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28/02/2025

Remise à niveau (english) #189

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26/02/2025

Carte postale havraise

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Et si mon poème en cours n'était qu'un bac à marée ?

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16/02/2025

Où l'on continue de lire mon dernier recueil...

" Il est urgent de lire Le tour de l’hexagone en 36 poèmes

D’une traite.

J’ai passé une très belle insomnie grâce à ce manuel de dépaysement rapide.

Ces voyages immobiles m’ont fait économiser beaucoup d’argent.

A la hauteur de la générosité du poète.

Cette poésie rend vivant son lecteur, c’est une vraie récréation .

On en sort régénéré.

Loin de toute une poésie qui voudrait peser.

Ces "petites histoires" qui font du bien sont beaucoup moins inoffensives qu’elles n’y paraissent.

On est piégé, pris par la main d’une personne qui nous emmène faire un tour dans le manège de sa vie.

Vraiment, laissez-vous faire plaisir.

Laissez-vous guider, laissez-vous jouer avec Frédérick dans ses contes ordinaires."

Olivier Benoit Gonin

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"… Conduite tout sourire, sans colonne de direction pourtant, en marche avant marche arrière dans le petit monde de Frédérick Houdaer. Manège qui tourne en rond, se perd, nous perd au grès de ses (re)trouvailles… pour s’y retrouver justement, on « tente de scotcher les volets déchirés (d’une carte) / malgré les bourrasques », carte de France à gratter pour connaître « l’étendue de nos pertes et de nos gains »… après quoi, planté dans ce décor d’Hexagonie, on peut demander à la France (à l’instar de Steeve Wahring), "Eh, la vieille dame, pourquoi tu ris pas ?"

Mais Frédérick Houdaer n’a pas le goût des réponses « mode d’emploi », plutôt celui du « poème à dire » et il préfère crever de chaud plutôt que de se positionner au milieu de cette vie qui ne serait rien d’autre « qu’une course de rats ».

Ce qui nous guide au fil des pages, c’est « notre évaluation annuelle », nos « jobs de merde » qui nous font pointer en troupeau de salariés, nos deux mains l’une armée l’autre pacifique, l’absolue interdiction au enfants de pisser dans la Méditerranée au risque de créer un bain de sang (un gosse y mourant nous ferait moins d’effet)

Mais heureusement, on peut dire de Frédérick Houdaer, qu’« Il lui en faut peut / pour se dépayser » : une ancienne dynamiterie classée monument historique, deux trois mots pour faire rire une serveuse, le vol tarabiscoté d’une mouette et puis, dans ce vade-mecum du « dépaysement rapide et facile », un « memento morue » et « mer pas loin » en « happy-end arraché » qui sont ses pas de côté.

Jamais Frédérick Houdaer ne sera allé si loin dans le sud. D’ailleurs, il ne comprend rien à l’idée de « capital soleil ». Il contemple simplement, au volant de sa berline rouge, notre agitation… et à chaque tour de ces 36 chandelles, on attrape le pompon, et on repart de plus belle !"

Augustin Petit

 

Pour vous procurer l'ouvrage, voir deux-trois notules plus bas.

 

10/02/2025

Lu par Jérôme Leroy !

