmement généreuse, à laquelle on reste très attaché. J’ai voulu (...) montrer Lyon sans jamais cadrer Fourvière ou la place Bellecour. J’ai voulu retrouver l’atmosphère de ces appartements aux plafonds très hauts, de ces cours où l’on entend des enfants faire des gammes, de ces restaurants aux tables de marbre. " (B.Tavernier)

Hâte de revoir "Une semaine de vacances" à présent (Lyon dans les années 80) où Michel Descombes réapparaît.

l'horloger de saint-paul,philippe noiret,jean rochefort,bertrand tavernier

 

12/04/2017

Saul Goodman

 

better call saul,breaking bad

A 13 ans, rêver de devenir Conan le Barbare. A 15, Conan le Barbare + Baudelaire. Quadra, mettre ses pas dans ceux de Saul Goodman...

Saul Goodman, donc. L'un de mes deux héros de séries préférés (avec Al Swearingen dans "Deadwood").

Après l'avoir découvert dans "Breaking bad", la joie de retrouver cet avocat humain, trop humain dans "Better call Saul", série faussement cynique et triviale. Et, in fine, dans un monde régenté par l'argent à tous les niveaux, la question de la tendresse remarquablement posée.

Les épisodes de la première saison de "Better call Saul" tiennent la comparaison avec... certains sketches de Dino Risi ! On rit et on a (parfois) envie de pleurer.

La deuxième saison? Plus inégale et poussive... Son intérêt principal : l'histoire d'amour qui le lie à sa collègue avocate (ou comment faire le malheur de ceux qui nous sont chers).

better call saul,breaking bad

La diffusion de la troisième saison est imminente.

 

05/04/2017

"Le voleur"

17264510_10155159872503872_572028974014133335_n.jpg

Rien à voir avec un énième épisode d'Arsène Lupin. Un film "sec comme l'effraction, rapide et laconique telle une mise à sac"...

 

29/03/2017

Vrac de vrac # 41

Poésie ?

Merci à ceusses qui m'ont accompagné dans ma pérégrination universitaire au milieu de quelques gueules poétiques.

17424854_1362480460477943_4891639453170781847_n.jpg

17426337_1362480470477942_6650370700016193445_n.jpg

17426142_1245500442171549_1130699881744631791_n.jpg

Toujours en poésie, un petit tour d'horizon.

Autrement, une première critique pour ma "NUIT GRAVE". ("C'est un angle d'attaque original que de parler de la nuit pour montrer sa lucidité quant à ce qu'on veut nous faire avaler tout le jour."  Patrice Maltaverne)

Envie d'un autre sujet ? Vous signaler que le meilleur film d'action de ces dix dernières années ressort dans la plus belle des versions (celle que souhaitait son réalisateur) :  

 

19/03/2017

"La poésie..."

13094256_10154236058953872_9078255299337871106_n.jpg

"La poésie vous fait la peau plus douce."

Al Swearengen

14/01/2017

Hors-saison

ma-nuit-chez-maud.jpg

- Alors, où en étions-nous ?

 

Françoise Fabian, in "Ma nuit chez Maud"

 

08/01/2017

... me laisser tout seul sur le Boulevard du Crime...

 

02/01/2017

Séance de rattrapage : "TOP OF THE LAKE" de Jane Campion (2013)

15726595_10154916178448872_1358405653252646199_n.jpg

Une grande mini-série qui, en 6 X 58 mn, vous laisse une empreinte plus profonde que toutes les Scorceseries à la "Broadwalk Empire" (dotées d'un budget cinquante fois supérieur).

L'intrigue ? Un canevas assez classique. Ce qui fait toute la différence, c'est la femme qui se trouve derrière la caméra... Sa façon de filmer la nature, les rapports hommes-femmes, les rapports adultes-enfants..

15676522_10154916183813872_8736848379721331908_o.jpg

Alors que les nécros d'artistes envahissent mon mur Facebook, je me permets de rappeler que Jane Campion est bien vivante. J'espère qu'elle finira centenaire et qu'elle réalisera encore de nombreux films.

 

 

21/12/2016

Morgan