08/03/2017
Chez mon prochain éditeur
Il y avait plusieurs tables dressées pour deux congrès, dans la salle à manger immense, toute neuve, pompeuse, néo-Empire. Il s'est produit de la bousculade parmi nous, et je suis à peu près certain que mon ami et moi nous sommes fourvoyés dans le congrès où nous n'étions pas conviés. Par bonheur, cela n'a eu aucune conséquence fâcheuse. Tout le monde a été fort aimable à notre égard. J'avais pour voisin un ophtalmologiste viennois ; ce devait être un congrès médical. Derechef, j'ai constaté l'absence des femmes, à l'exception de serveuses en costume régional. Où s'enclôtissent les dames italiennes ?
Henri Calet, "L'Italie à la paresseuse", éditions Le Dilettante
05:32 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : le dilettante, éditions le dilettante, henri calet, calet, l'italie à la paresseuse, italie
07/03/2017
Prochain Cabaret Poétique...
10:34 Publié dans a.5) ANIMATEUR DU CABARET POETIQUE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : kerouac
06/03/2017
Aux prochaines Présidentielles...
... je voterai Jean-Marc Flahaut ou François-Xavier Farine. Il me reste à les départager, à passer leur programme à la loupe. Le premier prône le retour au format V.H.S. pour tous les films (exit les dévédés, blourés et cie). Le second promet des "cheveux bouclés pour tous". C'est intéressant. Ces deux gars pourraient bien relever la France.
08:34 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : françois-xavier farine, jean-marc flahaut, présidentielles
02/03/2017
Un extrait
18:00 Publié dans a.1) MES LIVRES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nuit grave, la boucherie littéraire, patrice maltaverne, paola pigani, jérôme leroy
01/03/2017
Statut posté ce jour, sur Facebook
La sortie prochaine de « ÇA JOUE » (Roger Lahu / Thomas Vinau) marquera la fin d’un premier cycle pour la collection Poésie des éditions Le Pédalo Ivre (ouvert par la publication de « Les derniers seront les derniers » du même Vinau, une boucle qui se boucle quoi…).
Remerciements à Jean-Marc Luquet pour avoir rendu cette aventure possible.
De mon côté (ça vous dérange, si je parle de moi ?), je commence à en avoir marre de dormir au milieu des cartons de livres.
Merci de m'épargner les « like » à deux balles qui n’ont jamais engagé qui que ce soit.
Vive la poésie, où qu’elle se trouve (même dans les romans)
11:41 Publié dans a.4) EDITEUR, où mon taux d'adrénaline augmente | Lien permanent | Commentaires (6)