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27/04/2017

Si j'en crois les ondes du Service Public...

... j'habite un "FIEF MACRONISTE" !

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10/10/2016

Au pied...

... de la médiathèque de Vaise (Lyon 9ème)... des empreintes de mains.

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03/04/2014

Poème de saison

QUAIS DU POLAR

 

ils ont mis le pognon

ils ont mis les auteurs

la signalétique

les stands

les piles de flyers

les piles de bouquins

les caisses des libraires

les agents de sécurité

ils ont mis

tous les moyens

pour faire un gros festival du genre

 

 

ils ont installé l’ensemble

au Palais de la Bourse

autrement appelé Palais du Commerce

un symbole tellement gros

que personne n’a tiqué

 

 

en ce temps de crise

une armée de bénévoles

s’échine sur le pont

comme quoi

le polar peut faire des miracles

les organisateurs de ce Barnum

sont de sacrés professionnels

 

F.Houdaer

27/08/2012

Lyon, cet été...

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Photo d'Hélène Massip

Photo de Mimmo Pucciarelli

Mon quartier de la Guillotière en été, vu par mes yeux.

03/03/2012

C'était le douzième Cabaret Poétique...

Et comme toujours (ou presque), les photos sont signées Josette Vial. Merci à Hervé Bougel pour avoir annoncé ce rendez-vous sur les ondes de France-Inter l'après-midi même.

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23/01/2012

LA FRANCE N'EXISTE PAS (extrait d'un looooong chantier poétique en cours)

Jeanne d'Arc est tombée dans le trou

au milieu de la table

elle y a disparu

emportant avec elle nappe et couverts

avant que l'oncle n'ait eu le temps de servir l'apéro

à moi de jouer maintenant

comment mettre tout cela

à ma main ?

je cherche avec qui commencer

avec quelle couronne

tombée

ramassée

volée

faire sonner le début du premier épisode

je crains les génériques trop longs

pleins de prénoms et de chiffres

je réfléchis à la première bouse de cheval

au premier crottin

dans lequel flanquer mon gaulois d’ancêtre

je subodore le système D requis

pour sauver sa peau au Moyen-Âge

le jeu des chaises musicales

reste de toutes les époques

pour ceux qui ont la chance d’avoir des chaises chez eux

et tous ces artistes officiels

qui n’ont pas toujours manqué de génie

pour servir leurs maîtres

ne m’inspirent qu’une moue polie

je sais bien que

pour finir grand jardinier de Versailles

il vaut mieux naître déjà fils de grand jardinier

j’ai toujours su que les jardiniers étaient des putes

et des fils à papa

au point où j’en suis

de ma relecture

je file tout droit aux incontournables

Napoléon pour commencer

Napoléon qui s’auto-proclame empereur

qui s’auto-sacre

le saint patron de tous les écrivains qui s’éditent à compte d’auteur

et pourquoi pas ?

j’oublie ceux qui l’ont maudit dans toutes les langues

j’oublie les produits dérivés

 

(...)

 

et à Lyon

où je vis aime et écris ?

à Lyon

les Canuts se sont battus

les Canuts ont perdu

et beaucoup de choses qui ont été écrites à leur sujet

relèvent de la très mauvaise littérature

 

(...)

 

dans les années 70

du vingtième siècle

un président de la république française

pond une anthologie de la poésie française

c’est dire s’il est cocu

et malade

 

(...)

 

et il y a tout ce qu’on n’apprend ni en cours d’histoire

ni en cours de français

Casanova

devenu Maçon à Lyon

qui écrit ses Mémoires dans la langue de Poquelin junior

(...)

 

F.Houdaer

07/01/2012

REEDITION-RESURRECTION !

Mon "ANKOU, LEVE-TOI !" reparaît... et c'est aux éditions "Terre de Brume" où Renaud Marhic prolonge l'aventure de la collection "Polars & Grimoires" !

Ankou lève-toi !, Houdaer

 

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" En Bretagne, la "bataille des ports" est engagée. Le VIIIe Corps d’armée américain marche sur Brest, détruite par quatre années de bombardements. Tout le pays de Léon est sillonné par les GI. Sur les routes défoncées, les accidents se multiplient… Une nuit, une jeep US percute la charrette d’un paysan. Drôle de paysan… Voulant secourir leur victime, les soldats découvrent un être squelettique portant chapeau, agrippé à sa faux… Confiée à la hiérarchie militaire, la « dépouille » est mise à l’isolement, sous bonne garde. Deux cameramen sont bientôt détachés à son chevet… 2007. Éric Jaillet, journaliste lyonnais, essaye de retrouver d’étranges images : celles de l’Ankou – « l’ouvrier de la mort » – filmé par les Américains ! L’enquête commence en Bretagne et se poursuit aux États-Unis. Mais la traversée de l’Atlantique n’est rien à côté de celle qui attend Jaillet… Du personnage le plus emblématique du légendaire breton aux Sorcières de Salem américaines, c’est à un grand télescopage des mythes que nous invite ce malicieux polar féerique. "

