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24/02/2014

Des questions ?

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22/02/2014

Remise à niveau (anglais) # 10

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20/02/2014

Parenthèse(s) enchantée(s)

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Mille mercis & mille roses à Mateja Bizjak-Petit, Fabienne Swiatly et Pierre Soletti pour leur accueil à Tinqueux (près de Reims) !

Il y a eu la lecture (tout à fait pour adultes) au Centre de Création pour l'Enfance, mais avant, s'est produite cette rencontre dans une classe de primaire...

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A l'âge de ces écoliers, j'habitais à quelques kilomètres de là. Pas à quelques kilomètres de Lyon, mais à Reims puis à quelques kilomètres de Reims (Chamery). Je ne me suis pas privé de le leur dire avant de leur parler d'écriture (plus que de poésie).

Prochaine lecture-rencontre, le mardi 18 mars, à 20h, au Caveau des lettres (MJC de Chaponost), sur l'invitation de l'amie Maryse.

07/02/2014

Le "vrai métier" que j'aurais voulu faire

ray harryhausen

... Plutôt que de décrocher mon C.A.P de lettres, j'aurais mieux fait de travailler avec régularité ma pâte à modeler !

29/11/2013

Pourquoi publier de la poésie ? # 2

Le titre de cette notule est (presque) une arnaque. L'envie d'intéresser autant de monde qu'avec celle qui l'a précédée ? Disons que, tout provisoirement affublé que je suis de ma (grosse) casquette de (petit) éditeur, je voulais donner la parole à celui/celle qui est de l'autre côté de la barrière. C'est chose faite.

 

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20/11/2013

Lettre (de saison) signée René Daumal

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Autrement ? La croix-Rousse ressemble toujours à un tableau de Pialat.

31/10/2013

SAMAIN...

18/10/2013

DEUX nouvelles critiques de "Fire Notice" !

" FIRE NOTICE

Frédérick Houdaer écrit des poèmes comme on écrit des réflexions, des pensées, des anecdotes, des souvenirs, des constats… Ainsi tout fait encre, du comportement de ses enfants, très présents dans ses textes, à ses propres attitudes, à toute heure de la journée. Autant dire que l’autobiographie est le principal moteur de cette poésie directe et qui ne cherche nullement à affadir son franc-parler. Comme souvent dans cette problématique d’écriture, la vivacité de la langue tourne à l’humour, voire l’autodérision je n’ai pas fini / de me prendre ma propre paille / dans l’œil Je pense dans un autre genre à un Roger Lahu. De même la recherche permanente verbale permet de sublimer la parole : je me passe l’épée caféine au travers du corps. L’auteur laisse éclore son penchant récurrent pour le spiritisme ; de même aime-t-il affirmer une certaine fibre mâle ou masculine. Ce recueil de Frédérick Houdaer se lit d’un seul coup d’œil ; à la fois grave et léger, tour à tour : il fait montre surtout d’une réelle et salubre fantaisie. "

 

J'étais déjà fort heureux de découvrir cette critique signée Jacques Morin (pour la revue Décharge)... quand je suis tombé sur cet article tout frais de François-Xavier Farine !

 

daniel morin,fire notice,revue décharge,françois-xavier farine

 

 

09/10/2013

"Fire Notice" (nouvelle critique)

 

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Après Paola Pigani, Patrice Maltaverne & DJ Duclock, c'est au tour de Jack Chaboud de parler de mon nouveau recueil :

"  Le poète ne prend plus son luth ou son revolver, il prend la vie à bras le corps, avec douceur et violence,  avec élégance et vulgarité, mais sa tache est bien plus difficile que celle des aèdes qui l’ont précédé, car le monde est plein de trop d’usage et trop de raison, alors que lui tente de l’enchanter. C’est ainsi que Frédérick Houdaer, âme d’un cabaret poétique lyonnais, directeur de collection sur un Pédalo Ivre, nous dit une de ces poésies contemporaines à la langue crue, à la langue rude, à la langue belle. Qu’il murmure quand  « il relit les noms qui s’effacent de son carnet d’adresse », qu’il sourit quand il tente  « je dis, j’aime l’argent, sans convaincre quiconque, à commencer par moi, mais j’essaye », qu’il rit, quand il constate que « certains esclaves posent leurs pieds sur des bureaux de ministre » ou qu’il crie « cette journaleuse avec sa bouche en cœur et son sex toy de micro à la main », Frédérick Houdaer, poète urbain se saisit des mots qu’il apprivoise pour nous rendre compte de la seule ironie dont il peut disposer, quand le diable ne veut même pas faire un pacte avec lui : car ceux qui pourrissent notre monde sont les protégés de Satan, et ce ne sont pas des poètes. "

Jack Chaboud