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"Monsieur Frédérick Houdaer a fait part, avec ce mince volume LE TOUR DE L’HEXAGONE EN 36 POEMES de son désir d'adhérer à l'APA, l'académie des poètes arpenteurs. L'APA est à distinguer de l'APV, l'académie des poètes voyageurs. On peut faire partie des deux, mais pas monsieur Houdaer qui confie, non sans raison "rares sont mes amis/ à avoir voyagé aussi peu que moi."
Je confirme. Pour avoir connu quelques journées dans un hôtel nantais non loin du passage Pommeraye en compagnie de monsieur Houdaer, (dans des chambres séparées, je précise pour la paix des ménages), il a réussi à tout rendre exotique, voire calmement onirique, comme lorsqu'on est victime d'un jet lag, ce qui est tout de même une sensation assez rare en Loire Atlantique, surtout si on vient simplement du Nord ou du Rhône.
Le poète arpenteur est un géomètre. D'ailleurs, monsieur Houdaer parle d'Hexagone comme un technocrate pompidolien. Mais assez étrangement, un technocrate pompidolien qui aurait la sensibilité comique d'un Buster Keaton. J'ai toujours trouvé qu'il y avait du Buster Keaton dans la poésie de Frederick Houdaer, une manière de drôlerie désolée et impassible. Impassible, sauf pour qui sait lire entre les vers de sa poésie narrative.
Hexagone, donc. D'ailleurs, assez logiquement, dans ce recueil sous-titré Manuel de dépaysement rapide et facile, il nomme assez peu les lieux : ville, département, rivage. Exactement le contraire d'un autre membre de l'Académie des poètes arpenteurs, Gérard Cartier dans son récent et prodigieux Voyage Intérieur (Flammarion), où il nomme la France, il la nomme tout le temps, minutieusement, amoureusement en fait et, obligeamment, à la fin de chaque poème, il nous donne même les coordonnées pour qu'on retrouve un collège à Roubaix ou un lac au Bourget.
N'espérez rien ce ce genre chez monsieur Houdaer qui vise à l'archétype. De quelle Méditerranée parle-t-il pour montrer la panique déclenchée par un petit garçon qui fait pipi dans l'eau, face à l'éternité. Où est cette cabine téléphonique, sinon dans le passé, dans laquelle un petit couple se désespère? Quel est ce lycée où des filles s'effraient d'un SDF devant la grille?
Et quand Frédérick Houdaer va se risquer, dans le poème n°7 - notre préféré par son lyrisme dont l'auteur pourtant se méfie comme la peste- sur les chemins toujours émouvants et dangereux de l'enfance, des origines, du passé, et que, sur une impulsion, il part plein nord, il va parler de "Dune-sur-Machin Land" plutôt que de nous nommer ces plages où l'armée française connut quelques week-end compliqués en 1940: "à Dune sur Machin Land/ il s'en est passé de drôles pendant la guerre."
On comprend alors que ce recueil sensible n'est finalement pas celui d'un arpenteur, mais bien plutôt d'un autobiographe pudique. La candidature de monsieur Fréderick Houdaer à l'Académie des poètes arpenteurs est donc refusée. Il s'en remettra. D'ailleurs, à l'heure qu'il est, il doit déjà être sur la route."
 
 

08/02/2025

Ateliers d'écriture, etc.

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Depuis une vingtaine d’années, comme de nombreux auteurs (et artistes), j’interviens dans des classes. Je rencontre des élèves. Je fais en sorte qu’ils se réapproprient l’écriture.
Ne pas les laisser seuls, sidérés-fascinés par l’actualité pornographique (dans laquelle j’insère des politiques de tous bords).
Leur transmettre quelques outils. Rien de plus. Au-delà même de l’écriture, l’importance de leur faire redécouvrir le langage, sa complexité, sa beauté, ses possibilités incroyables.
Ni slogans ni vaines promesses.
On s'exerce, on découvre, on reprend...
Et tout le monde en ressort grandi.
Et au moment de les quitter, toujours, je remercie les élèves.
 

03/02/2025

NOUVEAUTÉ !

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LE TOUR DE L’HEXAGONE EN 36 POÈMES
(Manuel de dépaysement rapide & facile)
 
Certainement, l’un de mes recueils les plus personnels et les plus libres… Une échappée belle de 62 pages !
 
Commandable en avant-première (frais de port offerts !) : il vous suffit d’envoyer un chèque de 11€ à l’ordre des Editions Les Vagues Satellites à l’adresse suivante
« Les Vagues Satellites 105 rue Hénon 69004 Lyon ».
Si votre adresse ne correspond pas à celle marquée sur votre chèque, merci de la préciser sur un papier joint.
 
mail : lesvaguessatellites@gmail.com
 
Bonne route en ma compagnie !
 

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Quatrième de couverture :
 
rares sont mes amis
à avoir aussi peu voyagé que moi
après
comme me l’a confirmé une ex
il m’en faut peu
pour me dépayser 
 
"Frédérick Houdaer vient du roman et plus précisément du roman noir, avant de mettre un pied dans la poésie. Il porte un regard simple et réaliste sur de petites situations du réel loin des effets de langue. Il pose des personnages en quelques mots, les fait bouger sous nos yeux, dévoile ou souligne en quelques lignes un fragment du réel. Le théâtre n'est jamais loin."
Patrick Dubost

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Déjà, une première critique signée Patrice Maltaverne.

