06/10/2017
Cabaret Poétique du dimanche 8 octobre...
... à 17 h, au Périscope. Entrée libre.
Générique officiel :
Laurent Bouisset
Emanuel Campo
Perrin Langda
Nicolas Vargas
18:40 Publié dans a.5) ANIMATEUR DU CABARET POETIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cabaret poétique, laurent bouisset, emanuel campo, perrin langda, nicolas vargas, le périscope
01/10/2017
Sinon...
- Autrement, tu fais quoi, cet aprèm' ? Tu vas à la brocante de vinyles ?
- Oui. Enfin, non. Si je peux. J'ai une priorité.
- Du genre ?
- Du genre "aider un mineur pour transporter des armes".
- Ah, oui ? Ah, O.K.
08:51 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0)
30/09/2017
Remise à niveau (english) #75
14:00 | Lien permanent | Commentaires (0)
29/09/2017
MAUDIT MANèGE
- Toi, au moins, tu es observateur... ça ne m'étonne pas que t'écrives des romans... (...) Mais tu as l'air d'oublier une chose. Ma femme s'est BARREE avec un marchand de voitures. Ma fille se BARRE avec un marchand de voitures. Tu ne trouves pas qu'ils en font un peu trop, ces gars-là ?...
Je reconnaissais que c'était dur à avaler. Je ne savais pas s'il méritait un tel coup du sort, mais je pensais pour ma part qu'il valait toute la profession à lui tout seul et même beaucoup plus que ça. Henri était un fabuleux écrivain, sûrement un des meilleurs de tous, mais il faut se lever de bonne heure aujourd'hui pour se vendre un bouquin de poèmes, la plupart des gens ne savent pas que ça existe encore. (...) Je n'étais rien à côté de lui. Heureusement, il y avait une justice et mes bouquins rapportaient assez de fric pour nous deux.
00:01 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : maudit manège, djian, philippe djian
28/09/2017
Y'a des jours...
... comme ça.
01:33 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tenue de soirée
24/09/2017
Remise à niveau (english) #74
18:58 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0)
23/09/2017
Guttierez (bis)
« J’étais en train d’abandonner tout ça, d’envoyer au diable la prose élégante et mesurée, celle qui évite tout ce qui pourrait ressembler à une atteinte à la morale et aux bonnes manières. Le respect, je n’en pouvais plus. (…)
Et je me sentais bien dans cet immeuble puant, avec ces gens qui n’étaient aucunement cultivés, aucunement intelligents, qui ne connaissaient rien de rien et qui résolvaient tout – ou compliquaient tout – avec des cris, des gros mots, de la brutalité, des coups. C’était comme ça, point final. »
Pedro Juan Gutierrez
ICI également
22:25 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gutierrez, pedro juan gutierrez
22/09/2017
Et si...
10:50 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bibi fricotin, district 9, neill blomkamp
21/09/2017
Le dimanche 8 octobre, à 17h, au Périscope, entrée libre
09:32 Publié dans a.5) ANIMATEUR DU CABARET POETIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cabaret poétique