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16/01/2025

Remise à niveau (english) #188

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15/01/2025

"Un effondrement parfait"

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De quarante-cinq à cinquante-cinq ans : envie de plus en plus forte de ne pas rentrer, de ne plus rentrer. Le monde en vaut de moins en moins la peine : féroce, compétitif à outrance, guerre de tous contre tous, hystérie, surveillance généralisée, violence sociale, puritanisme pornographique des avant-gardes et retour du vieux fond pétainiste. (…)
De cinquante-cinq à nos jours : on retrouve peu à peu le rythme, le vrai goût du temps. On sait qu’il en reste moins, alors on en gagne. On ne s’embête plus avec les calendriers officiels, les demandes de tous ordres, les névroses. On cherche les moyens de ne plus rentrer du tout.
De laisser tomber.
D’oublier jusqu’au mot rentrée ou de le garder comme motif poétique de la période six-dix-sept.
L’éclipse est à portée de la main. 

 

13/01/2025

Plus qu'à la page

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10/01/2025

Dans la même après-midi...

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... passage à la librairie + boîte à livres + bibliothèque municipale = une pêche excellente !

J'en profite pour vous souhaiter une bonne année !

 

31/12/2024

Bon réveillon

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29/12/2024

Madame X doutant de la qualité du travail de son cher et tendre.

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Le véritable sujet de Shining, c'est cette absence de communication au sein du couple. J'en suis sûr et certain. Ca aurait pu tourner autrement. Ils auraient pu finir heureux au milieu des fantômes de l'Overlook. A faire des batailles de boules de neige devant l'hôtel.

 

21/12/2024

21 décembre, journée la plus courte

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Maiiiiis...

 

18/12/2024

"MARCELLO MIO" (Misère...)

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Un film français exemplaire… c’est-à-dire qui repose sur UNE idée que le metteur en scène étire comme un vieux chewing-gum, peu soucieux de rythmer sa comédie. Cela aurait passé en moyen métrage (et encore…).
Quitte à faire bosser les « enfants de… » (pas ça qui manque dans le cinoche hexagonal), l’idée de transformer Chiara Mastroianni en son père n’était pas mauvaise. Les seules bonnes scènes du film d’ailleurs sont celles la liant à un Fabrice Luchini frustré de ne pas avoir travaillé avec LE Marcello et ravi de donner le change à sa fille (il le crie – avec une sincérité émouvante – à chaque apparition). Pour le reste : la Deneuve joue comme un pied bot, Melvil Poupaud peine à convaincre… dans son propre rôle (!), etc. Biolay, faignasse comme d’hab’, sonne très juste au milieu de ce film qui mérite la palme de la complaisance. On regrette le sous-emploi de Nicole Garcia.
Là-dessus, tombent deux-trois pastilles musicales d’Alex Beaupain (pas de quoi qualifier le film de « musical » comme le prétend le dossier de presse) sur les épaules des acteurs qui semblent les premiers surpris.
Christophe Honoré est plus intéressé à rajouter une moustache à son actrice principale ou à filmer un éphèbe en slip qu’à infuser dans son film le quart de l’énergie qu’un Rappenau mettait dans n’importe laquelle de ses comédies. Et du côté de l’invention visuelle, la bascule de son film vers Rome ne le transforme pas en Sorrentino (alors que l’affiche de Marcello Mio copie-colle sans gêne celle de La grande bellezza).
Rajoutez encore une couche de « pop sympa » histoire de lier quelques plans (à ce stade de paresse…), et vous aurez un long métrage tel qu’en méritent les électeurs de Macron : 120 minutes (oui, 120 !) qui puent la mort. Ceux qui rêvent pour leurs vieux jours de suicide assisté avec Etienne Daho en fond musical seront aux anges.
 

17/12/2024

"Demain les chiens"

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La question primordiale, bien sûr, consiste à demander si l’homme a existé. Pour l’heure, faute de preuve concluante, on s’accorde à répondre par la négative ; l’homme, tel que dépeint dans la légende, est une invention de la tradition populaire. 
 
Demain les chiens de Clifford D.Simak (nouvelle traduction de Pierre-Paul Durastanti)