UA-136760349-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

01/04/2021

Mon variant anglais* vous présente...

167276608_10159320868993872_4200628540441705465_n.jpg

Cannes 82. Annonce du prochain tournage de Zulawski ("L'amour braque) avec son premier casting prévu : Adjani, Huster, Dutronc.

Rien ne se déroule jamais, jamais comme prévu.

 

* : je compte lui confier la gestion de mon blog, vu la place qu'il a pris dans mon cerveau.

 

28/03/2021

28 mars 2021

covid.png

 

27/03/2021

Le Clos Jouve en Italie !

163224086_10222057863822854_2821025816074155501_o.jpg

Livres des Editions Le Clos Jouve photographiés dans une librairie... pas dans n'importe laquelle : la Libreria Stendhal, la Librairie francaise de Rome !

 

26/03/2021

Bernard T. et les 10 km...

image.jpg

- Y'a la mer à 10 km de Lyon ? C'est plus loin ?
- On nous en a privé, ma p'tite Rose.
 

25/03/2021

Nouvelles mesures

- Tu as vu les nouvelles mesures de confinement qui touchent le Rhône ?
- J'ai besoin d'un flingue...
- Pour quoi faire ?
- Et d'un OVNI ou d'une soucoupe volante, appelle-ça comme tu veux.
- POUR QUOI FAIRE ?!

164724676_10159308382678872_8258027378936395946_n.jpg

 

24/03/2021

William Seabrook

162744424_10159296466278872_3156795057188076426_o.jpg

Quel livre ! Quelle autobiographie (écrite deux ans avant de se tuer…. Le moins que l’on puisse dire, c’est que Seabrook écrit comme un homme qui n’a plus rien à perdre) !

Extrait # 1 :

« - Will, pourquoi tu ne te reprends pas ? me dit un jour le Dr Beaufort. Tu es plus intelligent que la plupart des étudiants, et pourtant tu restes à la traîne et tu rêvasses au fond de la classe. Tu es plus intelligent que ton père, j’imagine que je n’ai pas besoin de te le dire, mais c’est un homme bon et utile, alors que toi, mon garçon, tu n’es ni bon ni utile… »

162526432_10159296466123872_2331587382373675868_o.jpg

# 2 :

« M. Hearst, pour nous les mercenaires qui ne travaillions que pour l’argent, était un employeur généreux, franc, direct et impitoyable, et ceux d’entre nous qui le connaissaient personnellement l’aimaient intimement. Mais des dizaines de blagues circulaient au bureau, dont la favorite concernait un jeune homme, un peu comme moi, qui était venu à New-York, s’était fait embaucher par Hearst, faisait du « bon boulot » et envoyait de gros chèques à sa chère vieille mère. Un jour où elle vint lui rendre visite, il implora ses amis :

- Pour l’amour de Dieu, ne dites pas à ma mère que je travaille pour Hearst… son cœur lâcherait.

- Qu’est-ce qu’elle croit que tu fais ? demanda l’un de ses amis.

- Elle croit, hoqueta le chien savant, que je suis pianiste dans un bordel. »

163986274_10159301873288872_7495281546189852380_n.jpg

# 3 :

« Le lendemain alors que nous étions au bord de la fontaine, elle me dit :

- Ecoute. Si tu ʺécrisʺ ce que tu m’as ʺracontéʺ cette nuit, tu auras un chapitre. Si tu arrives à rendre ton écriture aussi cohérente que tu as rendu cohérent ton récit oral hier soir, tu auras un livre qui tient debout.

- Tu étais là. Si mon récit était cohérent, c’est parce que j’ai voulu te faire plaisir, t’enchanter et te savoir heureuse. Être assis seul devant la Remington et essayer d’écrire, c’est comme un chien qui bat les pattes à la fenêtre en espérant qu’une vieille dame inconnue passera et lui lancera un sourire ou un os.

Deborah réfléchit quelques instants avant de poursuivre :

- Je suppose qu’il n’est pas plus naturel pour un homme normal de s’asseoir seul et d’écrire qu’il n’est naturel pour un chien normal de s’asseoir sur son derrière et d’agiter ses pattes avant dans le vide de la solitude. Mais que ce soit naturel ou non puisque c’est le boulot que tu as commencé, que tu as promis de finir et pour lequel tu es payé, je pense que tu ferais mieux de rentrer chez toi tout de suite, de t’asseoir sur tes pattes arrière, de frétiller, de poser tes papattes avant sur le clavier et de frapper les touches, les écrabouiller s’il le faut, jusqu’à ce que tu aies terminé ce chapitre. Et arrête de m’en parler ou d’en parler à d’autres jusqu’à ce que tu l’aies fait. »

19/03/2021

Une pensée pour tou(te)s les ami(e)s confiné(e)s...

161941673_10159290984458872_3200198126004816407_n.jpg

 

14/03/2021

Les placements de produits, quelle honte

On sait comment et pourquoi Ferrari, Cartier et autre Hugo Boss apparaissent dans tel ou tel blockbuster.

On sait moins que le phénomène touche la littérature la plus intègre.

Ainsi, dans le dernier ouvrage de Jérôme Leroy, « Vivonne », où il est question d’un écrivain nommé Adrien Vivonne justement, voici ce qu’on peut lire en dernière page, dans la bibliographie imaginaire de ce personnage !

159967777_10159274869833872_4784159189628546774_o.jpg

15631D8D-8094-4043-A6F6-025860DA0CB0-1500x2000.jpeg

On ne visualise que trop bien la mallette pleine de billets de Monopoly filée par Le Pédalo Ivre à l’auteur du « Bloc » et de « Un peu tard dans la saison » ».

Une honte, vous disais-je…

 

10/03/2021

Oyez, les ami(e)s...

158915920_10159267972923872_7810096975539521897_n.jpg

Je fais une recherche sur les pires films mettant en scène des écrivains.

J’ai déjà deux pistes très sérieuses :

« Le jour et la nuit » du merveilleux B-H-L., dans lequel Alain Delon fait son Romain Gary bigger than life, s’envole dès potron-minet en montgolfière pour mater à la longue-vue Arielle Dombasle en train de se dessaper.

« By the sea » (« Vue sur la mer »), dans lequel le sympathique Brad Pitt est un écrivain en mal d’inspiration (il fait rien qu'à faire des boulettes de papier) au point de se rendre dans le sud de la France avec son épouse Angelina Jolie (qui réalise également le film… quelle femme !)

Voilà. Avez-vous d’autres références de ce calibre ?

158997853_10159267972803872_5646157152929930205_o.jpg