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17/04/2017

Bouts de têtes

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Michel Descombes et le commissaire Guilboud dans leur titine. Ou "ce que font et deviennent nos gosses"...

Revu "L'horloger de Saint-Paul". Revu ces images d'un Lyon que je n'ai pas connu (1973). Tavernier évite les clichés de la ville brumeuse (le film a été tourné en août), redécouvre l'italianité des quartiers qui l'intéressent malgré toutes les façades encore noircies (le coup de karsher sera passé dans les années 90). Le ciel est bleu, la Saône est verte (à moins que mon écran n'ait été mal réglé ?).

" Au détour d’une rue qui ne paie pas de mine, vous tombez sur une cour aux couleurs florentines, vous découvrez des murs ocre, une tour rose, une architecture tout à fait inattendue. Lyon a mauvaise réputation, à cause de sa bourgeoisie. Mais au-delà des quartiers riches, c’est une ville extrêmement généreuse, à laquelle on reste très attaché. J’ai voulu (...) montrer Lyon sans jamais cadrer Fourvière ou la place Bellecour. J’ai voulu retrouver l’atmosphère de ces appartements aux plafonds très hauts, de ces cours où l’on entend des enfants faire des gammes, de ces restaurants aux tables de marbre. " (B.Tavernier)

Hâte de revoir "Une semaine de vacances" à présent (Lyon dans les années 80) où Michel Descombes réapparaît.

l'horloger de saint-paul,philippe noiret,jean rochefort,bertrand tavernier

 

Commentaires

Lyon, Descombes, encore :
https://www.librairie-descours.com/fichier/produits/0000000001027_1.jpg

Écrit par : Joël H. | 18/04/2017

Lyon, Descombes, encore :
https://www.librairie-descours.com/fichier/produits/0000000001027_1.jpg

Écrit par : Joël H. | 18/04/2017

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