27/04/2017
Si j'en crois les ondes du Service Public...
13:22 Publié dans LyonnÈseries, politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lyon, macron, franquin
10/10/2016
Au pied...
16:16 Publié dans LyonnÈseries, oreillettes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nougaro, claude nougaro, lyon, valmy, médiathèque vaise, vaise, une petite fille
03/04/2014
Poème de saison
QUAIS DU POLAR
ils ont mis le pognon
ils ont mis les auteurs
la signalétique
les stands
les piles de flyers
les piles de bouquins
les caisses des libraires
les agents de sécurité
ils ont mis
tous les moyens
pour faire un gros festival du genre
ils ont installé l’ensemble
au Palais de la Bourse
autrement appelé Palais du Commerce
un symbole tellement gros
que personne n’a tiqué
en ce temps de crise
une armée de bénévoles
s’échine sur le pont
comme quoi
le polar peut faire des miracles
les organisateurs de ce Barnum
sont de sacrés professionnels
11:21 Publié dans a.2) MES TEXTES | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : lyon, polar, palais du commerce, palais de la bourse, salon du livre, barnum
27/08/2012
Lyon, cet été...
Photo d'Hélène Massip
Photo de Mimmo Pucciarelli
Mon quartier de la Guillotière en été, vu par mes yeux.
10:23 Publié dans LyonnÈseries | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lyon, photo, massip, hélène massip, mimmo pucciarelli, croix-rousse
03/03/2012
C'était le douzième Cabaret Poétique...
06:57 Publié dans a.5) ANIMATEUR DU CABARET POETIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : brérot, barendson, bouchoueva, cabaret poétique, alaili, pellerin-ott, marches, lyon, tixier, liboa, poésie
23/01/2012
LA FRANCE N'EXISTE PAS (extrait d'un looooong chantier poétique en cours)
Jeanne d'Arc est tombée dans le trou
au milieu de la table
elle y a disparu
emportant avec elle nappe et couverts
avant que l'oncle n'ait eu le temps de servir l'apéro
à moi de jouer maintenant
comment mettre tout cela
à ma main ?
je cherche avec qui commencer
avec quelle couronne
tombée
ramassée
volée
faire sonner le début du premier épisode
je crains les génériques trop longs
pleins de prénoms et de chiffres
je réfléchis à la première bouse de cheval
au premier crottin
dans lequel flanquer mon gaulois d’ancêtre
je subodore le système D requis
pour sauver sa peau au Moyen-Âge
le jeu des chaises musicales
reste de toutes les époques
pour ceux qui ont la chance d’avoir des chaises chez eux
et tous ces artistes officiels
qui n’ont pas toujours manqué de génie
pour servir leurs maîtres
ne m’inspirent qu’une moue polie
je sais bien que
pour finir grand jardinier de Versailles
il vaut mieux naître déjà fils de grand jardinier
j’ai toujours su que les jardiniers étaient des putes
et des fils à papa
au point où j’en suis
de ma relecture
je file tout droit aux incontournables
Napoléon pour commencer
Napoléon qui s’auto-proclame empereur
qui s’auto-sacre
le saint patron de tous les écrivains qui s’éditent à compte d’auteur
et pourquoi pas ?
j’oublie ceux qui l’ont maudit dans toutes les langues
j’oublie les produits dérivés
(...)
et à Lyon
où je vis aime et écris ?
à Lyon
les Canuts se sont battus
les Canuts ont perdu
et beaucoup de choses qui ont été écrites à leur sujet
relèvent de la très mauvaise littérature
(...)
dans les années 70
du vingtième siècle
un président de la république française
pond une anthologie de la poésie française
c’est dire s’il est cocu
et malade
(...)
et il y a tout ce qu’on n’apprend ni en cours d’histoire
ni en cours de français
Casanova
devenu Maçon à Lyon
qui écrit ses Mémoires dans la langue de Poquelin junior
(...)
06:00 Publié dans a.2) MES TEXTES | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : poésie, histoire de france, historien, france, jeanne d'arc, stendhal, lyon, canuts, casanova, franc-maçonnerie, napoléon
07/01/2012
REEDITION-RESURRECTION !
Mon "ANKOU, LEVE-TOI !" reparaît... et c'est aux éditions "Terre de Brume" où Renaud Marhic prolonge l'aventure de la collection "Polars & Grimoires" !
Ce qu'on disait de ce livre lors de sa première édition :
" Ce conte (car au final, c’est une forme de conte que ne dénierait pas un Tim Burton avec ses Noces funèbres) tient tellement la route et sa forme narrative de thriller vous entraîne malgré vous sur des voies terreuses, de...s ornières quasi celtiques, à la poursuite d’une vérité qui ne fait que s’enfuir […] La trame est émaillée de références authentiques à la Seconde Guerre mondiale qui renforcent l’impression que tout y est véridique. Second roman de cette collection qui vous laisse comme un goût d’infini (après Renaud Marhic), l’impression subtile d’avoir pu effleurer quelque chose mais de ne pas encore savoir vraiment ni ce que c’est, ni si vous avez envie de savoir vraiment ce que c’est… "
Véronique De Laet – Phénix Mag
« ANKOU, ES-TU LÀ ?
