22/06/2019
"Les années perdues ?"
18:33 Publié dans où mon taux d'adrénaline augmente | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : paul léautaud, léautaud, poésie, poètes, années perdues, gérard dubois
12/01/2019
Après toutes ces années...
05:29 Publié dans C’est quoi, la poésie ? C’est ÇA, Ducon !, où mon taux d'adrénaline augmente | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bruno doucey, poésie, chat
06/09/2018
Une tendance à l'idéalisation
" Peut-être auriez-vous à vous défier d'une tendance à l'idéalisation, qui peut incliner au militarisme comme à la poésie... "
08:01 Publié dans carottages littéraires | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : michel audiard, audi, poésie, armée
25/06/2018
"Dans la composition d'un poème..."
« (…) Il y a, dans la composition d’un poème, une grande part d’actes conscients et délibérés. En fait, le mauvais poète est d’ordinaire inconscient là où il devrait être conscient, et conscient là où il devrait être inconscient. Ces deux erreurs tendent à le rendre « personnel ». La poésie n’est pas la bride lâchée à l’émotion, mais une façon d’échapper à l’émotion ; ce n’est pas l’expression de la personnalité, mais une façon d’échapper à la personnalité. Mais, bien entendu, seuls ceux qui ont de la personnalité, et des émotions, savent ce que signifie vouloir leur échapper. »
T.S.Eliot (cité dans l’ouvrage « A broken Hallelujah »)
14:53 Publié dans C’est quoi, la poésie ? C’est ÇA, Ducon ! | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poésie, a broken hallelujah, eliot, t.s.eliot
12/06/2018
Remise à niveau (english) # 99
06:46 Publié dans C’est quoi, la poésie ? C’est ÇA, Ducon ! | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poetry, poésie
22/11/2016
Poésie & Polar # 1
13:18 Publié dans planches, polar | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jérôme leroy, le bloc, fondu au noir, maison de la poésie de nante, le lieu unique, poésie et polar, polar, poésie
28/03/2016
"Mieux vaut un poème ..."
Témoignage de Philip Caputo sur le décès de son ami Jim Harrison :
" We found him on the floor of his study, where he'd fallen from his chair, apparently from a heart attack. He'd died a poet's death, literally with a pen in his hand, while writing a new poem "
Mieux vaut un poème qu’une patte de dinde sanguinolente dans votre boîte aux lettres. Peu de gens vous diront le contraire. Robert Creeley déclara un jour (…) : « La forme n’est jamais davantage qu’une extension du contenu ». C’est juste et sage. Nous choisissons ce qui nous sied et préférons ne pas porter ce qui ne nous va pas. N’essayez pas d’enterrer un cheval dans un cercueil humain, même si vous adoriez ce cheval, ni de coller quelque merveilleux papillon muet, de jour ou de nuit, dans une caverne humide. Je déteste ce mot, mais la forme doit être une révélation « organique » du contenu ; sinon, le poème, aussi vivant soit-il, nous donnera une impression de frelaté, de fabriqué – un exercice élégant, un travail de crochet, une pâle broderie.
Jim Harrison (trad.B.Matthieussent)
16:26 Publié dans C’est quoi, la poésie ? C’est ÇA, Ducon ! | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : harrison, matthieussent, lointains & ghâzals, forme, poésie, cheval, papillon, organique
01/09/2014
" On ne peut plus sortir en poète... "
« On ne peut plus sortir en poète, c’est mal vu par tous ces cons qui nous préparent des sociétés où on s’emmerdera tellement qu’on réclamera des poètes à cor et à cri, sans pouvoir seulement en trouver l’ombre d’un. Ce sera bien fait pour leurs gueules. C’est qu’un poète, ça ne se fait pas en une civilisation. »
Calaferte
08:22 Publié dans où mon taux d'adrénaline augmente | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : calaferte, poésie, choses dites
04/06/2014
"C’est aux faibles de cœur qu’il faut un avantage..."
« Guerre ouverte, et non point tant de subtilités :
C’est aux faibles de cœur qu’il faut un avantage.
Pourquoi me caches-tu le ciel de ton visage
De ce traître satin, larron de tes beautés ?
Tu caches tout, hormis les deux vives clartés
Qui m’ont percé le cœur, ébloui le courage ;
Tu caches tout, hormis ce qui me fait dommage,
Ces deux brigands, tyrans de tant de libertés ;
Belle, cache les rais de ta divine vue,
Du reste, si tu veux, chemine toute nue,
Que je voye ton front, et ta bouche et ta main.
Amour ! que de beautés, que de lys, que de roses !
Mais pourquoi retiens-tu tes pommettes encloses ?
Je t’ai montré mon cœur, au moins montre ton sein. »
12:13 Publié dans C’est quoi, la poésie ? C’est ÇA, Ducon ! | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : d'aubigné, agrippa d'aubigné, poésie, amour, visage, beauté, rose, sein, liberté, courage, guerre, brigand, avantage, coeur