 

Ce qu'on disait de ce livre lors de sa première édition :

" Ce conte (car au final, c’est une forme de conte que ne dénierait pas un Tim Burton avec ses Noces funèbres) tient tellement la route et sa forme narrative de thriller vous entraîne malgré vous sur des voies terreuses, de...s ornières quasi celtiques, à la poursuite d’une vérité qui ne fait que s’enfuir […] La trame est émaillée de références authentiques à la Seconde Guerre mondiale qui renforcent l’impression que tout y est véridique. Second roman de cette collection qui vous laisse comme un goût d’infini (après Renaud Marhic), l’impression subtile d’avoir pu effleurer quelque chose mais de ne pas encore savoir vraiment ni ce que c’est, ni si vous avez envie de savoir vraiment ce que c’est… "
Véronique De Laet – Phénix Mag

« ANKOU, ES-TU LÀ ?

Quel curieux roman que ce livre de Frédérick Houdaer ? « Ankou, lève-toi » est une variation fantastico-policière sur le thème de l’Ankou, personnage mythique des contes bretons. L’histoire de cette quête oscille entre deux époques, la nôtre et la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Le roman débute dans un bistrot lyonnais, où un dialogue se noue entre une vieille alcoolique et un journaliste. « Où il est question d’une mystérieuse collision entre un chariot et une jeep », « Où il est question de Roswell et des sorcières de Salem »… L’écrivain s’amuse à tisser une trame effilochée de toutes parts – un bel imbroglio-, émaillant son écriture très imagée de clins d’œil en tous genres. Ce style fait naître une ambiance brumeuse propice à cette histoire de faucheuse, de brouillards bretons et de désert blanc, avec des phrases qui oscillent entre une poésie légère et des descriptions dramatiques, une pointe d’humour en sus. Bref, cet « Ankou, lève-toi » est fort réjouissant, mi-roman noir mi récit fantastique, et, toutes proportions gardées, fait penser à certaines nouvelles du grand Edgar Allan Poe.»

Gallia Valette-Pilenko

« LIVRE & LIRE », juin 2007

« (…) Frédérick Houdaer est un petit lutin facétieux qui a concocté une intrigue au ficelage éhontément provocateur. Le voyage en montgolfière rappelle évidemment Jules Verne. Les cinq semaines ne dépassent pas cinq heures. Le crash est retentissant et aussitôt on est plongé sous terre dans un voyage vers son centre, au milieu d’une gigantesque coulée de lave pour un ultime affrontement avec « l’ouvrier de la mort »

Julien Vedrenne sur "lelitteraire.com"

"Ombre familière, symbole de la fatalité plutôt que de la mort pure et simple, “l’homme à la faux” porte un nom en Bretagne : l’Ankou. Sinistre, mais pas si terrifiant, sa légende n’admet que des aventures d’exception. C’est dans cet esprit que l’auteur relate le voyage en Amérique de l’Ankou. Sur ses traces, le journaliste navigue entre mystères, dangers et hypothèses véridiques. L’imagination poétique de Frédérick Houdaer mêle avec astuce “le cavalier sans tête de Sleepy Hollow”, les sorcières de Salem, les secrets de l’armée états-unienne, et les mythes celtiques. Morbide ? Sûrement pas ! Le récit est plein d’inventivité, évoquant l’éternelle dualité entre vie et mort, tel un jeu complice. Un captivant roman insolite."

Claude Le Nocher sur "Rayon Polar"

 

Ce qu'en dit Nicolas Montard sur "Sortir Grand Lyon" :

« Croiser la légende de l’Ankou, l’extraterrestre de Roswell et l’immigration brestoise à Lyon, voilà le pari difficile dans lequel s’est lancé le Lyonnais Frédérick Houdaer. Dans "Ankou, lève-toi", la recette fonctionne à merveille.  

Les souvenirs d’enfance peuvent être tenaces. Pour Frédérick Houdaer, auteur lyonnais, les albums de Spirou en sont un. Notamment celui qui s’intéressait à l’Ankou, cette drôle de créature fantastique bretonne dont on dit qu’elle était le serviteur de la Mort.
C’est en partant de cette légende qu’est né le dernier roman de l’habitant de la Croix-Rousse. Mais Ankou, lève-toi, 173 pages publiées dans la nouvelle collection Polar Grimoire, ne se contente pas d’explorer le folklore breton. C’est aussi le point de départ d’une trame bien menée entre Lyon, Brest et le Nouveau-Mexique.
Une trame qui débute par la rencontre d’un journaliste avec Maryvonne, une Brestoise devenue Lyonnaise pendant la Seconde guerre mondiale. Celle-ci lui dévoile la légende de l’Ankou qui aurait été capturé par l’armée américaine. La créature aurait ensuite été ramenée au Nouveau-Mexique pour y pratiquer des expériences, donnant ainsi naissance à l’extraterrestre de Roswell. Débute ainsi une enquête et une errance du narrateur entre ces différents lieux, les pièces du puzzle s’emboîtant peu à peu.
 
