14/07/2005
Jeudi 14 juillet
21:15 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Chevillard
07/07/2005
Jeudi 7 juillet
Soldes ! – 30 % sur les baskets ! Va pour cette paire d’Adidas.
À la caisse, je découvre que les godasses que j’ai choisies ne sont rien moins que des « Adidas Esoteric » (sic !).
20:40 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Adidas
06/07/2005
Mercredi 6 juillet
D’autres publications à venir : une nouvelle dans le numéro estival de LYON-DECOUVERTE, un long poème dans le numéro 4 de la revue « ON ».
Enfin, cerise sur le gâteau, à compter de la rentrée de septembre, je tiendrai une chronique hebdomadaire dans « Lyon-Capitale ».
20:35 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Lyon-Découverte, Lyon-Capitale, revue On, journaux lyonnais
21/06/2005
Mardi 21 juin
Vu à 130 km/h, sur l'A.46:
Deux voitures garées sur la bande d’arrêt d’urgence. Derrière une glissière de sécurité, un homme et une femme. Ils s’embrassent.
Je poursuis ma route jusqu’à Villard-les-Dombes où j’anime un atelier d’écriture dans une résidence de personnes âgées depuis plusieurs semaines. À vol d’oiseau, la résidence n’est qu’à quelques centaines de mètres du… parc ornithologique. Fil rouge de l’atelier : le pain. Aujourd’hui, une mamie de 95 ans écrit ses textes sans aide puis les lit elle-même à voix haute. Elle retrouve sans difficulté le nom du premier boulanger qu’elle a connu, enfant.
Toutes ces personnes que je rencontre ont grandi, vécu, vieilli en milieu rural. Je ne risque pas de les confondre avec les mamies et les papis que j’ai connus comme veilleur de nuit dans la banlieue lyonnaise.
06:25 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Villard-les-Dombes, atelier d'écriture, pain, personnes âgées
18/05/2005
Mercredi 18 mai
14:55 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Swiatly
29/04/2005
Vendredi 29 avril
Hier, j’ai fini d’animer pour Aleph le stage « écrire la nouvelle noire » (quatre journées pleines). Un bon groupe, huit personnes qui n’ont pas craint de se jeter à l’eau.
Ce matin, le théâtre des Asphodèles. Cet après-midi, la prison Saint-Paul.
06:55 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Aleph, atelier d'écriture, théâtre des Asphodèles, prison
10/04/2005
Dimanche 10 avril
22:05 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Cottet-Emard
29/03/2005
aux marches du Palais
Nous parlons littérature, Montréal (Cécile y a également effectué une résidence d’auteur et a pris l’habitude d’y vivre six mois par an), frelons (qui lui posent des problèmes sur son terrain drômois et composent le pire de mes cauchemars d’enfance depuis le jour où j’ai été coursé par tout un essaim, plus « Orphelin de Perdide » que moi, tu meurs !), manuscrits de François (en exclu mondiale, j’ai lu et commenté les deux derniers : « Pompes Funèbres » et « Bossalo »), Calaferte (que Cécile a bien connu), Chantal Pelletier (sa résidence d’auteur à Montréal est plus récente)…
Avec François, nous allons visiter le Palais Idéal du Facteur Cheval à Hauterives.
Enfant (j’habitais dans le nord de la France), j’étais un inconditionnel du Facteur. À mes yeux, il était l’artiste idéal. Quand j’ai visité une première fois son Palais, âgé de 15 ans, la désillusion a été rude. Vingt ans plus tard, j’y retourne. Je me surprends à être ému. Quand un autodidacte rencontre un autre autodidacte…
Cécile nous parle du reportage qu’elle a voulu consacrer au Facteur Cheval il y a quelques années. Bien sûr que de son vivant, tous ses proches l’ont pris pour un cinglé. Cécile nous raconte sa rencontre avec les petites-filles du facteur. Des dizaines d’années après sa mort, alors que la consécration officielle (Malraux et cie) était passée par là, les membres de sa famille n’avaient pas changé de regard sur lui !
Suite de la visite du Palais du Facteur :
Ses auto-citations écrites sur les murs de son palais, truffées de fautes d’orthographe (elles ont mystérieusement disparues quand les phrases du facteur sont reproduites dans les brochures touristiques, blasphème !).
« La vie est combats »
« Ce que Dieu écrivit sur ton front’arivera »
Il sait aussi bien faire parler sa femme que sa brouette :
« Je suis fidèle compagne
du travailleur intelligent
qui chaque jour dans la campagne
cherchait son petit contingent »
« Moi, sa brouette, j’ai eu cet honneur
d’avoir été 27 ans sa compagne de labeur »
À l’intérieur du Palais : « J’ai voulu dormir ici ».
J’attire l’attention de François sur cette formule irrésistible que l’on retrouve en plusieurs endroits du palais, et que l’on pourrait faire figurer sur les quatrième de couv’ de nos livres :
« TRAVAIL D’UN SEUL HOMME »
Nous avons beaucoup ri. Et je n’ai pas manqué d’acheter un portrait-carte postale du grand homme. Dire qu’il a commencé son œuvre à 43 ans ! À 70, il la finissait pour s’atteler à son tombeau qu’il acheva à 86 ans, juste avant de mourir).
(1) par déontologie, Cécile a toujours refusé les cadeaux. Un jour, un peintre qui avait appris indirectement qu’elle aimait son travail, lui a envoyé trois petites œuvres. Elle les lui a renvoyées avec un mot d’explications, je ne peux pas accepter, etc. Le type les lui a renvoyées à son tour, mais pas du tout, vous n’avez pas compris, je ne tiens pas à vous demander quoi que ce soit, mais simplement à, etc. Elle les lui a renvoyées une nouvelle fois avec un mot « si, à l’avenir, vous faites une exposition, soyez certain que je n’en parlerai pas… »
10:50 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Facteur Cheval, Philippe, Barcelo, Calaferte, Pelletier, Léon, Mignot
19/03/2005
Samedi 19 mars
Cet ami d’ami qui trimballe avec lui son ordi tout au long de sa virée croix-roussienne. À minuit passé, il ouvre son ordi et exhibe les photos hilarantes de ses parents qu’il conserve sur son disque dur (un diaporama montrant sa mère en train de plonger dans l’eau lui arrache des larmes de rire).
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