16/02/2022
Retour
07:53 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : vérité, retour sur manuscrit
14/02/2022
Saint-Valentin
21:22 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : saint-valentin, sam peckinpah, peckinpah, apportez-moi la tête d'alfredo garcia, guet-apen, mc queen, steve mc queen
10/02/2022
"la preuve"
Il est fou de penser que seul un visage peut changer à jamais la bêtise et l’inadéquation d’un film en mauvaise posture. Le cinéma, c’est le regard des femmes. Mais je réalise aussi que c’est une raison valable pour ne plus aller au cinoche. Un siècle après ce fameux siècle des Lumière (les frères), les femmes sont toujours vaguement considérées comme des êtres inférieurs. Cent ans de magie en deux dimensions, mille deux cents mois de regards de femmes, cinq mille deux cents semaines de vampirisation à géométrie variable n’ont pas amené les hommes à la sagesse. C’est bien la preuve que le cinéma ne sert à rien.
Jean-Bernard Pouy, Je hais le cinéma
04:53 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : pouy, je hais le cinéma, apportez-moi la tête d'alfredo garcia, peckinpah
09/02/2022
Lundi soir dernier
C'était là. J'ai même eu droit à l'une des Gnossiennes de Satie pour accompagner l'un de mes textes. Ce fut magique.
04:33 Publié dans planches | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lecture publique
08/02/2022
"Tout..."
17:22 Publié dans carottages littéraires | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : interruption, valéry, betty boop, boop
04/02/2022
V.
09:30 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : vitti, antonioni
02/02/2022
Musicianes
11:12 Publié dans planches, SIGNATURES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : espace pandora, judith wiart, wiart, houdaer, musicianes, vénissieux, centre madeleine lambert
01/02/2022
L'année du Tigre d'eau s'ouvre aujourd'hui...
... et pas seulement pour les chinois.
Je repartage pour l'occasion cette extrait de Michaux :
Mère-tigre… Rien qu’à la voir approcher de l’eau, on lui donne raison en tout, et tort à la vache, à la biche, au daim, aux herbivores.
Solennellement, et religieusement, prête à tout… Le feu de sa soif rend l’eau sacré… Dans la cage cependant, tout est dénuement et l’eau dans le baquet vient d’un affreux robinet rouillé. Mais le tigre est au-dessus du manque.
Le manque, c’est pour toi, le manque et l’agressivité, ce piteux semblant d’audace.
Seigneur tigre, c’est un coup de trompette en tout son être quand il aperçoit la proie, c’est un sport, une chasse, une aventure, une escalade, un destin, une libération, un feu, une lumière.
Cravaché par la faim, il saute.
Qui ose comparer ses secondes à celles-là ?
Qui en toute sa vie eut seulement dix secondes tigre ?
Henri Michaux
18:33 Publié dans carottages littéraires | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : michaux, tigre, année du tigre