Quel curieux roman que ce livre de Frédérick Houdaer ? « Ankou, lève-toi » est une variation fantastico-policière sur le thème de l’Ankou, personnage mythique des contes bretons. L’histoire de cette quête oscille entre deux époques, la nôtre et la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Le roman débute dans un bistrot lyonnais, où un dialogue se noue entre une vieille alcoolique et un journaliste. « Où il est question d’une mystérieuse collision entre un chariot et une jeep », « Où il est question de Roswell et des sorcières de Salem »… L’écrivain s’amuse à tisser une trame effilochée de toutes parts – un bel imbroglio-, émaillant son écriture très imagée de clins d’œil en tous genres. Ce style fait naître une ambiance brumeuse propice à cette histoire de faucheuse, de brouillards bretons et de désert blanc, avec des phrases qui oscillent entre une poésie légère et des descriptions dramatiques, une pointe d’humour en sus. Bref, cet « Ankou, lève-toi » est fort réjouissant, mi-roman noir mi récit fantastique, et, toutes proportions gardées, fait penser à certaines nouvelles du grand Edgar Allan Poe.»
Gallia Valette-Pilenko
« LIVRE & LIRE », juin 2007
« (…) Frédérick Houdaer est un petit lutin facétieux qui a concocté une intrigue au ficelage éhontément provocateur. Le voyage en montgolfière rappelle évidemment Jules Verne. Les cinq semaines ne dépassent pas cinq heures. Le crash est retentissant et aussitôt on est plongé sous terre dans un voyage vers son centre, au milieu d’une gigantesque coulée de lave pour un ultime affrontement avec « l’ouvrier de la mort »
Julien Vedrenne sur "lelitteraire.com"
"Ombre familière, symbole de la fatalité plutôt que de la mort pure et simple, “l’homme à la faux” porte un nom en Bretagne : l’Ankou. Sinistre, mais pas si terrifiant, sa légende n’admet que des aventures d’exception. C’est dans cet esprit que l’auteur relate le voyage en Amérique de l’Ankou. Sur ses traces, le journaliste navigue entre mystères, dangers et hypothèses véridiques. L’imagination poétique de Frédérick Houdaer mêle avec astuce “le cavalier sans tête de Sleepy Hollow”, les sorcières de Salem, les secrets de l’armée états-unienne, et les mythes celtiques. Morbide ? Sûrement pas ! Le récit est plein d’inventivité, évoquant l’éternelle dualité entre vie et mort, tel un jeu complice. Un captivant roman insolite."
Claude Le Nocher sur "Rayon Polar"
Ce qu'en dit Nicolas Montard sur "Sortir Grand Lyon" :
« Croiser la légende de l’Ankou, l’extraterrestre de Roswell et l’immigration brestoise à Lyon, voilà le pari difficile dans lequel s’est lancé le Lyonnais Frédérick Houdaer. Dans "Ankou, lève-toi", la recette fonctionne à merveille.
Les souvenirs d’enfance peuvent être tenaces. Pour Frédérick Houdaer, auteur lyonnais, les albums de Spirou en sont un. Notamment celui qui s’intéressait à l’Ankou, cette drôle de créature fantastique bretonne dont on dit qu’elle était le serviteur de la Mort.
C’est en partant de cette légende qu’est né le dernier roman de l’habitant de la Croix-Rousse. Mais Ankou, lève-toi, 173 pages publiées dans la nouvelle collection Polar Grimoire, ne se contente pas d’explorer le folklore breton. C’est aussi le point de départ d’une trame bien menée entre Lyon, Brest et le Nouveau-Mexique.
Une trame qui débute par la rencontre d’un journaliste avec Maryvonne, une Brestoise devenue Lyonnaise pendant la Seconde guerre mondiale. Celle-ci lui dévoile la légende de l’Ankou qui aurait été capturé par l’armée américaine. La créature aurait ensuite été ramenée au Nouveau-Mexique pour y pratiquer des expériences, donnant ainsi naissance à l’extraterrestre de Roswell. Débute ainsi une enquête et une errance du narrateur entre ces différents lieux, les pièces du puzzle s’emboîtant peu à peu.
