27/03/2018
Programme d'avril
Pour moi, en avril, ce sera une clinique au Tonkin, une séance de signature dans une librairie X-Roussienne (le 6 avril), quelques jours à Paris, Venise, et ça...
Les Djian, les Pennac, ils n'ont pas peur de sortir leur nouveau roman en avril, avec ce qu'ils vont avoir en face d'eux ?
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26/03/2018
Remise à niveau (english)# 87
08:08 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bogart
23/03/2018
Daniel Biga (né le 23 mars 1940)
TU ES
un objet utile moins que
l’âne évidemment pensait ton père
Toute la ville t’a aimée
tu en as rendu quelques-uns contents
et comme on dit
il n’y a que les trains qui ne te soient pas passés dessus
Et moi à ton tour je me rendis heureux
cependant que presque timidement
tu te vendais pour un amour parfois exceptionnel
notre petite putain bougnoule
dans un bordel de Béchar
où es-tu maintenant
et que t’a fait le Monde ?
Daniel Biga, « Oiseaux mohicans, 1969"
08:17 Publié dans C’est quoi, la poésie ? C’est ÇA, Ducon !, Ephéméride | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : biga, daniel biga, oiseaux mohicans, 1969
21/03/2018
Printemps des... de quoi ?
- Et toi, Fred, tu fais quoi pour ce Printemps des poètes ? Quelle est ta position face aux polémiques, blabla...
- T’occupe, tu peux pas comprendre…
- Non, mais... Sérieusement. Tu ne déprimes pas trop ?
- Pas le temps. J'ai le prochain titre du Pédalo Ivre à aller chercher chez l'imprimeur.
- C'est quoi.
- Une tuerie. Ca s'appelle "SOLEIL PLOUC", c'est signé Laurent Bouisset.
- Et autrement ?
- Autrement, je me renseigne. Ici, par exemple, je lis ce que Jean-Baptiste Happe nous raconte sur Sammy Sapin (tous deux seront également publiés cette année au Pédalo). Voilà... Et toi, tu fais quoi ?
14:46 Publié dans a.4) EDITEUR | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : printemps des poètes, laurent bouisset, jean-baptiste happe, sammy sapin, pédalo ivre, éditions le pédalo ivre, kermit
18/03/2018
Contre
- Oui ?
- T’as signé ma pétition ?
- Quelle pétition ?
- La pétition contre… enfin, pour le décrochage du tableau sexiste, là, l’œuvre d’art pas bien....
- Quelle pétition ?
- La pétition contre la publication du livre qui, vraiment, fait trop…
- Quelle pétition ?
- La pétition pour annuler le concert de Machin. Et en même temps dé-récompenser Bidule qui mérite pas ses prix quand on voit…
- Quelle pétition ?
- Alors, c’est « non », c’est bien ça ?
- Je sais pas... Là, je danse sur du Jean-Louis Schultheis, je peux continuer ? JE PEUX ?
08:03 Publié dans a.2) MES TEXTES, où je trouve à rire, où mon taux d'adrénaline augmente | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : scarface, pétition, al pacino, michelle pfeiffer
14/03/2018
Ides de mars
22:16 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ides de mars, mars, jules césar, brando, marlon brando
13/03/2018
Capitale de l' Hexagonie, 2018
18:31 Publié dans mes clics sans mes claques | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paris, presse, hexagonie
12/03/2018
Sur le tranchant
09:29 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : samouraï, kurosawa, mifune, france-culture
08/03/2018
Article de LYON-CAPITALE sur « ARMAGUEDON STRIP »
« LA FIN DU MONDE EN STRIP.
Il ne sera pas à la Fête du Livre de Bron, du moins pas en tant qu’auteur invité. Pourtant, il est lyonnais et vient de publier au Dilettante un excellent roman. Sans doute l’un des plus drôles de ceux récemment parus et sans doute le plus abouti des douze qu’il a signés.
L’histoire pourrait paraître loufoque, elle n’en sonne pas moins incroyablement juste. Frédérick Houdaer met en scène un jeune dessinateur de B.D. qui pourrait lui ressembler (s’il avait vingt ans de moins et savait dessiner). Lequel affronte dès les premières pages un dilemme : il doit décider si sa mère – Témoin de Yaweh – secte inoffensive au demeurant si ce n’est qu’elle croit la fin du monde toute proche et interdit les échanges sanguins -, peut recevoir une transfusion après l’accident qu’elle vient de subir. Sa sœur, militante écologiste et extrémiste, n’est pas d’une aide très précieuse. Il s’en remet donc au destin. Une attitude qui semble la sienne de façon générale. Il a ainsi accepté de se voir transformé bientôt en pater familias malgré son peu d’appétence pour l’éducation d’une progéniture, fût-elle limitée à un exemplaire. Ce n’est pas la seule épreuve qu’il devra affronter dans les 224 pages que compte le roman. Citons parmi les plus ardus des tracas qui se présentent à lui : un salon de la BD en état d’ivresse, une bagarre pornographique avec une amie de sa mère qui, elle, a quitté Yahweh (enfin, pas vraiment, c’est compliqué), l’ablation d’un kyste au poignet, ses pulsions adultérines qui le poussent irrésistiblement vers une amie dessinatrice ou encore l’achèvement de son grand œuvre, le recueil tant attendu par son éditeur.
On rit beaucoup et l’on ne peut s’empêcher d’aimer cet antihéros aussi attachant qu’irritant. Qui a de surcroît l’art de dénoncer, en passant, les pires travers de la France d’aujourd’hui. »
C.M.
05:22 Publié dans a.1) MES LIVRES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : armaguédon strip, fête du livre de bron, lyon-capitale, lyon capitale