17/05/2021
Sunshine
04:43 Publié dans carottages littéraires | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jaccottet, soleil, sunshine, danny boyle
16/05/2021
Remise à niveau (english) # 143
04:47 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : english, comics
15/05/2021
Né un 15 mai
- Jacques, qu'est-ce qu'on va devenir, mais qu'est-ce qu'on va devenir ? Ce n'est pas... enfin, ce n'est pas humain, le bonheur... On se sent menacés...
- Ca s'arrangera peut-être...
- Comment veux-tu que le bonheur, ça s'arrange ?
Ta voix se casse.
- J'ai peur, Jacques. Je suis tellement heureuse avec toi que... je ne sais pas... je me sens tout le temps menacée...
- Ecoute, la vie ne va pas se fâcher parce que tu es heureuse. on peut dire tout ce qu'on veut de la vie mais une chose est certaine : elle s'en fout. Elle n'a jamais su distinguer le bonheur du malheur. Elle ne regarde pas à ses pieds.
08:02 Publié dans Ephéméride, où je lis | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : gary, romain gary, au-delà de cette limite votre ticket n'est plus valable
14/05/2021
M., droit d'inventaire
10:53 Publié dans où je trouve à rire, politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mitterrand
13/05/2021
Dirk Raspe # 2
La vue de ces dessins provoqua un malaise. Louise aimait la poésie, les arts ; mais elle était de ces bonnes gens qui ne peuvent admettre un ouvrage que déjà assimilé par d’autres. Il faut que les autres le leur donnent, l’ayant déjà accepté. Pour eux, un artiste, c’est quelqu’un de déjà fait, qui leur vient d’un monde inconnu et révéré, ce ne peut être quelqu’un d’entre eux, quelqu’un qui naît. Ces dessins étaient très faibles, remplis d’une timidité pitoyable. Ils dirent que c’était faible. C’est cela qui aurait dû leur plaire, les rassurer. Après tout, il y avait peut-être dans ces dessins une pointe de vie, quelque chose d’insolite, d’inquiétant. Par exemple, cette prédilection pour les pauvres, cette obsession des pauvres. Etaient-ce les pauvres de Robert ? Celui-ci ne les reconnaissait pas. Il ne pouvait pas plus reconnaître la pauvreté surgissant dans l’art, que Louise ne pouvait reconnaître la vie surgissant dans l’art.
Ils avaient le droit, le devoir de les condamner. Il y a quelque chose de fort, de nécessaire, de sacré, dans cette méfiance des hommes devant l’apparition de l’art. Cette apparition n’est bien souvent qu’une vaine allusion, une prétention infirme. Et l’art, c’est une menace autant qu’un danger pour la vie. Ils étaient la vie. Devant ce danger, eux qui s’étaient tant démis de la vie, redevenaient la vie.
18:49 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : drieu, drieu la rochelle, mémoires de dirk raspe, dirk raspe
11/05/2021
Le Cabaret Poétique a repris... dans une cave.
Mais pas DANS N'IMPORTE QUELLE CAVE.
08:58 Publié dans a.5) ANIMATEUR DU CABARET POETIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cabaret poétique, unipop, renard, damon, wiart, campo
09/05/2021
Peer Gynt
07:56 Publié dans C.A.P de lettres | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : peer gynt, ibsen, werenskiold, troll
08/05/2021
Parfois, pour descendre du (maudit) manège...
18:55 Publié dans où mon taux d'adrénaline augmente | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : manège, secours, fête foraine
07/05/2021
Le Cabaret de ce dimanche...
14:29 Publié dans a.5) ANIMATEUR DU CABARET POETIQUE | Lien permanent | Commentaires (0)