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29/11/2013

Pourquoi publier de la poésie ? # 2

Le titre de cette notule est (presque) une arnaque. L'envie d'intéresser autant de monde qu'avec celle qui l'a précédée ? Disons que, tout provisoirement affublé que je suis de ma (grosse) casquette de (petit) éditeur, je voulais donner la parole à celui/celle qui est de l'autre côté de la barrière. C'est chose faite.

 

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(Très) prochainement...

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28/11/2013

Signature d'un nouveau contrat d'édition

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27/11/2013

Merci, Onfray !

 

« Certains poètes contemporains donnent l’impression de n’être que des cerveaux, de purs produits de matière grise tarabiscotée. Quelques mots sur une page, des collisions verbales aléatoires, un vague tropisme mallarméen, un culte du mot seul, une religion de la phrase pour elle-même, une manie du blanc et de l’espace, de quoi générer un autisme de bon aloi, et s’assurer qu’on ne sera pas lu, aimé, compris. De quoi aussi, bien sûr, certifier qu’on a affaire au grand poète. Car ils aiment l’ineffable, scénographient l’indicible, se pâment en dévots de la théologie  négative. Pas besoin de donner des noms : ils incarnent le bon goût du moment.

 

D’autres, en revanche, croient que le mot ne constitue pas une fin mais un moyen. Le poème ? Sûrement pas un artifice de pure forme, un artefact de technicien de l’écriture, mais une prose revendiquant sa matérialité, sa musicalité, le rythme et la cadence des vocalises primitives de l’Homo sapiens. D’une part, des encéphales désincarnés ; de l’autre, des corps de chair épanouie doués de l’hyperesthésie des fauves les plus achevés. »

 

Michel Onfray, extrait de sa préface pour le livre de René Depestre « NON-ASSISTANCE À POÈTE EN DANGER »

 

26/11/2013

C'était le Cabaret Poétique (du 24 novembre 2013)...

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Jean-Baptiste Cabaud

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Laurence Loutre-Barbier

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Michaël Gluck

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 Maria Isabelle Cañon

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David Champey

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Fabienne Swiatly

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Gérard Torres

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 Toutes ces photos sont signées Denis Svartz.

20/11/2013

Lettre (de saison) signée René Daumal

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Autrement ? La croix-Rousse ressemble toujours à un tableau de Pialat.

19/11/2013

WAOUUH !!!

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... Jean-Claude Pirotte à la téloche, ce jeudi ! Je ne tiens pas l'info de Télé Z mais de Pierre Autin-Grenier qui en a causé sur Facebook. ça se passera chez Busnel, et il y aura aussi mon ancien voisin, Charles Juliet, sur le plateau... Ceci étant précisé, comme je n'ai pas la télé et que, ce jeudi soir, je fais une lecture dans une librairie de Voiron...

Waouh (bis) : Jérôme Leroy, auteur de polar et poète que j'affectionne particulièrement, salue mon dernier recueil. Le plus drôle : je suis un lecteur régulier de son blog... mais c'est Thierry Marignac (le premier à avoir parlé de "Fire Notice") qui a attiré mon attention sur cette notule. Et Leroy et Marignac n'étant pas les meilleurs amis du monde...

Cela tombe bien ! Car je ne demanderai à aucun des deux l'autorisation de les mettre dans le même sac pour la bonne cause. Si vous voulez comprendre quoi que ce soit au merdier politique actuel et à celui qui l'a précédé, il est nécessaire, absolument nécessaire de lire "Fasciste" de Marignac et "Le Bloc" de Jérôme Leroy, deux ouvrages que j'ai souvent cités et offerts.

14/11/2013

Signatures, lectures...

Ce dimanche (le 17 novembre), je serai toute la journée à L'Autre Salon, à Grigny, pour signer mon dernier livre sur le stand des éditions Le Pont du Change... et pour vendre quelques exemplaires du Pédalo Ivre également.

Jeudi 21 novembre, à 19h30, je ferai une lecture commune avec Edith Azam à Voiron (Librairie Nouvelle, 20 rue Dode, entrée libre).

Le samedi 23 novembre, je tiendrai le stand du Pédalo Ivre lors du 18ème Festival International de Poésie de Grenoble.

Le dimanche 24 novembre, serai de retour sur Lyon. Bien obligé, parce que c'est jour de...

 

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11/11/2013

Le 11 novembre…

 

… selon de nombreuses traditions européennes, ouvre la période de l’hiver. Selon ces mêmes traditions, c’est LA date à laquelle l’ours entame son hibernation en se retirant dans sa tanière. 

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Le 11 novembre, c’est également le jour de la Saint-Minas.

« À la Saint-Minas

je me suis annoncé,

et à la Saint-Philippe

je me suis présenté »

Tel est l’avertissement qu’adresse le grand froid aux bergers et aux agriculteurs. Ce dicton météorologique est toujours en vigueur dans le Sud-Est européen où Saint-Minas protège les bergers des loups qui apparaissent en même temps que les premières neiges. C’est pourquoi à la Saint-Minas les femmes ne touchent pas aux ciseaux et les hommes évitent d’ouvrir leurs couteaux, assimilés à la gueule tranchante des loups. »

« Fêtes et croyances populaires en Europe » de Yvonne de Sike, éd. Bordas