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18/01/2018

Et il a quelle gueule, ton égo ?

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- Je veux dire... Dans ta tour de contrôle, ça se passe comment ?

 

13/01/2018

Dans "Le Matricule des Anges", et ailleurs...

Dans "Le Matricule des Anges" de janvier, un long papier sur "ARMAGUEDON STRIP".
Extrait :
" (...)
Hugo Marsan disait qu'« écrire, c'est échapper a ceux qui veulent vous emprisonner dans leur univers, a commencer par la mère ». Sans tomber dans les pièges du poncif, Frederick Houdaer questionne cet enfermement en traçant à l'acide ce portrait contemporain du jeune homme en artiste, désarçonné par la violence de l’amour-haine qu’il porte à sa mère (...) Charpenté par un incessant recours aux images, intimiste comme une planche de Tripp, aussi rock'n'roll que les premiers comics de Crumb, ce roman visuel vient enrichir la déjà foisonnante bibliographie (recueils de poèmes et néo-polars déjantés) d'un auteur dont on attend de pied ferme le prochain caprice. "
Camille Decisier

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Et même Jacques Josse (voir lien sur la gauche de ce blog) s'y met, et c'est dans Remue.net siouplaît...

Extrait :

" Cette lente descente – et ses soubresauts irrationnels – que Frédérick Houdaer suit pas à pas. Il le fait avec méthode, en choisissant le détail qui fait mouche et en usant d’une narration très vive, très maîtrisée, avec humour et esprit caustique, en multipliant les portraits au vitriol et les situations cocasses (et parfois violentes) tout au long de ce roman diablement efficace. "

 

11/01/2018

Elle est forte...

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... elle est très forte, elle s'immisce partout...

Pas de quoi empêcher Grégoire Damon* d'écrire un article de fond sur "Armaguédon Strip".

Ni Judith Wiart de trouver la véritable B.O. de mon roman.

 

* : son roman "Fast-food" sort chez Buchet-Chastel" en avril ! 

10/01/2018

Parution !

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... aux Editions Le Dilettante

" Un excellent roman, déjanté juste ce qu'il faut, écrit avec panache et qui se lit le sourire aux lèvres. "

Michel Embareck

 

« Viens dans mon comic strip

Qu’est-ce qui façonne notre existence ? Qu’est-ce qui la ronge ? Houdaer aborde le sujet à travers le prisme d’une secte millénariste. Et se révèle bien informé à ce propos. (…) Le nouveau roman de I'écrivain lyonnais, Armaguédon Strip, nous plonge dans la vie du fils de Veronique Cordier membre convertie des Témoins de Yahweh. (...) C'est avec un ton cru teinté d'humour que Frederick Houdaer creuse son sujet. (...) Mais au delà de ça, il dit comment I'intégrisme de Véronique a influencé voire contaminé la vie de ses enfants.(...)

Une chute clairement inattendue finit de rendre cette œuvre aussi percutante que troublante. Une chose est sûre: on ne pourrait pas faire de l’histoire d ÉphèZ un comic strip. Le livre Armaguédon strip porte très bien son nom. Après son épatant polar Ils veillent publié au début des années 2000, ce poète intranquille et drolatique qu'est Frederick Houdaer prouve une nouvelle fois que le roman aussi lui va bien. »

Pauline Lambert, "Exit Mag", janvier 2018

 

Le point de vue de François Angelier (animateur-producteur de l’émission « Mauvais genres » sur France-Culture » depuis 20 ans) sur le bouquin :

