16/08/2022
John Fante, auteur babylonien
10:51 Publié dans Boussole | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : fante, babylone, bureau
07/12/2021
"au-dessus de ton bureau ?"
03:32 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fante, babylone, collage, bureau
02/01/2021
Sur les étagères...
04:39 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : toulon, fallet, fante, bouquiniste
11/07/2020
"le plus clair de mon temps..."
Charles Bukowski, préface à "Ask the dust" de John Fante, 5 juin 1979.
16:49 Publié dans carottages littéraires | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : bukowski, fante, préface
17/10/2019
"Simple et nue"
(…) j’ai toujours préféré la phrase simple et nue parce que j’ai toujours eu le sentiment que la Littérature, celle d’aujourd’hui et celle des siècles passés, était en grande partie truquée, tu vois, comme les combats de catch. Même ceux qui ont duré des siècles (avec quelques exceptions) m’ont donné l’étrange sentiment de m’être fait arnaquer. En fait, j’ai l’impression qu’il serait plus difficile de mentir avec la phrase nue, ça se lit d’ailleurs plus facilement, et ce qui est facile est bon et ce qui est difficile est emmerdant (ça m’est resté des usines et de la fréquentation des femmes).
Ainsi, Fante m’a donné la phrase sensible, Hemingway la phrase qui ne demande rien, Thurber la phrase qui se moque de ce qu’a fait l’esprit qui n’y pouvait rien faire ; Saroyan la phrase qui s’aime elle-même ; Céline la phrase qui coupe la page comme un rasoir ; Sherwood Anderson la phrase qui parle au-delà de la phrase. Je pense leur avoir à tous emprunté quelque chose et JE N'AI PAS HONTE DE L'ADMETTRE.
Charles Bukowski, « Correspondance 1958-1994 »
17:51 Publié dans carottages littéraires | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bukowski, fante, hemingway, sherwood anderson
27/02/2019
Le patron
- Pourquoi t'as appelé ton fils "Arthur" ?
- Parce que Bandini
06:36 Publié dans oreillettes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fante, john fante, france-culture
11/06/2018
LA réédition
16:23 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : john fante, fante, armaguédon strip, demande à la poussière, bandini, les compagnons de la grappe, l'orgie
08/04/2015
John Fante, né le 8 avril...
... 1909, à Denver (Colorado).
" Un jour j’ai sorti un livre et c’était ça. Je restai planté un moment, lisant et comme un homme qui a trouvé de l’or à la décharge publique. J’ai posé le livre sur la table, les phrases filaient facilement à travers les pages comme un courant. Chaque ligne avait son énergie et était suivie d’une semblable et la vraie substance de chaque donnait sa force à la page, une sensation de quelque chose sculpté dans le texte. Voilà enfin un homme qui n’avait pas peur de l’émotion. L’humour et la douleur mélangés avec une superbe simplicité. Le début du livre était un gigantesque miracle pour moi. J’avais une carte de la Bibliothèque. Je sortis le livre et l’emportai dans ma chambre. Je me couchai sur mon lit et le lus. Et je compris bien avant de le terminer qu’il y avait là un homme qui avait changé l’écriture. Le livre était ‘‘Demande à la poussière’’ et l’auteur, John Fante. Il allait toute ma vie m’influencer dans mon travail. Je terminai ‘‘Demande à la poussière’’ et cherchai d’autres Fante à la bibliothèque. J’en trouvai ‘‘le Vin de la jeunesse’’ et ‘‘Bandini’’. Ils étaient du même calibre, écrits avec les tripes et le cœur. " Charles Bukowski
00:05 Publié dans Ephéméride | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fante, john fante, bukowski, charles bukowski
22/08/2012
Pour saluer (tardivement) Michel Polac
... parce que (tout de même) le premier "Droit de réponse" maté du haut de mes quatorze ans...
... parce que le bonhomme m'a fait découvrir plus d'un auteur (Fante, Gombrowicz...) avant ma majorité...
... parce que je me souviens, quelques années plus tard, de Pierre-Jean Balzan - excellent éditeur (La Fosse aux ours) et voisin - m'expliquant comment Polac a sauvé sa toute jeune structure éditoriale, alors ignorée des libraires, grâce à l'une de ses chroniques sur France-Inter.
"Autodidacte, hypocondriaque, bonimenteur et adepte de Gombrowicz devant l'éternel, j'aurais pu être vraiment un écrivain si j'avais accepté d'être isolé du monde pour développer une pensée originale. Mais j'ai refusé de m'ennuyer, de m'oublier, j'ai cédé à l'actualité, à la facilité et, par peur de la solitude".
M.Polac
06:08 Publié dans où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : polac, droit de réponse, choron, fante, gombrowicz, lycéen, éditions la fosse aux ours, pierre-jean balzan, balzan