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30/07/2020

Dans le "Libération" du 30 juillet (1985)...

... Frédéric Dard rendait hommage à Michel Audiard, décédé deux jours plus tôt.

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(cliquez sur l'article pour l'agrandir)

dard,hommage,audiard,libération

 

29/07/2020

De quelques blogs en liens avec celui-ci (#1)

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"Le poème ne possède pas de plus grande attraction que son inutilité (...)"

Stéphane Bernard

 

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Nos consolations

 

 

28/07/2020

Où Woody parle de Diane

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J’étais sur le point d’achever le casting d’"Une aspirine sur deux", il fallait simplement trouver la bonne actrice pour jouer Linda, le principal personnage féminin...
Entre sur scène une jeune fille dégingandée... tout juste sortie de sa cambrousse californienne, adepte des vide-greniers et des sandwiches au thon... Elle gagne sa vie comme employée de vestiaire, après avoir tenu l’espace confiserie d’un cinéma sur la côte Ouest, d’où elle s’est fait virer pour avoir mangé toute la marchandise...
Ce jour là, elle tenta de nous servir le boniment d’usage en guise de présentation.
Nous avions sous les yeux une rustaude...
Mais que voulez-vous que je vous dise, elle était géniale, Géniale à tout point de vue.
On dit d’une personnalité qu’elle illumine la pièce en entrant : elle, c’est un boulevard entier qu’elle illuminait. 

 

"Soit dit en passant", Autobiographie, Woody Allen.

 

27/07/2020

Remise à niveau (english) # 130

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25/07/2020

Lyon-Lisbonne

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X-Rousse (à 200 mètres de chez moi)

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Alfama (à 200 mètres de ma location)

 

24/07/2020

Devinez...

... où je fais mes premiers pas, cette semaine ?

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16/07/2020

Même à distance

ce soir

de coupures publicitaires

de voisine pleurant à sa fenêtre

de martinets rendus saouls par l’orage qui arrive

je n’ai une nouvelle fois

pas gagné au loto

sans me plaindre de mon sort

mon téléphone vibre

un confrère m’appelle

il tient à me faire entendre le bruit de la bouteille de champagne

sabrée par ses soins

il tient à partager cela avec moi

même à distance

il vient de finir de rédiger

un gros essai sur le temps et le hasard

quelque chose dont il ne voyait pas la fin

dont il se croyait incapable

au moment de raccrocher

il a le réflexe

poli

de me demander comment ça va

pile poil

je lui réponds

 

(extrait d'un recueil à paraître)

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11/07/2020

"le plus clair de mon temps..."

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J'ai passé le plus clair de mon temps à lire à la Bibliothèque Municipale de Los Angeles et rien de ce que je lisais n'avait de rapport avec moi ou avec les rues et les gens autour de moi. C'était comme si tout le monde jouait aux charades et que ceux qui n'avaient rien à dire étaient reconnus comme de grands écrivains. Leurs écrits étaient un mélange de subtilité, d'adresse et de convenance, qui étaient lus, digérés et transmis. C'était une machination, une habile et prudente "culture mondiale". Il fallait retourner aux écrivains russes d'avant la Révolution pour trouver un peu de hasard, un peu de passion. Il y avait quelques exceptions, mais si peu que les lire était vite fait et vous laissait affamé devant des rangées et des rangées de livres ennuyeux. (...) Pourquoi est-ce que personne ne disait rien ? Pourquoi est-ce que personne ne criait ? 

Charles Bukowski, préface à "Ask the dust" de John Fante, 5 juin 1979.
 
 
 
 
 

Remise à niveau (english) # 130

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