27/03/2021
Le Clos Jouve en Italie !
11:59 Publié dans a.4) EDITEUR | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : le clos jouve, editions le clos jouve, libreria stendhal, rome, italie
08/09/2020
ACQUA IN BOCCA
Avec Judith Wiart, j'ai écrit une vingtaine de nouvelles horribles depuis le début du confinement.
En voici une (longue)...
(Vous pouvez laisser des commentaires sous cette notule)
12:02 Publié dans a.2) MES TEXTES | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : wiart, nouvelle, italie
29/05/2018
Europitalia...
09:42 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : europe, italie, juncker, la planète des singes
08/03/2017
Chez mon prochain éditeur
Il y avait plusieurs tables dressées pour deux congrès, dans la salle à manger immense, toute neuve, pompeuse, néo-Empire. Il s'est produit de la bousculade parmi nous, et je suis à peu près certain que mon ami et moi nous sommes fourvoyés dans le congrès où nous n'étions pas conviés. Par bonheur, cela n'a eu aucune conséquence fâcheuse. Tout le monde a été fort aimable à notre égard. J'avais pour voisin un ophtalmologiste viennois ; ce devait être un congrès médical. Derechef, j'ai constaté l'absence des femmes, à l'exception de serveuses en costume régional. Où s'enclôtissent les dames italiennes ?
Henri Calet, "L'Italie à la paresseuse", éditions Le Dilettante
05:32 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : le dilettante, éditions le dilettante, henri calet, calet, l'italie à la paresseuse, italie
26/03/2015
"Les noirs et les rouges"
" Udine était divisée en zones. Il y avait les zones rouges et les zones noires. Le bar d’Artemio, dans la Via Mercato Vecchio, était en zone noire. Très noire. Ils avaient pissé tout autour comme font les chiens. Si quelqu’un voulait les voir, il n’avait qu’à y passer. Mais rares étaient ceux qui prenaient ce risque. Chacun fait la loi sur son propre territoire. Et si quelqu’un d’autre s’y aventure, il doit en observer les règles. Quelles sont ces règles ? Avant tout, respect. Tu dois respecter celui qui commande. Lui lustrer les chaussures à coups de langue. Puis invisibilité. Garder les yeux au sol et marcher en rasant les murs. Résignation. Aucune pitié pour quiconque s’imagine pouvoir rester un homme. Enfin, anarchie. Ce n’est pas parce que tu respectes les règles qu’on n’ira pas te mettre une raclée. Parce que t’as une sale tête. Parce que tu ressembles à un cousin de ma tante qui me tape sur le système. Parce qu’il faut bien passer ses nerfs sur quelqu’un. S’ils venaient à les importuner jusque dans leur tanière, il faut croire que les rouges étaient devenus courageux.
Stephano jeta un œil dehors. Les rouges n’avaient pas de battes de base-ball, de drapeaux ni d’étendards. Moreno renversa une table pour en faire une barricade. Ils saisirent les couteaux à leur ceinture. Ils ordonnèrent à Artemio de s’accroupir derrière son comptoir.
« Quels que soient les dégâts, on te remboursera jusqu’à la dernière lire. »
Accompagné par deux de ses amis, Pattini entra. « Je viens en paix ! cria-t-il. Nous sommes trois. Vous êtes trois, nous aussi.
- Bien sûr que vous venez en paix : à la moindre blague, on vous charcute.
Pattini pâlit : il allait repartir, mais c’était la direction des Chinois qui l’envoyait, il ne pouvait pas se retirer si vite. Grands et gros, les jeunes gens qui l’encadraient le protégeaient et le surveillaient. Un mélange de gardes du corps et de délateurs.
Stefano leur fit les honneurs de la maison : « Qu’on n’aille pas dire que nous ne savons pas recevoir. »
Il prit une bouteille de vin rouge et remplit six verres. "
"Les rouges et les noirs" de Alberto Garlini, éd.Gallimard (trad. Vincent Raynaud)
Gilles Martin-Chauffier en dit tout ce qu'il y a à en dire. Et même Télérama essaye d'en parler.
17/01/2014
Italia # 8
11:20 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : italia, italie, laibach
29/12/2011
Où j'apprends l'italien...
... et cela fait quelques mois que cela dure. Disons qu'il m'a fallu 42 ans pour remarquer qu'à peine sorti de Lyon, des panneaux indiquaient déjà la direction de Turin.
La vraie raison ? Oui. Non.
"Entre le français et l'italien, il y a une longue et bizarre histoire. Elle ne demande qu'à s'approfondir." Sollers (in "Trésor d'amour")
Et même P.J.Harvey s'y met pour me donner un coup de main !
10:14 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : italie, italien, langue italienne, turin, sollers, lyon, p.j.harvey, trésor d'amour, ballad of the soldier's wife
19/06/2010
L'homme qui sait
Je ne me permettrai pas de commenter Brassens.
Un autre "homme qui sait", le sieur Thomazeau, qui dit ce qu'il y a à dire sur une sale histoire qui se termine... mal (oeuf corse as San-Antonio said).
Et si vous n'en pouvez vraiment plus de ce mois de juin pluvieux... cliquez ici.
L'essentiel ? Il n'est pas dit sur la plage d'accueil de ce blog. C'est sur Facebook, au travers des conneries que je poste quotidiennement, qu'il transparaît.
22:17 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : brassens, femme, thomazeau, domenech, coupe du monde, facebook, été, soleil, pluie, italie, latin lovers
14/02/2010
Des vieux parlent (et c'est intéressant)
11:09 Publié dans carottages littéraires, polar | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : ungaretti, yoda, malet, surréalisme, italie, caza, pat caza, montherlant, hemingway, bukowski