CHAPITRES COURTS ET ÉCRITURE ALERTE
Compliqué et un peu trop tiré par les cheveux ? A la lecture du roman de Frédérick Houdaer, on ne le ressent pas. L’auteur, par des chapitres courts et une écriture alerte, nous tient constamment en éveil et tisse des liens qui au final n’apparaissent pas si incongrus que cela. En ajoutant une nouvelle version à l’extraterrestre de Roswell. « Mais je me sers d’archives, de ce qui existe ou a été dit, précise-t-il. J’y rajoute juste l’Ankou. » De belle manière.
N.M.
TROIS QUESTIONS À FRÉDÉRICK HOUDAER
Sortir Grand Lyon : Frédérick Houdaer, comment vous est venue l'idée d'écrire Ankou, lève-toi ?
Frédérick Houdaer : Enfant, j'étais passionné par Spirou. Lorsque j'avais 7 ou 8 ans, j'ai lu un des albums où était évoquée la figure de l'Ankou. Puis, il y a quelque temps, au fil des rencontres, je me suis lié à Renaud Marhic. Il voulait créer une nouvelle collection, Polar Grimoire, un croisement de plusieurs « mauvais » genres littéraires. C'est comme cela que je me suis lancé dans l'écriture d'Ankou, lève-toi. C'est d'ailleurs l'un des deux premiers livres de la collection avec Terminus Brocéliande de Renaud Marhic, justement.
Sortir Grand Lyon : L'écriture du roman a dû être plaisante...
F. H. : Oui, j'y ai pris énormément de plaisir. ça m'a notamment permis de tirer mon chapeau à Jules Verne et Hugo Pratt ! En plus de croiser le thème de l'Ankou et de Roswell, j'ai également ajouté les origines de toute ma famille à ce roman. Et malgré les recherches, je n'ai jamais eu l'impression de devenir un rat de bibliothèque. J'ai découvert les liens entre Lyon et Brest (beaucoup de Brestois sont venus à Lyon pendant la guerre), ainsi que l'histoire du Nouveau-Mexique au milieu du siècle dernier avec Roswell.
Sortir Grand Lyon : Être dans les premiers auteurs d'une nouvelle collection est gratifiant ?
F.H. : Bien sûr. Mais vraiment, je tiens à souligner le travail avec Renaud Marhic. J'ai plusieurs années d'expérience dans le monde de l'édition (Frédérick Houdaer a déjà publié sept romans, Ndlr). Pour Ankou, lève-toi, il y a vraiment eu une collaboration avec l'éditeur. Il a été très pertinent, très juste, il a vraiment participé à la création du livre.
Nicolas Montard »
Ce qu'on en dit sur la "13ème Rue":
« (...) Sur une histoire très originale qui se déroule en Bretagne et qui retrace le parcours des légendes bretonnes, un journaliste lyonnais du nom de Eric Jaillet va enquêter sur une affaire étrange.
Cela se passe en 1944. Des GI auraient percuté avec leur jeep un paysan étrange et squelettique portant une faux et un chapeau noir. Il semblerait qu'il s'agisse de l'Ankou, le personnage emblématique des légendes bretonnes. Confiée à la hiérarchie militaire, la "dépouille" est mise à l’isolement, sous bonne garde. Deux cameramen sont bientôt détachés à son chevet...
L’histoire se poursuit aux Etats-Unis lorsque Eric Jaillet, essaye de retrouver d’étranges images : celles de l’Ankou, filmé par les américains...
Un bon suspense, de l’action et de la féerie. "
MON PROCHAIN LIVRE SORTIRA AU TOUT DEBUT 2012. J'en ai déjà parlé ICI.
22:07 Publié dans a.1) MES LIVRES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ankou lève-toi, ankou, houdaer, polars & grimoires, marhic, terre de brume, lyon, brest, salem, roswell, pratt, verne
29/12/2011
Où j'apprends l'italien...
... et cela fait quelques mois que cela dure. Disons qu'il m'a fallu 42 ans pour remarquer qu'à peine sorti de Lyon, des panneaux indiquaient déjà la direction de Turin.
La vraie raison ? Oui. Non.
"Entre le français et l'italien, il y a une longue et bizarre histoire. Elle ne demande qu'à s'approfondir." Sollers (in "Trésor d'amour")
Et même P.J.Harvey s'y met pour me donner un coup de main !
10:14 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : italie, italien, langue italienne, turin, sollers, lyon, p.j.harvey, trésor d'amour, ballad of the soldier's wife
02/10/2011
Mon tour du pâté de maison # 4
Comme dans les épisodes précédents, ces photos ont été prises à moins de cinq minutes à pied de chez moi (cliquez sur les images pour les agrandir... et merci de glisser un lien vers mon blog si vous m'en piquez une).
11:54 Publié dans LyonnÈseries, mes clics sans mes claques | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : lyon, guillotière, rue sébastien gryphe, rue montesquieu, rue jangot, rue de la thibaudière, rue salomon reynach, rue chalopin, rue d'anvers, rue du père chevrier