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07/09/2010

Quelques photos signées Frédéric Muller...

... prises lors du premier Cabaret Poétique au Périscope (en date du 20 juin 2010). Par ordre d'apparition sur scène :

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Pauline Catherinot & me.

 

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Prune Long-Chanay & Philippe Puigserver

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 Leïla Lovato

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 Cocteau Molotov avec casquette & sans casquette

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Le grand shaman Martin Rodde

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Le finale (cliquez sur l'image pour la voir dans son intégralité)

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Mon prochain Cabaret Poétique, ça se passera LE DIMANCHE 17 OCTOBRE, à 17h, toujours au PERISCOPE... et ça réunira Sarah Pellerin-Ott & Jean-Baptiste Cabaud, Déborah Field & me, Patrick Dubost & Patrick Ravella & Serge Rivron, Pauline CatherinotXtatik...

Et un grand merci à Françoise Bressat et à Dimitri Sebian (dits la "Lyonnaise rouge" et le "Russe blanc") sans qui rien ne serait possible.

15/06/2010

J'OUVRE MON CABARET POETIQUE ! (chose promise...)

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FEU SUR LE QUARTIER POETIQUE !

 

Le dimanche 20 juin, soit 24 h avant le début officiel de l'été, liquidons "le printemps des poètes" au Périscope ! Pour cela, rien de tel... qu'une belle fiesta poétique ! Le dimanche 20 juin, à 17 h, s’inviteront sans plus de manière les poètes Pauline Catherinot, Frédérick Houdaer, Prune Long-Chanay, Leïla Lovato, Cocteau Molotov et Martin Rodde. Moyenne d’âge : 35 ans. Et toutes leurs dents.

P.A.F : 2 € (inscription pour l'année au Périscope)

 

Le Périscope, 13 rue Delandine 69002 Lyon (entre la gare de Perrache et les prisons vidées de leurs prisonniers !).

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30/03/2009

Lecture publique vendredi

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(Cliquez sur l'image pour la voir dans sa totalité.)

24/02/2009

LECTURE VENDREDI

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(Cliquez sur l'image pour l'agrandir)

22/04/2008

Article sur la collection "A charge"

C'est le premier article consacré à la collection, avant même la parution du premier livre. Il est signé Leïla Lovato, et vous le trouverez dans le journal de la Mapra.

Extrait:

Collection A charge, ou les variations libres et plurielles d’une littérature noire

Depuis à peu près deux ans, la librairie « A plus d’un titre », Alain Léger en tête d’équipe, est aussi sous le même nom, éditrice de livres. Peu d’entre nous sans doute le savaient car, passés les premiers pas (avec quand même une petite dizaine de publications), c’est maintenant que l’aventure semble s’affirmer et le projet s’étoffer. De plus, aspect non négligeable, les éditions « A plus d’un titre » sont désormais diffusées par « Court-Circuit », ce qui leur donne une meilleure visibilité dans de nombreux lieux en France et ailleurs. Or voici que dans ce parcours encore jeune des éditions, apparaît « A charge », une nouvelle collection dirigée en particulier par l’écrivain Frédérick Houdaer. C’est donc avec lui que je vous propose de la découvrir, à travers la présentation que lui-même en fait, et à travers un petit entretien qu’il a bien voulu amicalement m’accorder. On comprendra que l’homme use d’une langue franche, sans doute parce qu’il sait qu’en matière de création, il y a prise, prise de position, prise de place… lui qui puise volontiers dans le lexique guerrier pour décrire sa démarche…

L.L.

(...) 

-         « A charge », pourquoi ce titre ?

Je n’ai pas de réponse fermée. On pourrait ouvrir un dictionnaire, chercher les acceptions du mot « charge » et les emplois de l’expression. J’y entends par exemple : « à charge de revanche ». Je ne suis pas vierge. Intervenir, travailler, collaborer à divers niveaux de la chaîne du livre, m’a permis d’avoir une bonne vue sur sa réalité. Un paysage que beaucoup d’auteurs ignorent. J’ai connu plusieurs éditeurs, et plusieurs manières de faire, j’ai constaté une attitude générale que je qualifierais de « porcine », dont la principale caractéristique est le jeu de dupe.

Mais attention, avec Alain (Léger), je n’ai pas trouvé un noyau de personnes frustrées, ni blasées ou écœurés. A notre échelle, notre démarche et notre travail sont investis d’une réelle ambition.

 

-         Quels sont les points de départ pour constituer la collection ?

Au cours des années, j’ai reçu plusieurs manuscrits, parmi lesquelles j’ai décelé quelques pépites. J’en ai poussé certains vers des éditeurs. La plupart du temps, ils ont intéressé, et n’ont pas été publiés in extremis, comme par exemple chez Actes Sud. Je ne voulais pas gâcher ces énergies.

Etre directeur de collection, ce n’est pas être sympa. Il faut d’abord savoir dire Non, mais le Oui, quand il advient, est un engagement. Etre directeur de collection relève sans nul doute d’un travail de création, avec ce qu’il comprend d’implication.

 

-         Quelle ligne sous-tend cette collection à l’heure où elle publie ses deux premiers titres ?

Là encore, pas de réponse fermée. C’est pour cela que, pour présenter la collection, je reprends la définition que Soulage donne du noir. J’aime l’idée de « prose à part », non formatée. Ce seront des formats plutôt courts. Les deux premiers titres définissent un espace possible pour les prochains textes accueillis. « Les ruines de la future maison », de Hélène Dassavray, est un roman autobiographique. Une écriture solaire, car le noir peut être solaire. « Curtis », de Dominique Salon, est à l’opposé, un roman sec comme un coup de trique. Les deux romans présentent deux pôles. Ça peut surprendre, mais au contraire, ils posent d’emblée les deux bornes entre lesquelles la collection se développera.

-         Quel choix est fait concernant l’identité graphique de la collection ?

Elle sera notamment signifiée par les couvertures. On achète une série de photos à Jean-Marc Sohier : des clichés de chaises prises sous tous les angles. Rien d’illustratif donc. Un lieu est créé, avec son unité, ses éléments récurrents, et ses infinies déclinaisons possibles. C’est bien dans cet esprit que s’initie la collection…

Renseignements :

Librairie A plus d’un titre : 4 quai Pêcherie, 69001 Lyon - 04 78 27 69 51

17/05/2006

Mercredi 17 mai

Lecture (im)mobile avec le bureau des (h)auteurs. J’avais deux contraintes : le sujet du texte à écrire (« c’est ma femme qui décide »), et le lieu de la lecture à voix haute : dans ma voiture !

Deux jours plus tôt, lors d’une expérience spirituelle intense, j’avais ouvert les yeux sur cette terrible vérité : je partage avec François Hollande les mêmes initiales !

Fort de cette découverte, j’ai écrit un texte dans lequel j’incarne François Hollande… en train de donner sa première leçon de conduite à sa très chère Ségolène. Ce soir, j’ai joué mon texte. Une trentaine de personnes se sont succédées dans ma voiture. À chaque lecture, une Ségolène différente à mes côtés. Mon seul regret : n’avoir accueilli aucun élu dans ma caisse. Je me serais fait encore plus mordant.

Pour finir, Judith, Leïla, Pierre et moi-même avons partagé la même voiture pour partager nos textes, entre (h)auteurs.