12/04/2017
Saul Goodman
A 13 ans, rêver de devenir Conan le Barbare. A 15, Conan le Barbare + Baudelaire. Quadra, mettre ses pas dans ceux de Saul Goodman...
Saul Goodman, donc. L'un de mes deux héros de séries préférés (avec Al Swearingen dans "Deadwood").
Après l'avoir découvert dans "Breaking bad", la joie de retrouver cet avocat humain, trop humain dans "Better call Saul", série faussement cynique et triviale. Et, in fine, dans un monde régenté par l'argent à tous les niveaux, la question de la tendresse remarquablement posée.
Les épisodes de la première saison de "Better call Saul" tiennent la comparaison avec... certains sketches de Dino Risi ! On rit et on a (parfois) envie de pleurer.
La deuxième saison? Plus inégale et poussive... Son intérêt principal : l'histoire d'amour qui le lie à sa collègue avocate (ou comment faire le malheur de ceux qui nous sont chers).
La diffusion de la troisième saison est imminente.
00:00 Publié dans où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : better call saul, breaking bad, saul goodman