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19/12/2018

"Cinéma Inferno", nouvelle critique...

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... signée Jacques Morin dans le numéro de décembre de la revue "Décharge" :

" La poésie appliquée au cinéma. Le cinéma détourné par la poésie. Dès le titre. Les deux larrons s'accordent comme Taviani ou Cohen. On ne les distingue pas bien d'ailleurs l'un de l'autre. L'un plus lyonnais peut-être... Mais sinon, c'est le même esprit d'humour et de dérision qui l'emporte. Chacun remonte sa filmographie personnelle depuis l'enfance. Je suis toujours frappé dans la découpe des vers du prosaïsme bon teint qui émane, tout un aspect narratif qui entre dans la page et qui fait mouche chaque fois. Le côté image inventive laisse la place à la perception pointue de la réalité, dans un réalisme réactivé et critique qui débouche souvent sur une clôture comique. "

 

Commander "Cinéma Inferno" ? Ici

 

06/11/2018

Réouverture du Cabaret Poétique...

... le dimanche 11 novembre !

C'est au Périscope, à 17h, et c'est gratuit, tout comme les années précédentes.

Faites tourner l'info !

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Et qui, sur la scène, pour cette reprise ?

Fanny Riou

Fabien Drouet

Jean Marc Flahaut & Frédérick Houdaer (à la musique Maxime Dujardin) pour leur "CINEMA INFERNO"

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14/10/2018

Où...

 ... François-Xavier Farine cause de notre "CINEMA INFERNO".

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03/09/2018

Pour les lillois !

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" Cinéma Inferno "

 

14/08/2018

Georges Cathalo (revue Texture)...

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... évoque "CINéMA INFERNO" (article complet) :

À travers le cinéma, un hommage permanent rendu à l’imagination et au rêve : « je me fais des films sur les films / que je n’ai pas vus », et finalement comme tout un chacun, « j’ai rêvé / que le cinéma redevenait muet / tout en restant en couleurs ». On sourira en lisant l’avertissement initial ou la note finale… Quant au poète, il « n’a pas de doublure / et accomplit lui-même / toutes les cascades que requiert son histoire ». Les titres défilent, les films se rembobinent. Inutile de se lancer dans une enquête policière pour savoir quel est l’auteur de chacun de ces poèmes car les deux auteurs-complices ont effacé toutes les traces. "

(Photo : prise par mes soins devant un mur bruxellois le 8 août 2018)

 

 

04/08/2018

Où François Bon découvre "CINEMA INFERNO"...

"CINEMA INFERNO" (mettez le curseur de la vidéo à 16'30)

 

14/07/2018

"CINéMA INFERNO" (re-suite)

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Toujours au sujet du même fichu recueil...

François-Xavier Farine : "Culotté et bien envoyé".

Dans "Le Journal de Jane" : "A vrai dire, je ne vois pas de meilleure entrée pour aborder la question : à quoi sert la poésie contemporaine lorsqu’on se réveille en plein milieu du cauchemar libéral ? "

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05/07/2018

"CINéMA INFERNO" (suite)

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Une première critique ICI.

Toujours commandable .

 

29/06/2018

"CINEMA INFERNO"

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Il est paru. Il n'y en aura pas pour tout le monde. Un "collector".

Commandable ICI.

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Les avis de...

François Bon (mettre le curseur de la vidéo à 16'30)

François-Xavier Farine : "Culotté et bien envoyé".

"Le journal de Jane" : "A vrai dire, je ne vois pas de meilleure entrée pour aborder la question : à quoi sert la poésie contemporaine lorsqu’on se réveille en plein milieu du cauchemar libéral ? "

Georges Cathalo (revue "Texture") :

" À travers le cinéma, un hommage permanent rendu à l’imagination et au rêve : « je me fais des films sur les films / que je n’ai pas vus », et finalement comme tout un chacun, « j’ai rêvé / que le cinéma redevenait muet / tout en restant en couleurs ». On sourira en lisant l’avertissement initial ou la note finale… Quant au poète, il « n’a pas de doublure / et accomplit lui-même / toutes les cascades que requiert son histoire ». Les titres défilent, les films se rembobinent. Inutile de se lancer dans une enquête policière pour savoir quel est l’auteur de chacun de ces poèmes car les deux auteurs-complices ont effacé toutes les traces. "