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07/08/2012

VAR # 3

" 2 juillet 1934

Une date : achat d’un pétard à Toulon, un 8 mm à barillet. Comme un jouet je le retourne, je le fais tourner à vide ; je le charge. Voilà un grand pas de fait. Le jour où je serai vraiment décidé, j’ai l’arme. "

Luc Dietrich (journal)

 

D'autres notules sur Toulon, ici.

06/08/2012

Vrac de vrac # 1

Après avoir conseillé deux amis poètes pour la création de leur blog (ce qui est tout de même se moquer du monde quand on connaît mes qualités d'informaticien), j'ai fait un rapide survol des quelques cinq cent notules de "Branloire Pérenne" et relevé nombre de choses qui y clochaient.

J'ai découvert par exemple une adresse électronique toute en "Houdaer" et en "@" et en "voila.fr" affichée en bas de l'écran, adresse caduque depuis des lustres. Si vous m'avez écrit à cette adresse, inutile d'attendre une réponse de ma part, vous feriez mieux d'essayer avec frederick.houdaer@laposte.net.

Autrement, je me creuse la cervelle pour diminuer le nombre de mes "catégories"... sans trouver la solution. N'hésitez pas à me souffler vos idées.

Quelques liens rajoutés voilà peu dans la colonne "Passerelles" située à la gauche de cette notule :

Grégoire Damon

Etienne Faye

Heptanes Fraxion

Laurence Loutre-Barbier

Emmanuel Merle

Paola Pigani

Les déboulonneurs

 

Autrement, un écho suite à la parution de "Les derniers seront les derniers" aux éditions du Pédalo Ivre.

Le deuxième livre de la collection "Poésie" dont je m'occupe sortira en octobre et sera signé Jean-Marc Flahaut.

Et bienvenue dans le meilleur des mondes.

damon,loutre-barbier,les derniers seront les derniers,vinau

04/08/2012

Promesse, tour et prestige

«  Pour écrire un seul vers

il faut se souvenir de cent ans de sommeil

et des vies qui précédèrent, de la piqure des roses

et de l’aïeule qui voulait voir la mer,

de l’homme au large dos couvert de ventouses

et de ses enfants effrayés par les méduses.

Des objets magiques et des formules

où s’enroulent des fleurs autour des lettres gothiques.

 

Puis abandonner à son sort

cet homme en nous qui se noie dans ses souvenirs,

pour renouer avec la magie sans accessoire

et la jonglerie sans rien, mais avec des gestes

suspendus en l’air et la réalité

qui se retourne comme un gant.

 

Avec les êtres et les choses

Attirant les mots comme des aimants. »

 

Gérard Macé, « Promesse, tour et prestige », 2009

03/08/2012

Italia # 2

Pasolini & sa "Fleur de papier" 

 

Français & italien mêlés, toujours