«  Bon sang ne saurait mentir. Il y a pourtant des cas, extrêmes, où votre sang vous trahit. C’est ce que manque d’expérimenter Véronique Cordier, mère de famille divorcée et membre convertie des Témoins de Yahweh et, à ce titre, infatigable démarcheuse évangélique et démonstratrice biblique. Salement percutée à un carrefour, gisant sur le billard, sa vie ne tient plus qu’à un fil qui prend hélas l’aspect maléfique d’une perfusion. « Le sang de ton prochain, jamais ne siphonnera », proclament les Témoins, nul ne va outre. Une limite que finissent par mordre Éphèz et Isa, ses propres rejetons, donnant feu vert à une médecine qui, au final, ne franchira pas la ligne rouge. Un sang, d’ailleurs, dont ils n’ont guère cure : l’un dessinateur de BD, pur traceur et encreur strict, l’autre étant militante végane. L’événement ayant secoué la vie du trio, et après la visite à l’appartement maternel submergé par la propagande religieuse, les enfants se mettent à réinterroger la personnalité de leur mère. C’est là qu’intervient le talent redoutable de Frédérick Houdaer, nous montrant comment l’intégrisme biblique de la mère, sa folie compacte rayonnent, pèsent et contaminent leurs vies. Une angoisse sourde, un malaise latent qui, masqués par la fausse décontraction du récit, amènent à un dénouement inattendu. Qu’il soit bon ou mauvais, votre sang ne vous lâche pas, c’est sans doute la morale de cette singulière histoire. »

 

 

« ARMAGUÉDON STRIP » de Frédérick Houdaer

Editions LE DILETTANTE, 224 pages 

 

09/01/2018

Jour J - 1 (bis)

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Petit échange père-fille :
- Il sort quand ton bouquin, papa ?
- Demain, mercredi.
- Note, ça tombe bien…
- Pourquoi ?...
- C’EST LE JOUR DES SOLDES !

 

Jour J - 1

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On en cause .

 

TOUTE UNE VIE BIEN DISPARUE

 

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Quand Pierre Autin-Grenier se lance dans une enquête autour d’Élodie Cordou, une femme censément disparue, on n’attend pas de lui un strict procès-verbal comme celui établi par Breton autour de sa Nadja. Et de fait, son récit progresse par longues phrases qui toutes s’enroulent autour du même cœur. « Élodie Cordou », plus qu’un nom, presque un mantra poétique.

Petit florilège pour mieux situer cette Élodie Cordou : elle a « toujours eu pour premier soucis de ne rien laisser au hasard » (page 12), « le don d’être toujours là  où on ne l’attend pas » (page 22), « simplement faussé compagnie à tous les faiseurs » (page 45).

Sans compter tout ce qu’elle n’est pas. Elle « n’est pas un mouton résigné que l’on mène par le licou », « n’est pas folle, comme ces menteurs-nés dont on ne partage pas du tout les fantasmes »…

Le portrait en creux qu’Autin-Grenier nous offre est celui d’une personne en danger. Si Élodie Cordou se garde de  « tous ces gens à digestion lente mais impeccablement réglée dont il ne faut contrarier en rien l’étriquée cervelle », si elle maîtrise l’art de « leur envoyer quelques vérités utiles à la figure, sans méchanceté  aucune mais quand même », elle reste en fâcheuse posture… au point de disparaître ?

Élodie Cordou « a mal tourné », antienne reprise par sa famille « depuis des siècles ». Ses proches veulent plus que tout « assurer la suprématie des coffres-forts sur les versatiles rêveries de son tempérament romanesque et frondeur à la fois », fut-ce au prix de calomnies… voire pire. Folle, Élodie Cordou ? « Pas assez pour s’exposer stupidement à la gourmandise de petits truands trop bien intentionnés ». Folle peut-être, mais « à sa façon ».

Son regret ? « Que ne suis-je né de l’union d’un jardinier inculte  mais heureusement doué et d’une marchande des quatre-saisons ».

Les peintures de Ronan Barrot dialoguent avec les phrases d’Autin-Grenier pour donner naissance à ce qu’il faut bien appeler un « déjà classique ».

F.Houdaer

 

« Élodie Cordou, la disparition »

de Pierre Autin-Grenier

avec des peintures de Ronan Barrot

Les éditions du Chemin de Fer

70 p., 14 €

ISBN 978 2 916130 27 9 

08/01/2018

Jour J - 2

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Vous pouvez déjà trouver un bel article sur "Armaguédon Strip" dans le numéro de janvier du magazine "Exit".

 

07/01/2018

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