UA-136760349-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

01/07/2018

" Le voyage est court..."

34672572_10156501179998872_7462473125242863616_n.jpg

" Le voyage est court, autant le faire en première classe. "
Philippe Noiret

 

26/04/2017

Invitation citoyenne

cdf8eacc440c83d46681633ee068057746b23619.jpg

- Alors, mon pov' Lucien, on va redevenir raisonnable, hein ? On va cesser de faire sa mauvaise graine ? On veut pas que not' pays vire au chaos, on va voter, hein ? Mais oui, je sais qu'on va voter, tous ensemble... Emmanuel est un gentil garçon, il mérite qu’on vote pour lui…

 

17/04/2017

Bouts de têtes

i089907.jpg

Michel Descombes et le commissaire Guilboud dans leur titine. Ou "ce que font et deviennent nos gosses"...

Revu "L'horloger de Saint-Paul". Revu ces images d'un Lyon que je n'ai pas connu (1973). Tavernier évite les clichés de la ville brumeuse (le film a été tourné en août), redécouvre l'italianité des quartiers qui l'intéressent malgré toutes les façades encore noircies (le coup de karsher sera passé dans les années 90). Le ciel est bleu, la Saône est verte (à moins que mon écran n'ait été mal réglé ?).

" Au détour d’une rue qui ne paie pas de mine, vous tombez sur une cour aux couleurs florentines, vous découvrez des murs ocre, une tour rose, une architecture tout à fait inattendue. Lyon a mauvaise réputation, à cause de sa bourgeoisie. Mais au-delà des quartiers riches, c’est une ville extrêmement généreuse, à laquelle on reste très attaché. J’ai voulu (...) montrer Lyon sans jamais cadrer Fourvière ou la place Bellecour. J’ai voulu retrouver l’atmosphère de ces appartements aux plafonds très hauts, de ces cours où l’on entend des enfants faire des gammes, de ces restaurants aux tables de marbre. " (B.Tavernier)

Hâte de revoir "Une semaine de vacances" à présent (Lyon dans les années 80) où Michel Descombes réapparaît.

l'horloger de saint-paul,philippe noiret,jean rochefort,bertrand tavernier

 

05/01/2017

Cindy-Jennifer (#4)

désarroi.jpg

Reconnaître que l’on a une part féminine est une chose. Mais découvrir qu’elle s’appelle « Cindy-Jennifer » en est une autre…