Puis, un texte signé Jérôme Leroy himself, en personne :
 
"Monsieur Frédérick Houdaer a fait part, avec ce mince volume LE TOUR DE L’HEXAGONE EN 36 POEMES de son désir d'adhérer à l'APA, l'académie des poètes arpenteurs. L'APA est à distinguer de l'APV, l'académie des poètes voyageurs. On peut faire partie des deux, mais pas monsieur Houdaer qui confie, non sans raison "rares sont mes amis/ à avoir voyagé aussi peu que moi."
Je confirme. Pour avoir connu quelques journées dans un hôtel nantais non loin du passage Pommeraye en compagnie de monsieur Houdaer, (dans des chambres séparées, je précise pour la paix des ménages), il a réussi à tout rendre exotique, voire calmement onirique, comme lorsqu'on est victime d'un jet lag, ce qui est tout de même une sensation assez rare en Loire Atlantique, surtout si on vient simplement du Nord ou du Rhône.
Le poète arpenteur est un géomètre. D'ailleurs, monsieur Houdaer parle d'Hexagone comme un technocrate pompidolien. Mais assez étrangement, un technocrate pompidolien qui aurait la sensibilité comique d'un Buster Keaton. J'ai toujours trouvé qu'il y avait du Buster Keaton dans la poésie de Frederick Houdaer, une manière de drôlerie désolée et impassible. Impassible, sauf pour qui sait lire entre les vers de sa poésie narrative.
Hexagone, donc. D'ailleurs, assez logiquement, dans ce recueil sous-titré Manuel de dépaysement rapide et facile, il nomme assez peu les lieux : ville, département, rivage. Exactement le contraire d'un autre membre de l'Académie des poètes arpenteurs, Gérard Cartier dans son récent et prodigieux Voyage Intérieur (Flammarion), où il nomme la France, il la nomme tout le temps, minutieusement, amoureusement en fait et, obligeamment, à la fin de chaque poème, il nous donne même les coordonnées pour qu'on retrouve un collège à Roubaix ou un lac au Bourget.
N'espérez rien ce ce genre chez monsieur Houdaer qui vise à l'archétype. De quelle Méditerranée parle-t-il pour montrer la panique déclenchée par un petit garçon qui fait pipi dans l'eau, face à l'éternité. Où est cette cabine téléphonique, sinon dans le passé, dans laquelle un petit couple se désespère? Quel est ce lycée où des filles s'effraient d'un SDF devant la grille?
Et quand Frédérick Houdaer va se risquer, dans le poème n°7 - notre préféré par son lyrisme dont l'auteur pourtant se méfie comme la peste- sur les chemins toujours émouvants et dangereux de l'enfance, des origines, du passé, et que, sur une impulsion, il part plein nord, il va parler de "Dune-sur-Machin Land" plutôt que de nous nommer ces plages où l'armée française connut quelques week-end compliqués en 1940: "à Dune sur Machin Land/ il s'en est passé de drôles pendant la guerre."
On comprend alors que ce recueil sensible n'est finalement pas celui d'un arpenteur, mais bien plutôt d'un autobiographe pudique. La candidature de monsieur Fréderick Houdaer à l'Académie des poètes arpenteurs est donc refusée. Il s'en remettra. D'ailleurs, à l'heure qu'il est, il doit déjà être sur la route."
 

29/01/2025

Ce jeudi...

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Je serai heureux de vous y retrouver...

 

28/01/2025

Pour éclairer l'actualité...

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... aux chougnages des uns et des autres, je préfère les propos de Robert E.Howard (oui, le père de Conan le Barbare) :
Bien sûr, vous prétendez que le genre de fascisme que vous préconisez ne comporte aucune part de despotisme et de persécution de la liberté de pensée. Autant dire que vous préconisez un cobra sans venin, un putois sans puanteur et un lépreux sans croûtes.
Robert E. Howard, décembre 1934
 

27/01/2025

Inactuel

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