 
CHAPITRES COURTS ET ÉCRITURE ALERTE
Compliqué et un peu trop tiré par les cheveux ? A la lecture du roman de Frédérick Houdaer, on ne le ressent pas. L’auteur, par des chapitres courts et une écriture alerte, nous tient constamment en éveil et tisse des liens qui au final n’apparaissent pas si incongrus que cela. En ajoutant une nouvelle version à l’extraterrestre de Roswell. « Mais je me sers d’archives, de ce qui existe ou a été dit, précise-t-il. J’y rajoute juste l’Ankou. » De belle manière.


N.M.

TROIS QUESTIONS À FRÉDÉRICK HOUDAER

Sortir Grand Lyon : Frédérick Houdaer, comment vous est venue l'idée d'écrire Ankou, lève-toi ?

Frédérick Houdaer : Enfant, j'étais passionné par Spirou. Lorsque j'avais 7 ou 8 ans, j'ai lu un des albums où était évoquée la figure de l'Ankou. Puis, il y a quelque temps, au fil des rencontres, je me suis lié à Renaud Marhic. Il voulait créer une nouvelle collection, Polar Grimoire, un croisement de plusieurs « mauvais » genres littéraires. C'est comme cela que je me suis lancé dans l'écriture d'Ankou, lève-toi. C'est d'ailleurs l'un des deux premiers livres de la collection avec Terminus Brocéliande de Renaud Marhic, justement.

Sortir Grand Lyon : L'écriture du roman a dû être plaisante...

F. H. : Oui, j'y ai pris énormément de plaisir. ça m'a notamment permis de tirer mon chapeau à Jules Verne et Hugo Pratt ! En plus de croiser le thème de l'Ankou et de Roswell, j'ai également ajouté les origines de toute ma famille à ce roman.  Et malgré les recherches, je n'ai jamais eu l'impression de devenir un rat de bibliothèque. J'ai découvert les liens entre Lyon et Brest (beaucoup de Brestois sont venus à Lyon pendant la guerre), ainsi que l'histoire du Nouveau-Mexique au milieu du siècle dernier avec Roswell.


Sortir Grand Lyon : Être dans les premiers auteurs d'une nouvelle collection est gratifiant ?

F.H. : Bien sûr. Mais vraiment, je tiens à souligner le travail avec Renaud Marhic. J'ai plusieurs années d'expérience dans le monde de l'édition (Frédérick Houdaer a déjà publié sept romans, Ndlr).  Pour Ankou, lève-toi, il y a vraiment eu une collaboration avec l'éditeur. Il a été très pertinent, très juste, il a vraiment participé à la création du livre.

Nicolas Montard » 

Ce qu'on en dit sur la "13ème Rue":

 «  (...) Sur une histoire très originale qui se déroule en Bretagne et qui retrace le parcours des légendes bretonnes, un journaliste lyonnais du nom de Eric Jaillet va enquêter sur une affaire étrange.
Cela se passe en 1944. Des GI auraient percuté avec leur jeep un paysan étrange et squelettique portant une faux et un chapeau noir. Il semblerait qu'il s'agisse de l'Ankou, le personnage emblématique des légendes bretonnes. Confiée à la hiérarchie militaire, la "dépouille" est mise à l’isolement, sous bonne garde. Deux cameramen sont bientôt détachés à son chevet...

L’histoire se poursuit aux Etats-Unis lorsque Eric Jaillet, essaye de retrouver d’étranges images : celles de l’Ankou, filmé par les américains...

Un bon suspense, de l’action et de la féerie.
 "

MON PROCHAIN LIVRE SORTIRA AU TOUT DEBUT 2012. J'en ai déjà parlé ICI

29/12/2011

Où j'apprends l'italien...

... et cela fait quelques mois que cela dure. Disons qu'il m'a fallu 42 ans pour remarquer qu'à peine sorti de Lyon, des panneaux indiquaient déjà la direction de Turin.

La vraie raison ? Oui. Non.

"Entre le français et l'italien, il y a une longue et bizarre histoire. Elle ne demande qu'à s'approfondir." Sollers (in "Trésor d'amour")

Et même P.J.Harvey s'y met pour me donner un coup de main !
 

02/10/2011

Mon tour du pâté de maison # 4

Comme dans les épisodes précédents, ces photos ont été prises à moins de cinq minutes à pied de chez moi (cliquez sur les images pour les agrandir... et merci de glisser un lien vers mon blog si vous m'en piquez une).

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